La Coupe. Rien que la Coupe. Telle est la mission des Eléphants à la 28e édition de la CAN qui commence aujourd’hui en Guinée Equatoriale et qui prendra fin au Gabon, le 12 février. J’ai fait mon programme en fonction des Eléphants. D’ailleurs, on est arrivé à Malabo, le même jour, c’est-à-dire le 18 janvier. L’équipe ivoirienne débute la compétition à Malabo le dimanche 22 janvier, face à son homologue du Soudan.
Elle doit impérativement se défaire des Soudanais, des Burkinabé le 26 janvier et des Angolais le 30 janvier, si elle veut terminer première du groupe B et rester à Malabo. En quart de finale, la Côte d’Ivoire a pour devoir de passer ce cap, même si l’un des pays hôte, la Guinée Equatoriale, se présentait par miracle sur son chemin. A partir du 6 février, le onze national va quitter Malabo pour disputer la demi-finale à Libreville au Gabon. Là encore, la bande à Zahoui doit gagner ce cinquième match très capital pour jouer la finale le 12 février au stade de l’Amitié Sino-gabonaise. Une défaite en 1/2 finales serait un autre échec et les Eléphants seront obligés de revenir en Guinée Equatoriale, mais cette fois-ci à Bata pour le match de classement (sic).
Je ne reviendrai pas avec eux. Ma marche est irréversible. Je touche du bois et ferme la parenthèse. Mon rêve continue donc. En finale, quel que soit l’adversaire, l’équipe ivoirienne doit éviter l’épreuve fatidique et stressante des tirs au but. Oui, Drogba and Co doivent gagner proprement pour que la joie soit immense dans les rues d’Abidjan. Avant le coup de sifflet de l’arbitre, on peut même aller péter le champagne. Le Cameroun, le Nigéria, l’Egypte et l’Algérie qui nous barraient la route ces dernières années, ne sont pas là. Je respecte les autres équipes. Mais si les Eléphants ne gagnent pas le trophée, cette génération dorée doit prendre sa retraite anticipée.
C’est ça qui est la vérité. Je rêve à une maison offerte par le Président Alassane Ouattara comme ce fut le cas pour toute la délégation ivoirienne en 1992 au Sénégal. Tout le monde à beaucoup à gagner. Les vendeurs d’articles, les tenanciers de bars et de maquis, chacun veut profiter de la victoire finale. Je veux revoir le trophée. De grâce, hors de ma vue, le fameux slogan : «DECOURAGEMENT N’EST PAS IVOIREN». Sportivement
Par Annoncia Sehoué
Elle doit impérativement se défaire des Soudanais, des Burkinabé le 26 janvier et des Angolais le 30 janvier, si elle veut terminer première du groupe B et rester à Malabo. En quart de finale, la Côte d’Ivoire a pour devoir de passer ce cap, même si l’un des pays hôte, la Guinée Equatoriale, se présentait par miracle sur son chemin. A partir du 6 février, le onze national va quitter Malabo pour disputer la demi-finale à Libreville au Gabon. Là encore, la bande à Zahoui doit gagner ce cinquième match très capital pour jouer la finale le 12 février au stade de l’Amitié Sino-gabonaise. Une défaite en 1/2 finales serait un autre échec et les Eléphants seront obligés de revenir en Guinée Equatoriale, mais cette fois-ci à Bata pour le match de classement (sic).
Je ne reviendrai pas avec eux. Ma marche est irréversible. Je touche du bois et ferme la parenthèse. Mon rêve continue donc. En finale, quel que soit l’adversaire, l’équipe ivoirienne doit éviter l’épreuve fatidique et stressante des tirs au but. Oui, Drogba and Co doivent gagner proprement pour que la joie soit immense dans les rues d’Abidjan. Avant le coup de sifflet de l’arbitre, on peut même aller péter le champagne. Le Cameroun, le Nigéria, l’Egypte et l’Algérie qui nous barraient la route ces dernières années, ne sont pas là. Je respecte les autres équipes. Mais si les Eléphants ne gagnent pas le trophée, cette génération dorée doit prendre sa retraite anticipée.
C’est ça qui est la vérité. Je rêve à une maison offerte par le Président Alassane Ouattara comme ce fut le cas pour toute la délégation ivoirienne en 1992 au Sénégal. Tout le monde à beaucoup à gagner. Les vendeurs d’articles, les tenanciers de bars et de maquis, chacun veut profiter de la victoire finale. Je veux revoir le trophée. De grâce, hors de ma vue, le fameux slogan : «DECOURAGEMENT N’EST PAS IVOIREN». Sportivement
Par Annoncia Sehoué