Après l’énorme retard pris à l’allumage avec sa défaite face à l’Angola, le Burkina Faso s’est mis en grand danger. Le sélectionneur portugais, Paulo Duarte, en est conscient, mais il reste optimiste.
Quelle ambiance règne-t-il dans votre équipe après votre première sortie manquée (2-1) face à l’Angola ?
Heureusement, ça va, nous sommes bien. On avait à l’idée de faire une grosse Can malgré des adversaires comme la Côte d’Ivoire, l’Angola. Mais l’entrée ne nous a pas souri, car on a joué avec sept titulaires en moins contre l’Angola, et ça n’était pas fait pour nous arranger. Quand tu gagnes d’entrée, tu as 80% de chance de passer le 2ème tour, malheureusement on a perdu. Malgré cette défaite, on a été la meilleure équipe sur le terrain.
Comment expliquez-vous cette défaite ?
On a perdu parce qu’on a offert deux cadeaux à l’Angola. On s’est amusé avec la balle dans l’axe, en compétition internationale, c’est inadmissible, impensable, et on l’a payé cash.
Vous sentez-vous en danger face à la Côte d’Ivoire aujourd’hui ?
Pas vraiment. Les joueurs savent pourquoi et comment on a perdu face à l’Angola. Contre la Côte d’Ivoire, il y a une seule et unique alternative : gagner. On va donc jouer avec l’objectif de gagner. Mais si on réussit un match nul, ce ne sera pas mauvais. Ça nous donne des chances d’être au deuxième tour si on bat le Soudan à notre dernier match de poule. On sait que ce sera notre match le plus difficile du groupe, on va se donner à fond.
On sait qu’elle est l’équipe favorite du groupe et même de la compétition, mais on sait aussi qu’on a la possibilité de faire un bon match parce que nous avons des joueurs de qualité. On va se concentrer au maximum pour ne pas commettre les mêmes erreurs. Face à la Côte d’Ivoire qui a des joueurs comme Drogba, Yaya, Gervinho, Kalou, on peut payer plus cher. Il faut faire moins d’erreurs possibles, et surtout jouer vite, car les Ivoiriens ne sont pas à l’aise face à une équipe rapide.
Quelle sera la clé de ce match à votre avis ?
La volonté, le mental, et surtout la solidarité dans le groupe. Qu’on ne dise pas que la Can est perdue pour nous. Il y a encore le Soudan qui est une bonne équipe que tout le monde néglige et qui peut battre l’Angola. On est obligé de faire un bon résultat si on veut rester vivant dans la poule. Et le bon résultat pour nous, c’est une victoire ou un nul.
N’avez-vous pas la pression avant ce match décisif ?
Non, aucune. Le Burkina n’a rien à perdre dans ce match, on a déjà perdu une grande chance de qualification. Donc on n’a d’autre choix que de gagner. C’est la victoire ou rien.
Réalisé par Tibet Kipré, à Malabo
Quelle ambiance règne-t-il dans votre équipe après votre première sortie manquée (2-1) face à l’Angola ?
Heureusement, ça va, nous sommes bien. On avait à l’idée de faire une grosse Can malgré des adversaires comme la Côte d’Ivoire, l’Angola. Mais l’entrée ne nous a pas souri, car on a joué avec sept titulaires en moins contre l’Angola, et ça n’était pas fait pour nous arranger. Quand tu gagnes d’entrée, tu as 80% de chance de passer le 2ème tour, malheureusement on a perdu. Malgré cette défaite, on a été la meilleure équipe sur le terrain.
Comment expliquez-vous cette défaite ?
On a perdu parce qu’on a offert deux cadeaux à l’Angola. On s’est amusé avec la balle dans l’axe, en compétition internationale, c’est inadmissible, impensable, et on l’a payé cash.
Vous sentez-vous en danger face à la Côte d’Ivoire aujourd’hui ?
Pas vraiment. Les joueurs savent pourquoi et comment on a perdu face à l’Angola. Contre la Côte d’Ivoire, il y a une seule et unique alternative : gagner. On va donc jouer avec l’objectif de gagner. Mais si on réussit un match nul, ce ne sera pas mauvais. Ça nous donne des chances d’être au deuxième tour si on bat le Soudan à notre dernier match de poule. On sait que ce sera notre match le plus difficile du groupe, on va se donner à fond.
On sait qu’elle est l’équipe favorite du groupe et même de la compétition, mais on sait aussi qu’on a la possibilité de faire un bon match parce que nous avons des joueurs de qualité. On va se concentrer au maximum pour ne pas commettre les mêmes erreurs. Face à la Côte d’Ivoire qui a des joueurs comme Drogba, Yaya, Gervinho, Kalou, on peut payer plus cher. Il faut faire moins d’erreurs possibles, et surtout jouer vite, car les Ivoiriens ne sont pas à l’aise face à une équipe rapide.
Quelle sera la clé de ce match à votre avis ?
La volonté, le mental, et surtout la solidarité dans le groupe. Qu’on ne dise pas que la Can est perdue pour nous. Il y a encore le Soudan qui est une bonne équipe que tout le monde néglige et qui peut battre l’Angola. On est obligé de faire un bon résultat si on veut rester vivant dans la poule. Et le bon résultat pour nous, c’est une victoire ou un nul.
N’avez-vous pas la pression avant ce match décisif ?
Non, aucune. Le Burkina n’a rien à perdre dans ce match, on a déjà perdu une grande chance de qualification. Donc on n’a d’autre choix que de gagner. C’est la victoire ou rien.
Réalisé par Tibet Kipré, à Malabo
