Ouattara coache ses maires…
Le président Ouattara était décidément sur tous les fronts lors de sa visite à Paris. Hier, il a successivement visité le chef du gouvernement français, François Fillon, le président de l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer et le maire de Paris. Cette visite à l’hôtel de ville de Paris visait surtout à établir un pont entre les élus ivoiriens et français pour booster le développement en Côte d’Ivoire.
…et, va poursuivre la dette intérieure
Lors des échanges avec les entrepreneurs français, Alassane Ouattara a laissé entendre que la restructuration de la dette intérieure va se poursuivre. Car, rien n’indique, selon lui, que les chiffres à lui présentés n’ont pas été ‘’gonflés.
Et les partisans de Gbagbo ?
Ils avaient promis battre le pavé lors de la visite d’Alassane Ouattara. Finalement, on ne les a vus nulle part. Les partisans de Laurent Gbagbo ont sans doute été dissuadés par les forces de l’ordre françaises.
Bni, Versus bank…, c’est fini !
Les banques ivoiriennes, placées dans le giron de l’Etat, devraient bientôt changer de propriétaire. C’est du moins ce qu’a laissé entendre le président Alassane Ouattara lors de sa rencontre avec le Medef. Selon les explications du chef de l’exécutif, ces banques seront privatisées et, le cas échéant, l’Etat ne garderait que de petites parts dans ces entreprises, pour s’assurer qu’elles respectent les lois en vigueur dans le pays. « Les nombreuses banques publiques qui ont été créées ces derniers temps, seront liquidées, privatisées. Je ne pense pas que la place de l’Etat soit nécessairement d’investir dans les banques », a annoncé le président Ouattara, regrettant que ces mêmes mesures qu’il a dû prendre entre 1990 et 1993, quand il était chef du gouvernement, aient été jetées à la poubelle. Pour lui, au-delà de la bonne gouvernance qui sous-tend une telle décision, il y a la nécessité pour l’Etat d’aider les établissements financiers à accompagner le réveil économique de la Côte d’Ivoire. Mais, en réitérant son attachement à l’économie libérale, Alassane Ouattara indique : « je crois à la croissance par l’investissement du secteur privé. Une stratégie du développement du secteur financier avec l’aide du Fmi et de la Banque mondiale sera donc mise en œuvre pour assurer un développement adéquat de notre économie », a-t-il ajouté. Une nouvelle qui a plutôt été bien accueillie par les banquiers français, déjà bien présents en Côte d’Ivoire.
M. D. à Paris
Le président Ouattara était décidément sur tous les fronts lors de sa visite à Paris. Hier, il a successivement visité le chef du gouvernement français, François Fillon, le président de l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer et le maire de Paris. Cette visite à l’hôtel de ville de Paris visait surtout à établir un pont entre les élus ivoiriens et français pour booster le développement en Côte d’Ivoire.
…et, va poursuivre la dette intérieure
Lors des échanges avec les entrepreneurs français, Alassane Ouattara a laissé entendre que la restructuration de la dette intérieure va se poursuivre. Car, rien n’indique, selon lui, que les chiffres à lui présentés n’ont pas été ‘’gonflés.
Et les partisans de Gbagbo ?
Ils avaient promis battre le pavé lors de la visite d’Alassane Ouattara. Finalement, on ne les a vus nulle part. Les partisans de Laurent Gbagbo ont sans doute été dissuadés par les forces de l’ordre françaises.
Bni, Versus bank…, c’est fini !
Les banques ivoiriennes, placées dans le giron de l’Etat, devraient bientôt changer de propriétaire. C’est du moins ce qu’a laissé entendre le président Alassane Ouattara lors de sa rencontre avec le Medef. Selon les explications du chef de l’exécutif, ces banques seront privatisées et, le cas échéant, l’Etat ne garderait que de petites parts dans ces entreprises, pour s’assurer qu’elles respectent les lois en vigueur dans le pays. « Les nombreuses banques publiques qui ont été créées ces derniers temps, seront liquidées, privatisées. Je ne pense pas que la place de l’Etat soit nécessairement d’investir dans les banques », a annoncé le président Ouattara, regrettant que ces mêmes mesures qu’il a dû prendre entre 1990 et 1993, quand il était chef du gouvernement, aient été jetées à la poubelle. Pour lui, au-delà de la bonne gouvernance qui sous-tend une telle décision, il y a la nécessité pour l’Etat d’aider les établissements financiers à accompagner le réveil économique de la Côte d’Ivoire. Mais, en réitérant son attachement à l’économie libérale, Alassane Ouattara indique : « je crois à la croissance par l’investissement du secteur privé. Une stratégie du développement du secteur financier avec l’aide du Fmi et de la Banque mondiale sera donc mise en œuvre pour assurer un développement adéquat de notre économie », a-t-il ajouté. Une nouvelle qui a plutôt été bien accueillie par les banquiers français, déjà bien présents en Côte d’Ivoire.
M. D. à Paris