Les actes de l’atelier sur la reforme de l’enseignement des arts et de la culture, qui a eu lieu les 14, 15, 16 et 17 septembre 2011 à l’Insaac ont été remis, hier au ministre de la Culture et de la Francophonie, Bandaman Kouakou Maurice.
Les disfonctionnements du système d’enseignement et d’apprentissage des structures d’enseignement culturel et artistique ont amené le ministère de la Culture et de la Francophonie à initier un atelier de réflexion sur le thème : «Analyse diagnostic de l’enseignement des arts et de la culture». Cette réflexion, qui a eu lieu les 14, 15 et 16 septembre 2011, à l’Institut National Supérieur des Arts et de l’Action Culturelle (Insaac), avait pour objectif d’identifier tous les problèmes qui handicapent le secteur de l’éducation et de la formation dans le domaine des arts et de la culture et d’y proposer des remèdes conformes aux besoins du marché et aux perspectives d’insertion professionnelle pour les apprenants et les formateurs. C’est le résultat issu de cet atelier qui a été remis hier, au ministre Bandaman Maurice en son cabinet sis au 22ème étage de la Tour E au Plateau. Le professeur Roger Camille Abolou, président du comité scientifique de l’atelier a affirmé que ces travaux permettront de régler l’épineux problème de l’inadéquation formation / emploi. «Nous avons organisé les curricula à trois niveaux : au niveau des objectifs spéciaux, généraux et transversaux», a-t-il expliqué. Il a ajouté que ces travaux permettront de revoir tout l’arsenal pédagogique pour aboutir à un enseignement de qualité. Pour sa part, le ministre Bandaman Maurice a félicité les membres du comité scientifique pour le travail abattu. «Si nous devons faire de la culture une industrie, il faut que l’enseignement des arts intègre les nouvelles tendances», a-t-il indiqué. Il a en outre donné l’assurance que les résolutions issues de ces réflexions seront effectivement appliquées. Il a pour ce, annoncé la mise sur pied d’un comité de suivi de l’application des réformes en question. Quant aux conditions de travail que membre de l’atelier ont décriées, Bandaman Maurice a promis d’y trouver une solution idoine. «Il n’est pas normal, que le travail intellectuel soit sous payé», a-t-il déclaré. Avant de donner instruction du Directeur de cabinet, Dembélé Fausséni pour que dans les plus brefs délais, cette question soit réglée.
M’Bah Aboubakar
Les disfonctionnements du système d’enseignement et d’apprentissage des structures d’enseignement culturel et artistique ont amené le ministère de la Culture et de la Francophonie à initier un atelier de réflexion sur le thème : «Analyse diagnostic de l’enseignement des arts et de la culture». Cette réflexion, qui a eu lieu les 14, 15 et 16 septembre 2011, à l’Institut National Supérieur des Arts et de l’Action Culturelle (Insaac), avait pour objectif d’identifier tous les problèmes qui handicapent le secteur de l’éducation et de la formation dans le domaine des arts et de la culture et d’y proposer des remèdes conformes aux besoins du marché et aux perspectives d’insertion professionnelle pour les apprenants et les formateurs. C’est le résultat issu de cet atelier qui a été remis hier, au ministre Bandaman Maurice en son cabinet sis au 22ème étage de la Tour E au Plateau. Le professeur Roger Camille Abolou, président du comité scientifique de l’atelier a affirmé que ces travaux permettront de régler l’épineux problème de l’inadéquation formation / emploi. «Nous avons organisé les curricula à trois niveaux : au niveau des objectifs spéciaux, généraux et transversaux», a-t-il expliqué. Il a ajouté que ces travaux permettront de revoir tout l’arsenal pédagogique pour aboutir à un enseignement de qualité. Pour sa part, le ministre Bandaman Maurice a félicité les membres du comité scientifique pour le travail abattu. «Si nous devons faire de la culture une industrie, il faut que l’enseignement des arts intègre les nouvelles tendances», a-t-il indiqué. Il a en outre donné l’assurance que les résolutions issues de ces réflexions seront effectivement appliquées. Il a pour ce, annoncé la mise sur pied d’un comité de suivi de l’application des réformes en question. Quant aux conditions de travail que membre de l’atelier ont décriées, Bandaman Maurice a promis d’y trouver une solution idoine. «Il n’est pas normal, que le travail intellectuel soit sous payé», a-t-il déclaré. Avant de donner instruction du Directeur de cabinet, Dembélé Fausséni pour que dans les plus brefs délais, cette question soit réglée.
M’Bah Aboubakar