"Le match de la dernière chance", "Pas de choix", "Faut-il y croire?" titrait vendredi, unanime, la presse au Maroc à quelques heures du match contre le pays hôte, le Gabon, lors de la 2e journée du groupe C de la CAN-2012.
Le Maroc, un des favoris de la CAN-2012, doit éviter le syndrome sénégalais vendredi contre le Gabon, après sa défaite lundi en ouverture contre la Tunisie (2-1).
"Après la défaite concédée d'entrée face à la Tunisie, le Maroc joue le match de la dernière chance", écrit le quotidien francophone AuFait (25.000 exemplaires) dans son édition de vendredi.
"Les lions de l'Atlas sont dos au mur. Ils sont obligés de prendre le dessus sur les Panthères" du Gabon, selon AuFait.
Dans une déclaration jeudi à l'AFP, le sélectionneur belge du Maroc Eric Gerets a reconnu qu'il jouait "le tournoi le plus important de sa carrière d'entraîneur".
"Faut-il y croire?", s'interroge pour sa part le quotidien marocain L'Opinion. "Le Sénégal était aussi favori que le Maroc. Il est le premier à quitter la compétition après deux défaites consécutives".
Le Gabon, qui a commencé par une victoire face au Niger, veut surfer sur sa dynamique à l'image de son voisin équato-guinéen qui a déjoué tous les pronostics.
"Le Maroc n'a pas le choix ce soir. Il doit absolument gagner et Gerets a intérêt à ne pas répéter les mêmes erreurs que lors du match contre la Tunisie", souligne le quotidien arabophone Alittihad Ichtiraki.
Le Maroc, un des favoris de la CAN-2012, doit éviter le syndrome sénégalais vendredi contre le Gabon, après sa défaite lundi en ouverture contre la Tunisie (2-1).
"Après la défaite concédée d'entrée face à la Tunisie, le Maroc joue le match de la dernière chance", écrit le quotidien francophone AuFait (25.000 exemplaires) dans son édition de vendredi.
"Les lions de l'Atlas sont dos au mur. Ils sont obligés de prendre le dessus sur les Panthères" du Gabon, selon AuFait.
Dans une déclaration jeudi à l'AFP, le sélectionneur belge du Maroc Eric Gerets a reconnu qu'il jouait "le tournoi le plus important de sa carrière d'entraîneur".
"Faut-il y croire?", s'interroge pour sa part le quotidien marocain L'Opinion. "Le Sénégal était aussi favori que le Maroc. Il est le premier à quitter la compétition après deux défaites consécutives".
Le Gabon, qui a commencé par une victoire face au Niger, veut surfer sur sa dynamique à l'image de son voisin équato-guinéen qui a déjoué tous les pronostics.
"Le Maroc n'a pas le choix ce soir. Il doit absolument gagner et Gerets a intérêt à ne pas répéter les mêmes erreurs que lors du match contre la Tunisie", souligne le quotidien arabophone Alittihad Ichtiraki.