Hôtel. L'encadrement du Burkina Faso n'est pas du tout satisfait des conditions dans lesquelles il est logé à Mbini, à une demi-heure de route de Bata. Les Etalons ont ainsi subi de longues coupures d'eau dès leur première nuit. Un grand contraste avec le
luxueux Sofitel où ils séjournaient à Malabo...
Ego. La tête d'Asamoah Gyan passe-t-elle encore l'embrasure des portes ? "Chaque équipe qui affronte le Ghana vient défendre sur Asamoah Gyan, a-t-il dit dimanche en utilisant la troisième personne du singulier. Je suis l'attaquant de pointe du pays depuis six ans, ça montre à quel point je suis bon. Je dois prendre mes responsabilités et je l'ai fait en marquant (contre le Mali, succès 2-0, NDLR) même si j'avais donné l'impression de disparaître du match".
Maudit (suite). John Mensah, buteur exclu pour le premier match du Ghana (1-0 contre le Botswana), s'était par-dessus le marché blessé. Une habitude depuis 2008. Mais si le capitaine des Black Stars ne s'est toujours pas entraîné dimanche, il s'est voulu rassurant. "Je me sens mieux chaque jour, a dit le défenseur central de Lyon. Le médecin a dit après la radio à Libreville que c'était une blessure mineure. Je suis un traitement et je serai bientôt de retour".
Délai. Le capitaine du Sénégal Mamadou Niang, qui devait visiblement régler une question vestimentaire juste avant le coup de sifflet initial du match contre la Libye, a dû patienter jusqu'au premier arrêt de jeu, une minute trente au total, avant de pouvoir entrer en jeu. Pareille mésaventure était arrivée au milieu angolais Gilberto, qui n'avait pas revêtu les bonnes chaussettes contre le Soudan et avait mis trois bonnes minutes avant de pouvoir entrer en jeu.
Stadiers. Le stade de Bata sonnait creux pour Libye-Sénégal, avec pas plus de deux cents spectateurs, la plupart sénégalais. Des tribunes entières étaient donc vides, mais elles étaient tout de même surveillées, dos au match, par les consciencieux stadiers !
luxueux Sofitel où ils séjournaient à Malabo...
Ego. La tête d'Asamoah Gyan passe-t-elle encore l'embrasure des portes ? "Chaque équipe qui affronte le Ghana vient défendre sur Asamoah Gyan, a-t-il dit dimanche en utilisant la troisième personne du singulier. Je suis l'attaquant de pointe du pays depuis six ans, ça montre à quel point je suis bon. Je dois prendre mes responsabilités et je l'ai fait en marquant (contre le Mali, succès 2-0, NDLR) même si j'avais donné l'impression de disparaître du match".
Maudit (suite). John Mensah, buteur exclu pour le premier match du Ghana (1-0 contre le Botswana), s'était par-dessus le marché blessé. Une habitude depuis 2008. Mais si le capitaine des Black Stars ne s'est toujours pas entraîné dimanche, il s'est voulu rassurant. "Je me sens mieux chaque jour, a dit le défenseur central de Lyon. Le médecin a dit après la radio à Libreville que c'était une blessure mineure. Je suis un traitement et je serai bientôt de retour".
Délai. Le capitaine du Sénégal Mamadou Niang, qui devait visiblement régler une question vestimentaire juste avant le coup de sifflet initial du match contre la Libye, a dû patienter jusqu'au premier arrêt de jeu, une minute trente au total, avant de pouvoir entrer en jeu. Pareille mésaventure était arrivée au milieu angolais Gilberto, qui n'avait pas revêtu les bonnes chaussettes contre le Soudan et avait mis trois bonnes minutes avant de pouvoir entrer en jeu.
Stadiers. Le stade de Bata sonnait creux pour Libye-Sénégal, avec pas plus de deux cents spectateurs, la plupart sénégalais. Des tribunes entières étaient donc vides, mais elles étaient tout de même surveillées, dos au match, par les consciencieux stadiers !
