Abidjan - L`ONU, par le truchement de sa mission en Côte d’Ivoire, reconnaît que des progrès ont été enregistrés par le gouvernement ivoirien, dans les domaines de la sécurité, de la réconciliation nationale et du dialogue politique, depuis la fin de la crise postélectorale en avril, marquée également par la fin des hostilités entre partisans de l`ex-régime Gbagbo et les forces pro-Ouattara.
Le porte-parole de sa représentation locale, Hamadou Touré, a souligné, vendredi, lors de son point de presse hebdomadaire, qu`"il y a des signes encourageants qui en donnent mouvement, notamment la réforme en cours au niveau de la sécurité et de la défense", et salué l`engagement du gouvernement ivoirien à les traduire en actes concrets.
Dans cette perspective, le Premier ministre, Guillaume Soro, également en charge de la Défense, à la tête d`une délégation comprenant le ministre de l`Intérieur, le ministre d`Etat Hamed Bakayoko, et le ministre délégué à la Défense, Paul Koffi Koffi, entreprend, bientôt, une "tournée de contact" avec les troupes, annonce-t-on.
Des incidents violents ont, ces temps derniers, émaillé le quotidien des populations, à l`instar des foyers de tension signalés à Vavoua (Centre-ouest) et à Sikensi (Sud), où des affrontements ont opposé des éléments des Forces républicaines de Côte d`Ivoire (FRCI) et des populations de ces localités, et qui ont fait des morts ainsi que de nombreux blessés, de part et d`autre.
Par ailleurs, un quotidien de la place, dans son édition de vendredi, révèle que des "velléités de déstabilisation" sont en cours contre le régime Ouattara, à partir de Toulépleu, une localité frontalière ivoiro-libérienne. Cette source impute ces manoeuvres à une connection de miliciens et mercenaires pro-Gbagbo et des dirigeants et cadres se réclamant de l`ex-pouvoir, exilés à l`étranger, et fait savoir que plus de 80 miliciens et mercenaires, tapis dans des localités libériennes, frontalières à la Côte d`Ivoire, auraient même été arrêtés par des services libériens.
Si la question de la sécurité demeure préjudicielle pour induire la relance écopnomique et le développement, la promotion du dialogue politique en est un autre défi, signale l`ONU. Jeudi, au Conseil de sécurité, à New-York, son représentant spécial pour la Côte d`Ivoire, le Néerlandais Bert Koenders, a présenté son rapport périodique, et fait part des initiatives en direction du gouvernement ivoirien ainsi que de l’opposition politique, pour faciliter et encourager les échanges.
Le porte-parole de sa représentation locale, Hamadou Touré, a souligné, vendredi, lors de son point de presse hebdomadaire, qu`"il y a des signes encourageants qui en donnent mouvement, notamment la réforme en cours au niveau de la sécurité et de la défense", et salué l`engagement du gouvernement ivoirien à les traduire en actes concrets.
Dans cette perspective, le Premier ministre, Guillaume Soro, également en charge de la Défense, à la tête d`une délégation comprenant le ministre de l`Intérieur, le ministre d`Etat Hamed Bakayoko, et le ministre délégué à la Défense, Paul Koffi Koffi, entreprend, bientôt, une "tournée de contact" avec les troupes, annonce-t-on.
Des incidents violents ont, ces temps derniers, émaillé le quotidien des populations, à l`instar des foyers de tension signalés à Vavoua (Centre-ouest) et à Sikensi (Sud), où des affrontements ont opposé des éléments des Forces républicaines de Côte d`Ivoire (FRCI) et des populations de ces localités, et qui ont fait des morts ainsi que de nombreux blessés, de part et d`autre.
Par ailleurs, un quotidien de la place, dans son édition de vendredi, révèle que des "velléités de déstabilisation" sont en cours contre le régime Ouattara, à partir de Toulépleu, une localité frontalière ivoiro-libérienne. Cette source impute ces manoeuvres à une connection de miliciens et mercenaires pro-Gbagbo et des dirigeants et cadres se réclamant de l`ex-pouvoir, exilés à l`étranger, et fait savoir que plus de 80 miliciens et mercenaires, tapis dans des localités libériennes, frontalières à la Côte d`Ivoire, auraient même été arrêtés par des services libériens.
Si la question de la sécurité demeure préjudicielle pour induire la relance écopnomique et le développement, la promotion du dialogue politique en est un autre défi, signale l`ONU. Jeudi, au Conseil de sécurité, à New-York, son représentant spécial pour la Côte d`Ivoire, le Néerlandais Bert Koenders, a présenté son rapport périodique, et fait part des initiatives en direction du gouvernement ivoirien ainsi que de l’opposition politique, pour faciliter et encourager les échanges.