En prélude à la libéralisation de l’espace audiovisuel en Côte d’Ivoire, les producteurs audiovisuels prennent d’ores et déjà toutes les dispositions pour être opérationnels le moment venu. En vue de faire le point de leurs contributions à la réussite de ce processus et identifier les obstacles à franchir pour y arriver, ils ont rencontré le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman, à son cabinet, sis au 22ème étage de la Tour E, au Plateau. Il s’agissait également pour eux de rassurer le ministre de leur volonté de garantir l`entrée de la Côte d’Ivoire dans ce millénaire avec optimisme, d`offrir au public et au monde des arts des créations de qualité dans le domaine de la production audiovisuelle.
Après avoir fait le tour de la question, le porte-parole des producteurs audiovisuels, Latif Toungara, a émis un certain nombre de doléances. Entre autres choses, Latif Toungara a proposé au ministre Bandaman Maurice l’adoption d’un cadre juridique qui codifie la profession. Les jours à venir, Toungara ira à la rencontre du Pdt de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (Haca) en vue d’harmoniser leurs vues dans le souci d’évaluer ou d’entrevoir l’apport des producteurs audiovisuels dans la libéralisation. Surtout que la Côte d’Ivoire est, de l’avis d’Ibrahim Sy Savané, président de la Haca, «sur la dernière ligne droite dans l’optique de la libéralisation de l’espace audiovisuel ». Une rencontre est également prévue avec le ministre de la Communication, Diakité Coty Souleïmane.
M’Bah Aboubakar
Après avoir fait le tour de la question, le porte-parole des producteurs audiovisuels, Latif Toungara, a émis un certain nombre de doléances. Entre autres choses, Latif Toungara a proposé au ministre Bandaman Maurice l’adoption d’un cadre juridique qui codifie la profession. Les jours à venir, Toungara ira à la rencontre du Pdt de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (Haca) en vue d’harmoniser leurs vues dans le souci d’évaluer ou d’entrevoir l’apport des producteurs audiovisuels dans la libéralisation. Surtout que la Côte d’Ivoire est, de l’avis d’Ibrahim Sy Savané, président de la Haca, «sur la dernière ligne droite dans l’optique de la libéralisation de l’espace audiovisuel ». Une rencontre est également prévue avec le ministre de la Communication, Diakité Coty Souleïmane.
M’Bah Aboubakar