Aristide Bancé s’est confié à l’IA hier mardi 24 janvier 2012, au Sofitel Malabo, QG des Etalons du Burkina Faso. Fer de lance de l’attaque burkinabè, il dit ne pas craindre la Côte d’Ivoire pour la seconde sortie de son équipe.
Le Burkina Faso s’est incliné pour sa première sortie à la CAN 2012 devant l’Angola. Qu’est-ce qui n’a pas marché ?
Franchement, nous n’arrivons pas à expliquer cette équipe, dans la mesure où l’adversaire n’a pas produit du jeu et au finish, c’est lui qui gagne. C’est la loi du football. Les Angolais ont profité de deux erreurs pour inscrire les deux buts. Nous avons réagi, mais c’était peut-être dit que nous devrions perdre. L’adversaire est resté en place et a profité de nos erreurs. Il nous reste deux matches et nous ferons tout pour nous qualifier. Il nous suffit de gagner les deux autres matches et le tour sera joué.
Bien beau, mais votre seconde sortie, ce sera pour demain, face à la Côte d’Ivoire. Un adversaire qui vous rend la vie dure depuis des années, que ce soit lors des éliminatoires ou soit lors des phases finales de la CAN 2012…
C’est vrai, mais rien ne dit que nous ne pouvons pas battre la Côte d’Ivoire le jeudi. Nous avons vu ses failles contre le Soudan. Les Soudanais ont posé le jeu et ont beaucoup fait douter les Eléphants. Nous pouvons en faire autant. La Côte d’Ivoire est une grande équipe du fait de ses joueurs qui évoluent dans de grands championnats. Mais la CAN a ses réalités. Et nous pensons créer la surprise à cette CAN. Nous n’avons plus le choix si nous voulons accéder au second tour. Contre la Côte d’Ivoire, ça sera du 50-50. Nous avons zéro point et nous avons besoin de victoire. Nous sommes déterminés à battre les Eléphants.
Qu’est-ce qui fera la différence dans ce match ?
L’équipe qui réussira à ouvrir le score, gagnera ce match. Ce sera un match équilibré. Mais nous pensons que la victoire sera de notre côté. Si nous réussissons à battre la Côte d’Ivoire, c’est sûr que nous jouerons la finale contre la même équipe.
Réalisé par Annoncia Séhoué, envoyé spécial
Le Burkina Faso s’est incliné pour sa première sortie à la CAN 2012 devant l’Angola. Qu’est-ce qui n’a pas marché ?
Franchement, nous n’arrivons pas à expliquer cette équipe, dans la mesure où l’adversaire n’a pas produit du jeu et au finish, c’est lui qui gagne. C’est la loi du football. Les Angolais ont profité de deux erreurs pour inscrire les deux buts. Nous avons réagi, mais c’était peut-être dit que nous devrions perdre. L’adversaire est resté en place et a profité de nos erreurs. Il nous reste deux matches et nous ferons tout pour nous qualifier. Il nous suffit de gagner les deux autres matches et le tour sera joué.
Bien beau, mais votre seconde sortie, ce sera pour demain, face à la Côte d’Ivoire. Un adversaire qui vous rend la vie dure depuis des années, que ce soit lors des éliminatoires ou soit lors des phases finales de la CAN 2012…
C’est vrai, mais rien ne dit que nous ne pouvons pas battre la Côte d’Ivoire le jeudi. Nous avons vu ses failles contre le Soudan. Les Soudanais ont posé le jeu et ont beaucoup fait douter les Eléphants. Nous pouvons en faire autant. La Côte d’Ivoire est une grande équipe du fait de ses joueurs qui évoluent dans de grands championnats. Mais la CAN a ses réalités. Et nous pensons créer la surprise à cette CAN. Nous n’avons plus le choix si nous voulons accéder au second tour. Contre la Côte d’Ivoire, ça sera du 50-50. Nous avons zéro point et nous avons besoin de victoire. Nous sommes déterminés à battre les Eléphants.
Qu’est-ce qui fera la différence dans ce match ?
L’équipe qui réussira à ouvrir le score, gagnera ce match. Ce sera un match équilibré. Mais nous pensons que la victoire sera de notre côté. Si nous réussissons à battre la Côte d’Ivoire, c’est sûr que nous jouerons la finale contre la même équipe.
Réalisé par Annoncia Séhoué, envoyé spécial