Entamé il y a quelques semaines par Ibrahim Sy Savané, les consultations concernant le projet de libéralisation du secteur audiovisuel ivoirien se poursuivent. Il s’agit pour le président de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (Haca) de recueillir les avis et propositions de toutes les personnes ressources, précisant qu’il se trouve désormais dans la dernière ligne droite de son objectif qu’il veut un rendez-vous du donner et du recevoir.
Ibrahim Sy Savané se soucie du contenu des programmes des chaînes de télévision privées qui vont bientôt voir le jour en Côte d’Ivoire où, jusque-là, n’en règnent que deux de nature à la fois étatiques et publiques pris en otage par le nouveau régime Ouattara. Pour le président de la Haca, sa démarche vise à prévenir par rapport à du talent à revendre, des capitaux et un équipement technologique à mobiliser pour relever le défi de la concurrence.
«Il y a nécessité de doter la loi de 2004 sur la libéralisation de l`espace de l`audiovisuel de décrets d`application qui permettent, de jure et de fait, de se préparer à investir les enjeux capitaux que la libéralisation globale de l`univers de l`audiovisuel va induire dès 2012», lance Sy Savané à l’endroit du gouvernement ivoirien, tout en espérant que le champ audiovisuel soit ouvert à des opérateurs privés dès l’horizon du premier trimestre 2012.
Le président de la Haca estime énormes les enjeux de cette libéralisation, notamment aux plans technologique, économique, démocratique, culturel, sociétal et géopolitique.
Schadé Adédé
Ibrahim Sy Savané se soucie du contenu des programmes des chaînes de télévision privées qui vont bientôt voir le jour en Côte d’Ivoire où, jusque-là, n’en règnent que deux de nature à la fois étatiques et publiques pris en otage par le nouveau régime Ouattara. Pour le président de la Haca, sa démarche vise à prévenir par rapport à du talent à revendre, des capitaux et un équipement technologique à mobiliser pour relever le défi de la concurrence.
«Il y a nécessité de doter la loi de 2004 sur la libéralisation de l`espace de l`audiovisuel de décrets d`application qui permettent, de jure et de fait, de se préparer à investir les enjeux capitaux que la libéralisation globale de l`univers de l`audiovisuel va induire dès 2012», lance Sy Savané à l’endroit du gouvernement ivoirien, tout en espérant que le champ audiovisuel soit ouvert à des opérateurs privés dès l’horizon du premier trimestre 2012.
Le président de la Haca estime énormes les enjeux de cette libéralisation, notamment aux plans technologique, économique, démocratique, culturel, sociétal et géopolitique.
Schadé Adédé