S’il y a un joueur qui n’a pas donné la pleine mesure de son talent lors de la première sortie des Eléphants, c’est bien Yaya Touré. Pour autant, il n’en prend pas ombrage. Il pense plutôt que la Côte d’Ivoire a les arguments pour aller de l’avant.
On peut le dire sans se tromper que la Côte d’Ivoire n’a pas été rayonnante contre le Soudan…
C’est peut-être votre avis et je le respecte. Mais personnellement, je pense que l’équipe a bien joué contre le Soudan et je suis très content. C’est vrai, nous avons eu quelques difficultés. Et je pense que nous aurons encore plus de difficultés au fur et à mesure que la compétition va avancer. Nous l’avons vu avec le Sénégal. C’est vrai que la température n’était pas clémente avec nous, mais nous devons faire avec. Parce qu’aujourd’hui, le pays a besoin de joie et quelles que soient les difficultés, nous devons tout mettre en œuvre pour aller jusqu’au bout.
Comment appréhendez-vous la rencontre contre le Burkina Faso ?
Nous nous sommes fixé pour objectif de gagner les six matches que nous aurons à jouer. Nous savons que cela va être difficile, mais avec l’équipe que nous avons aujourd’hui, avec des attaquants très puissants que nous avons, nous allons monter en puissance.
Qu’est-ce qui manque encore à cette équipe des Eléphants, même si nous ne sommes qu’au premier match ?
Je pense que le plus important, c’est de s’acclimater à la température de Malabo. Vous savez que ce n’est pas trop évidemment, mais je pense que nous avons l’équipe pour aller jusqu’au bout. Nous connaissons nos capacités. Aujourd’hui, nous avons un objectif très clair qui est celui de remporter le trophée. Il ne faut donc pas se plaindre de quoi que ce soit. Nous devons nous concentrer et jouer parce que les conditions de jeu sont pareilles pour tout le monde.
Face aux Etalons, ce sera une autre bataille et un autre enjeu quand on sait qu’une victoire pourrait vous ouvrir les portes des quarts. Cela vous met-il la pression ?
Non, je pense que le Burkina Faso qui a perdu son match contre l’Angola a envie de se racheter. Donc, il faudra faire attention. Mais de là à dire que nous avons la pression, je dis non. Nous devons plutôt restés concentrés. Maintenant comme je l’ai dit, nous jouerons sur nos qualités.
La Côte d’Ivoire est-elle apte à gagner la Can ?
Il ne faut aller trop vite en besogne. Il nous reste encore cinq matches à disputer, et nous allons prendre match après match. Demain, c’est le Burkina Faso. Donc, nous allons nous concentrer sur cette rencontre qui est très capitale pour nous.
Entretien réalisé à Malabo par Guillaume AHOUTOU
On peut le dire sans se tromper que la Côte d’Ivoire n’a pas été rayonnante contre le Soudan…
C’est peut-être votre avis et je le respecte. Mais personnellement, je pense que l’équipe a bien joué contre le Soudan et je suis très content. C’est vrai, nous avons eu quelques difficultés. Et je pense que nous aurons encore plus de difficultés au fur et à mesure que la compétition va avancer. Nous l’avons vu avec le Sénégal. C’est vrai que la température n’était pas clémente avec nous, mais nous devons faire avec. Parce qu’aujourd’hui, le pays a besoin de joie et quelles que soient les difficultés, nous devons tout mettre en œuvre pour aller jusqu’au bout.
Comment appréhendez-vous la rencontre contre le Burkina Faso ?
Nous nous sommes fixé pour objectif de gagner les six matches que nous aurons à jouer. Nous savons que cela va être difficile, mais avec l’équipe que nous avons aujourd’hui, avec des attaquants très puissants que nous avons, nous allons monter en puissance.
Qu’est-ce qui manque encore à cette équipe des Eléphants, même si nous ne sommes qu’au premier match ?
Je pense que le plus important, c’est de s’acclimater à la température de Malabo. Vous savez que ce n’est pas trop évidemment, mais je pense que nous avons l’équipe pour aller jusqu’au bout. Nous connaissons nos capacités. Aujourd’hui, nous avons un objectif très clair qui est celui de remporter le trophée. Il ne faut donc pas se plaindre de quoi que ce soit. Nous devons nous concentrer et jouer parce que les conditions de jeu sont pareilles pour tout le monde.
Face aux Etalons, ce sera une autre bataille et un autre enjeu quand on sait qu’une victoire pourrait vous ouvrir les portes des quarts. Cela vous met-il la pression ?
Non, je pense que le Burkina Faso qui a perdu son match contre l’Angola a envie de se racheter. Donc, il faudra faire attention. Mais de là à dire que nous avons la pression, je dis non. Nous devons plutôt restés concentrés. Maintenant comme je l’ai dit, nous jouerons sur nos qualités.
La Côte d’Ivoire est-elle apte à gagner la Can ?
Il ne faut aller trop vite en besogne. Il nous reste encore cinq matches à disputer, et nous allons prendre match après match. Demain, c’est le Burkina Faso. Donc, nous allons nous concentrer sur cette rencontre qui est très capitale pour nous.
Entretien réalisé à Malabo par Guillaume AHOUTOU
