A 24 heures du choc Etalons-Eléphants au Stade de Malabo dans le cadre de la 2è journée des phases de poules, le ministre burkinabé des Sports est certain que cette rencontre sera tactique.
Quel regard portez-vous sur la CAN 2012 ?
Comme prévu, elle réserve des surprises. De gros calibres sont absents et une équipe comme le Sénégal a déjoué lors de sa première sortie face à la Zambie. C’est dire qu’il n’y a pas de petites équipes. En ce qui concerne le Burkina Faso, nous avons perdu notre premier match contre l’Angola et avons grillé notre joker.
Justement, qu’est-ce qui n’a pas marché ?
Pour ceux qui ont bien observé le match, l’absence de notre capitaine Mahamadou Kéré nous a été préjudiciable. En défense aussi, les choses ne se sont pas bien passées. Chacun a tiré les leçons de cette défaite et je pense que devant la Côte d’Ivoire, demain, nous tenterons de nous imposer pour rebondir dans cette poule B.
Qu’est-ce qui fera la différence devant les Eléphants de Côte d’Ivoire, demain ?
Le jeu sera tactique. La condition physique fera la différence. Ceux qui remporteront les duels s’imposeront.
Beaucoup de choses se disent depuis votre défaite contre l’Angola. Quel est l’avenir de votre coach portugais ?
Je ne suis pas l’employeur de Paolo Duarte. C’est la Fédération burkinabé de football (FBF) qui l’emploie. Le président de la FBF est donc mieux placé pour vous donner une réponse.
L’organisation de cette CAN vous convient-elle ?
Elle est parfaite. C’est un championnat qui exige beaucoup de rigueur. Il y a beaucoup de personnes à orienter, à guider et pour ce que j’ai vu en Guinée Equatoriale, je suis satisfait.
Combien le Burkina Faso a-t-il dégagé pour cette CAN ?
Nous n’avons pas un budget arrêté. Nous allons par étapes. Il y a eu la préparation et maintenant la phase de poules. C’est donc un peu difficile de vous dire combien d’argent a été décaissé pour cette CAN.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Quel regard portez-vous sur la CAN 2012 ?
Comme prévu, elle réserve des surprises. De gros calibres sont absents et une équipe comme le Sénégal a déjoué lors de sa première sortie face à la Zambie. C’est dire qu’il n’y a pas de petites équipes. En ce qui concerne le Burkina Faso, nous avons perdu notre premier match contre l’Angola et avons grillé notre joker.
Justement, qu’est-ce qui n’a pas marché ?
Pour ceux qui ont bien observé le match, l’absence de notre capitaine Mahamadou Kéré nous a été préjudiciable. En défense aussi, les choses ne se sont pas bien passées. Chacun a tiré les leçons de cette défaite et je pense que devant la Côte d’Ivoire, demain, nous tenterons de nous imposer pour rebondir dans cette poule B.
Qu’est-ce qui fera la différence devant les Eléphants de Côte d’Ivoire, demain ?
Le jeu sera tactique. La condition physique fera la différence. Ceux qui remporteront les duels s’imposeront.
Beaucoup de choses se disent depuis votre défaite contre l’Angola. Quel est l’avenir de votre coach portugais ?
Je ne suis pas l’employeur de Paolo Duarte. C’est la Fédération burkinabé de football (FBF) qui l’emploie. Le président de la FBF est donc mieux placé pour vous donner une réponse.
L’organisation de cette CAN vous convient-elle ?
Elle est parfaite. C’est un championnat qui exige beaucoup de rigueur. Il y a beaucoup de personnes à orienter, à guider et pour ce que j’ai vu en Guinée Equatoriale, je suis satisfait.
Combien le Burkina Faso a-t-il dégagé pour cette CAN ?
Nous n’avons pas un budget arrêté. Nous allons par étapes. Il y a eu la préparation et maintenant la phase de poules. C’est donc un peu difficile de vous dire combien d’argent a été décaissé pour cette CAN.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
