Le Premier ministre, Guillaume Soro, a reçu en audience le 25 janvier 2012, le tout nouveau PCA du CCC, Lambert Kouassi Konan. Accompagné de Mme Massandjé Touré, il a donné un aperçu de sa mission à sa sortie d’audience.
«Comme vous le savez, le mardi 24 janvier 2012, M. le ministre de l’Agriculture a présidé une séance à l’issue de laquelle a été constitué officiellement le conseil d’administration de la structure nouvelle qui doit gérer la filière café-cacao et qui se dénomme Conseil du Café Cacao. A cette occasion, les administrateurs qui ont été désignés par leur structure respective se sont réunis et par un vote unanime m’ont désigné président du Conseil du café et du cacao. Nous sommes venus ce matin saluer M. le Premier ministre qui était absent du pays, vous le savez et qui est rentré je crois il y a quelques jours pour lui rendre compte de la manière dont les choses se sont passées. M. le Premier ministre s’est réjoui de cette avancée notable parce que la mise en place de ce conseil et l’opérationnalisation de la structure issue de la réforme était une condition importante pour l’achèvement du PPTE. Il nous a donné des conseils très judicieux, il nous a d’abord mis devant nos responsabilités. La Côte d’Ivoire nous regarde, l’extérieur nous regarde et il a souhaité que conscients de cela, nous puissions relever les défis.
Nos ambitions, c’est de faire en sorte que tout soit mis en œuvre pour que la structure soit fonctionnelle, afin que la filière soit véritablement prise en main pour effacer d’abord les quelques dérives qu’on a connues dans le passé et surtout faire en sorte que tout se passe bien. Et ce, pour que comme l’a souhaité M. le président de la République, les paysans qui sont les acteurs principaux de cette filière puissent profiter au maximum du fruit de leur travail. Le président a souhaité que désormais les producteurs puissent recevoir un revenu qui soit égal ou supérieur à 60% du prix du marché international. Pour cela, il faut mettre plusieurs dispositions en place et c’est ce que nous allons nous atteler à faire ».
Est-ce que vous comptez aller sur le terrain, rencontrer les paysans, qui sont les acteurs principaux de la filière ?
Bien entendu, mais nous le ferons à terme.
Recueillis par K.Hyacinthe
«Comme vous le savez, le mardi 24 janvier 2012, M. le ministre de l’Agriculture a présidé une séance à l’issue de laquelle a été constitué officiellement le conseil d’administration de la structure nouvelle qui doit gérer la filière café-cacao et qui se dénomme Conseil du Café Cacao. A cette occasion, les administrateurs qui ont été désignés par leur structure respective se sont réunis et par un vote unanime m’ont désigné président du Conseil du café et du cacao. Nous sommes venus ce matin saluer M. le Premier ministre qui était absent du pays, vous le savez et qui est rentré je crois il y a quelques jours pour lui rendre compte de la manière dont les choses se sont passées. M. le Premier ministre s’est réjoui de cette avancée notable parce que la mise en place de ce conseil et l’opérationnalisation de la structure issue de la réforme était une condition importante pour l’achèvement du PPTE. Il nous a donné des conseils très judicieux, il nous a d’abord mis devant nos responsabilités. La Côte d’Ivoire nous regarde, l’extérieur nous regarde et il a souhaité que conscients de cela, nous puissions relever les défis.
Nos ambitions, c’est de faire en sorte que tout soit mis en œuvre pour que la structure soit fonctionnelle, afin que la filière soit véritablement prise en main pour effacer d’abord les quelques dérives qu’on a connues dans le passé et surtout faire en sorte que tout se passe bien. Et ce, pour que comme l’a souhaité M. le président de la République, les paysans qui sont les acteurs principaux de cette filière puissent profiter au maximum du fruit de leur travail. Le président a souhaité que désormais les producteurs puissent recevoir un revenu qui soit égal ou supérieur à 60% du prix du marché international. Pour cela, il faut mettre plusieurs dispositions en place et c’est ce que nous allons nous atteler à faire ».
Est-ce que vous comptez aller sur le terrain, rencontrer les paysans, qui sont les acteurs principaux de la filière ?
Bien entendu, mais nous le ferons à terme.
Recueillis par K.Hyacinthe
