La zone du Golf à la Riviera sera bientôt aménagée. Cette lourde tâche incombe désormais à la société Emaar.
Il avait confié à sa sortie d’audience avec le président de la République, en novembre dernier, qu’il ambitionnait de participer à la relance de l’économie ivoirienne. Eh bien, c’est désormais chose faite. Vendredi, Mohamed Alabbar, président de la société Emaar Properties Pjsc, a signé « le projet d’aménagement de la zone du golf », où se trouve le très célèbre Hôtel du golf (Riviera Golf).
Le président d’Emaar, spécialisé dans l’immobilier, l’énergie, les infrastructures, etc a paraphé les documents relatifs à cet accord avec les ministres des Infrastructures économiques, Patrick Achi, de la Promotion du logement, Nialé Kaba et du Tourisme, Charles Aké Atchimon. Le Premier ministre, Guillaume Soro, garant de cette signature, s’est voulu clair. Le président de la République, Alassane Ouattara, dit-il, veut faire de la Côte d’Ivoire, un pays émergent à l’orée 2020. Cet espoir repose «sur vous», a-t-il signifié à Mohamed Alabbar qui a déjà fait ses preuves à Dubaï (aux Emirats) où sa structure est basée. C’est une grande confiance que les Ivoiriens placent en Emaar à travers ce partenariat. En retour, le locataire de la Primature souhaite que tous ses compatriotes parviennent «de façon manifeste» à apprécier ce capital de confiance placée en l’investisseur arabe.
Ce projet d’aménagement de la zone du golf est très important aux yeux de Guillaume Soro. «L’Hôtel du golf reste un grand symbole pour notre pays », a-t-il rappelé. Cela, en faisant notamment allusion aux évènements de la crise post-électorale qui avaient conduit le gouvernement dans cet édifice désormais précédé par sa réputation. Parlant de réputation, le chef du gouvernement a signifié ceci à Mohamed Alabbar : «nous voulons que la Côte d’Ivoire soit un pays respecté, c’est pour cela que nous faisons appel aux investisseurs crédibles, fiables…». Quelques minutes avant ces propos, M. Alabbar confiait dans un anglais limpide, la voix pleine d’émotion : «Emaar ne faillira pas à sa réputation. Elle exécutera ses travaux dans les délais (...)». Pour le visiteur, ceci est le début d’une longue coopération entre la Côte d’Ivoire et sa société. Il prévoit d’ambitieux projets pour les Ivoiriens. Qui sait, Abidjan pourrait avoir des allures de Dubaï dans quelques années.
Raphaël Tanoh
Il avait confié à sa sortie d’audience avec le président de la République, en novembre dernier, qu’il ambitionnait de participer à la relance de l’économie ivoirienne. Eh bien, c’est désormais chose faite. Vendredi, Mohamed Alabbar, président de la société Emaar Properties Pjsc, a signé « le projet d’aménagement de la zone du golf », où se trouve le très célèbre Hôtel du golf (Riviera Golf).
Le président d’Emaar, spécialisé dans l’immobilier, l’énergie, les infrastructures, etc a paraphé les documents relatifs à cet accord avec les ministres des Infrastructures économiques, Patrick Achi, de la Promotion du logement, Nialé Kaba et du Tourisme, Charles Aké Atchimon. Le Premier ministre, Guillaume Soro, garant de cette signature, s’est voulu clair. Le président de la République, Alassane Ouattara, dit-il, veut faire de la Côte d’Ivoire, un pays émergent à l’orée 2020. Cet espoir repose «sur vous», a-t-il signifié à Mohamed Alabbar qui a déjà fait ses preuves à Dubaï (aux Emirats) où sa structure est basée. C’est une grande confiance que les Ivoiriens placent en Emaar à travers ce partenariat. En retour, le locataire de la Primature souhaite que tous ses compatriotes parviennent «de façon manifeste» à apprécier ce capital de confiance placée en l’investisseur arabe.
Ce projet d’aménagement de la zone du golf est très important aux yeux de Guillaume Soro. «L’Hôtel du golf reste un grand symbole pour notre pays », a-t-il rappelé. Cela, en faisant notamment allusion aux évènements de la crise post-électorale qui avaient conduit le gouvernement dans cet édifice désormais précédé par sa réputation. Parlant de réputation, le chef du gouvernement a signifié ceci à Mohamed Alabbar : «nous voulons que la Côte d’Ivoire soit un pays respecté, c’est pour cela que nous faisons appel aux investisseurs crédibles, fiables…». Quelques minutes avant ces propos, M. Alabbar confiait dans un anglais limpide, la voix pleine d’émotion : «Emaar ne faillira pas à sa réputation. Elle exécutera ses travaux dans les délais (...)». Pour le visiteur, ceci est le début d’une longue coopération entre la Côte d’Ivoire et sa société. Il prévoit d’ambitieux projets pour les Ivoiriens. Qui sait, Abidjan pourrait avoir des allures de Dubaï dans quelques années.
Raphaël Tanoh
