Les opérateurs de téléphonie devront s’atteler désormais à offrir des services de qualité à leurs abonnés sous peine de sanction ‘’renforcées’’, leur a fait savoir jeudi, lors d’une réunion à son cabinet, le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Bruno Nabagné Koné.
Faisant écho des plaintes récurrentes des usagers concernant leur non satisfaction pour la qualité des services offerts par les sociétés de téléphonie, Bruno Koné a martelé que désormais, les sanctions seront renforcées à l’encontre des opérateurs mis en cause.
Tout en exprimant sa compréhension et sa compassion pour les préjudices et dégâts subis par les sociétés de téléphonie lors de la crise postélectorale, le premier responsable des TIC a dit s’expliquer difficilement le fait qu’aujourd’hui, huit mois après la crise postélectorale et six mois après la mise en place du gouvernement, les choses puissent traîner encore, en termes de régularisation.
Aussi, Bruno Nabagné Koné qui a rappelé la suppression des pénalités liées à la qualité des services, de juin à décembre, a-t-il annoncé la levée de cette mesure. Il a averti les opérateurs que les sanctions seront donc renforcées, expliquant que « les indicateurs de qualité de service seront redéfinis pour être plus contraignants pour chacun des opérateurs ».
« Les sanctions seront suffisamment importantes pour inciter chacun (des opérateurs) à régulariser le plus rapidement son réseau », a prévenu Bruno Koné, assurant que l’Etat continuera de faire sa part pour l’amélioration de la qualité des services de téléphonie.
D’ailleurs, à cet effet, un comité ad hoc a été mis en place qui devra faire, sous trois semaines, des recommandations plus précises qui seront impératives pour tous les opérateurs, a noté le ministre. Ce comité comprend notamment les ministères de la Poste et des TIC et celui de l’Environnement et du Développement durable, l’Agence des télécommunications de Côte d’Ivoire (ATCI), des représentants des opérateurs de téléphonie, la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE).
L`on enregistre quelque 15 millions d`abonnés de téléphonie mobile en Côte d`Ivoire.
(AIP)
cma
Faisant écho des plaintes récurrentes des usagers concernant leur non satisfaction pour la qualité des services offerts par les sociétés de téléphonie, Bruno Koné a martelé que désormais, les sanctions seront renforcées à l’encontre des opérateurs mis en cause.
Tout en exprimant sa compréhension et sa compassion pour les préjudices et dégâts subis par les sociétés de téléphonie lors de la crise postélectorale, le premier responsable des TIC a dit s’expliquer difficilement le fait qu’aujourd’hui, huit mois après la crise postélectorale et six mois après la mise en place du gouvernement, les choses puissent traîner encore, en termes de régularisation.
Aussi, Bruno Nabagné Koné qui a rappelé la suppression des pénalités liées à la qualité des services, de juin à décembre, a-t-il annoncé la levée de cette mesure. Il a averti les opérateurs que les sanctions seront donc renforcées, expliquant que « les indicateurs de qualité de service seront redéfinis pour être plus contraignants pour chacun des opérateurs ».
« Les sanctions seront suffisamment importantes pour inciter chacun (des opérateurs) à régulariser le plus rapidement son réseau », a prévenu Bruno Koné, assurant que l’Etat continuera de faire sa part pour l’amélioration de la qualité des services de téléphonie.
D’ailleurs, à cet effet, un comité ad hoc a été mis en place qui devra faire, sous trois semaines, des recommandations plus précises qui seront impératives pour tous les opérateurs, a noté le ministre. Ce comité comprend notamment les ministères de la Poste et des TIC et celui de l’Environnement et du Développement durable, l’Agence des télécommunications de Côte d’Ivoire (ATCI), des représentants des opérateurs de téléphonie, la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE).
L`on enregistre quelque 15 millions d`abonnés de téléphonie mobile en Côte d`Ivoire.
(AIP)
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