Augustin Sidy Diallo a décidé de fermer la porte des entraînements des Eléphants aux journalistes ivoiriens, hier, à Malabo. Un mauvais présage pour les rapports FIF-presse au cours de cette CAN 2012.
Cette Coupe d’Afrique des Nations (CAN) s’annonce électrique… Augustin Sidy Diallo, tout puissant président de la Fédération ivoirienne de football qu’il est, devra mettre beaucoup d’eau dans son vin pour favoriser les bonnes vibrations autour des Eléphants. Tel un loubard, il s’est montré sous un mauvais jour, hier, au Stade La Pas (la paix) de Malabo où se sont entraînés les Eléphants.
Il doit se souvenir qu’il n’est plus intendant mais président et se doit d’être moins fermé. Non seulement, il empêche son coach de donner une conférence de presse, selon les témoignages du service communication de la FIF mais il refuse que la presse nationale et internationale suive l’entraînement de Drogba, Kader Kéita, Tiéné et autres Arthur Boka. Le public équato-guinéen, sorti en masse, est resté bloqué devant le grand portail d’entrée du vieux stade de la ville. Seuls les joueurs, le staff technique, médical, administratif et les présidents de clubs invités dont Ahoua Stallone et Ervé Siaba, ont eu le privilège de suivre la séance d’entraînement.
On constate que l’infirmerie est vide et que l’ambiance est bonne. «Sidy Diallo craint la presse comme la peste…», a osé souffler un de ses proches. Pour quelles raisons ? Lui seul le sait. Cet après-midi (17h), encore, les Eléphants répèteront leurs gammes, cette fois au nouveau stade construit à coups de milliards par Bouygues. Croisons surtout les doigts afin que Sidy Diallo soit de bonne humeur et laisse la presse travailler. En paix !
Guy-Florentin Yaméogo, envoyé spécial à Malabo
Cette Coupe d’Afrique des Nations (CAN) s’annonce électrique… Augustin Sidy Diallo, tout puissant président de la Fédération ivoirienne de football qu’il est, devra mettre beaucoup d’eau dans son vin pour favoriser les bonnes vibrations autour des Eléphants. Tel un loubard, il s’est montré sous un mauvais jour, hier, au Stade La Pas (la paix) de Malabo où se sont entraînés les Eléphants.
Il doit se souvenir qu’il n’est plus intendant mais président et se doit d’être moins fermé. Non seulement, il empêche son coach de donner une conférence de presse, selon les témoignages du service communication de la FIF mais il refuse que la presse nationale et internationale suive l’entraînement de Drogba, Kader Kéita, Tiéné et autres Arthur Boka. Le public équato-guinéen, sorti en masse, est resté bloqué devant le grand portail d’entrée du vieux stade de la ville. Seuls les joueurs, le staff technique, médical, administratif et les présidents de clubs invités dont Ahoua Stallone et Ervé Siaba, ont eu le privilège de suivre la séance d’entraînement.
On constate que l’infirmerie est vide et que l’ambiance est bonne. «Sidy Diallo craint la presse comme la peste…», a osé souffler un de ses proches. Pour quelles raisons ? Lui seul le sait. Cet après-midi (17h), encore, les Eléphants répèteront leurs gammes, cette fois au nouveau stade construit à coups de milliards par Bouygues. Croisons surtout les doigts afin que Sidy Diallo soit de bonne humeur et laisse la presse travailler. En paix !
Guy-Florentin Yaméogo, envoyé spécial à Malabo