Sié Donald Olivier, ailier gauche de l’équipe nationale de Côte d’Ivoire génération 92, a remporté la seule coupe d’Afrique des Eléphants à Dakar. Actuellement entraineur de l’équipe 2 de la commune de Cugnaux dans la banlieue toulousaine, il présente, dans cet entretien, les chances, les atouts de la Côte d’Ivoire et donne des conseils à ses cadets.
Que devient Sié Donald Olivier ?
Sié Donald se porte bien. Avant de commencer, j’aimerais présenter mes vœux les meilleurs de santé, de paix, de prospérité à tous les Ivoiriens et en particulier à tous les sportifs de Côte d’Ivoire. Moi, je vis dans la banlieue de Toulouse, je travaille dans la commune de Cugnaux et j’entraine l’équipe 2 de cette commune. Donc, Sié Donald se porte bien, la famille également.
Quelles sont les chances des Eléphants de Côte d’Ivoire pour cette Can ?
Les chances de la Côte d’Ivoire sont énormes. Elle part déjà favorite. Mais c’est à elle de justifier cela sur le terrain. Elle a beaucoup de talents mais l’impression que j’ai, c’est qu’elle ne joue pas ensemble. L’équipe joue plutôt individuellement. Collectivement, ils doivent être forts. Vous voyez une équipe comme le Ghana, elle joue solidaire. Jouer en équipe, c’est jouer solidaire, collectif.
Quels sont les atouts de l’équipe de Côte d’Ivoire ?
L’équipe regorge de beaucoup de talents que d’autres pays. Individuellement pris, je pense qu’ils sont les meilleurs.
Malgré tous ces talents dont vous parlez, la Côte d’Ivoire peine à remporter sa 2ème Can. Quelles sont les faiblesses de cette équipe dont les joueurs évoluent pratiquement ensemble depuis plus de deux Can ?
Comme toute équipe, l’équipe a une faiblesse. Je pense qu’au niveau de l’attaque, il n’y a pas de problème parce que nous avons de grands attaquants. Pareil pour le milieu. Et à un degré moindre, la défense et le gardien. Mais, je n’aimerais pas me prononcer en détail sur ce point parce que cela appartient à l’entraineur.
Quels conseils pouvez-vous donner à vos cadets ?
C’est de se battre, c’est de mouiller le maillot comme nous l’avons fait en 92. Qu’ils sachent que les égos de stars, on les met de côté. On se bat pour la patrie parce que la star, ce n’est pas les joueurs pris individuellement. La star, c’est l’équipe. C’est le collectif qui doit primer.
Selon vous, quels sont les favoris de cette compétition ?
Il y a, bien entendu, la Côte d’Ivoire, le Maroc, on n’en parle pas beaucoup. Mais, qui a une belle équipe qui monte avec un bon entraineur, Eric Gerets. Le Ghana, un bel esprit de groupe. J’ai regardé la coupe d’Afrique et la coupe du monde précédentes, le Ghana, bien vrai qu’ils n’ont pas des talents au même titre que la Côte d’Ivoire, mais quand on les voit jouer, c’est agréable. Ils jouent en collectif.
Interview réalisée au téléphone par Morgan Ekra
Que devient Sié Donald Olivier ?
Sié Donald se porte bien. Avant de commencer, j’aimerais présenter mes vœux les meilleurs de santé, de paix, de prospérité à tous les Ivoiriens et en particulier à tous les sportifs de Côte d’Ivoire. Moi, je vis dans la banlieue de Toulouse, je travaille dans la commune de Cugnaux et j’entraine l’équipe 2 de cette commune. Donc, Sié Donald se porte bien, la famille également.
Quelles sont les chances des Eléphants de Côte d’Ivoire pour cette Can ?
Les chances de la Côte d’Ivoire sont énormes. Elle part déjà favorite. Mais c’est à elle de justifier cela sur le terrain. Elle a beaucoup de talents mais l’impression que j’ai, c’est qu’elle ne joue pas ensemble. L’équipe joue plutôt individuellement. Collectivement, ils doivent être forts. Vous voyez une équipe comme le Ghana, elle joue solidaire. Jouer en équipe, c’est jouer solidaire, collectif.
Quels sont les atouts de l’équipe de Côte d’Ivoire ?
L’équipe regorge de beaucoup de talents que d’autres pays. Individuellement pris, je pense qu’ils sont les meilleurs.
Malgré tous ces talents dont vous parlez, la Côte d’Ivoire peine à remporter sa 2ème Can. Quelles sont les faiblesses de cette équipe dont les joueurs évoluent pratiquement ensemble depuis plus de deux Can ?
Comme toute équipe, l’équipe a une faiblesse. Je pense qu’au niveau de l’attaque, il n’y a pas de problème parce que nous avons de grands attaquants. Pareil pour le milieu. Et à un degré moindre, la défense et le gardien. Mais, je n’aimerais pas me prononcer en détail sur ce point parce que cela appartient à l’entraineur.
Quels conseils pouvez-vous donner à vos cadets ?
C’est de se battre, c’est de mouiller le maillot comme nous l’avons fait en 92. Qu’ils sachent que les égos de stars, on les met de côté. On se bat pour la patrie parce que la star, ce n’est pas les joueurs pris individuellement. La star, c’est l’équipe. C’est le collectif qui doit primer.
Selon vous, quels sont les favoris de cette compétition ?
Il y a, bien entendu, la Côte d’Ivoire, le Maroc, on n’en parle pas beaucoup. Mais, qui a une belle équipe qui monte avec un bon entraineur, Eric Gerets. Le Ghana, un bel esprit de groupe. J’ai regardé la coupe d’Afrique et la coupe du monde précédentes, le Ghana, bien vrai qu’ils n’ont pas des talents au même titre que la Côte d’Ivoire, mais quand on les voit jouer, c’est agréable. Ils jouent en collectif.
Interview réalisée au téléphone par Morgan Ekra