Le dernier rempart des Eléphants a montré un visage séduisant au cours des deux premiers matches de poule. Très souvent critiqué, Copa Barry semble, enfin, sortir le grand jeu. Au bout d’un travail inlassable, selon le sociétaire de Lokeren (Belgique) qui affiche une humilité sans pareille.
Comme face au Soudan, la Côte d’Ivoire a gagné dans la douleur. Qu’est-ce qui a fait la différence en fin de compte ?
On savait qu’individuellement ils ont un bon potentiel. Avec des joueurs tels que Pitroïpa, Dagano, Alain Traoré. Nous avons donc joué sur un bloc compact, tous ensemble. Cela est très important. Car, on est convaincu que pour aller loin, il va falloir être solidaires. Individuellement, ce ne sera pas possible.
Vous croisez l’Angola, ce lundi, pour le dernier match de poule. La qualification étant déjà acquise, la victoire est-elle obligatoire ?
Bien sûr ! Nous sommes des gagneurs. On est là pour gagner tous nos matches. De plus, on joue pour la première place ; on va tout faire pour se faire respecter.
Voulez-vous éviter la Guinée-Equatoriale en quarts de finale ?
On joue pour la gagne. Maintenant, au second tour, quel que soit l’adversaire, il faut le battre.
Copa Barry est particulièrement dans une grande forme. Comment avez-vous préparé cette Can ?
Moi, je continue à travailler. Peut-être que, par la grâce de Dieu, je commence à être récompensé de mes efforts. Mais, il n’y a pas que ces deux matches. Il faut rester concentré. On a un dernier match contre l’Angola, il faut le gagner pour garder la tête de la poule et aborder les quarts de finale avec sérénité. Certes, ce ne sera pas de tout repos pour la suite. Mais, je suis déjà très content de pouvoir apporter quelque chose à l’équipe.
C’est quand même un retour en force, vu qu’à un moment donné vous étiez barré en sélection par Yeboah Daniel…
Le coach a fait son choix, il faut le respecter. Il y a des éléments qui sont appelés pour défendre les couleurs du pays. Il faut mériter une place. Moi, je continue à travailler. Une place de numéro un n’est jamais acquise définitivement. Si tel ou tel peut apporter à la Côte d’I voire, il est normal que le coach lui accorde sa confiance. Dans tous les cas, c’est l’intérêt de la nation d’abord.
Vous parlez beaucoup à vos défenseurs. Est-ce à dire qu’il y a des failles au niveau de ce dernier rideau ?
C’est ce que le coach à demandé. On essaie donc de communiquer au maximum pour prévenir certaines erreurs. On ne peut pas être parfaits, c’est sûr. Mais, le plus important, c’est de ne pas prendre de buts. Cela fait deux matches que nous sommes souverains derrière. C’est de bonne guerre. Il faut maintenir cette dynamique.
Réalisée à Malabo par
MARTIAL GALE
Comme face au Soudan, la Côte d’Ivoire a gagné dans la douleur. Qu’est-ce qui a fait la différence en fin de compte ?
On savait qu’individuellement ils ont un bon potentiel. Avec des joueurs tels que Pitroïpa, Dagano, Alain Traoré. Nous avons donc joué sur un bloc compact, tous ensemble. Cela est très important. Car, on est convaincu que pour aller loin, il va falloir être solidaires. Individuellement, ce ne sera pas possible.
Vous croisez l’Angola, ce lundi, pour le dernier match de poule. La qualification étant déjà acquise, la victoire est-elle obligatoire ?
Bien sûr ! Nous sommes des gagneurs. On est là pour gagner tous nos matches. De plus, on joue pour la première place ; on va tout faire pour se faire respecter.
Voulez-vous éviter la Guinée-Equatoriale en quarts de finale ?
On joue pour la gagne. Maintenant, au second tour, quel que soit l’adversaire, il faut le battre.
Copa Barry est particulièrement dans une grande forme. Comment avez-vous préparé cette Can ?
Moi, je continue à travailler. Peut-être que, par la grâce de Dieu, je commence à être récompensé de mes efforts. Mais, il n’y a pas que ces deux matches. Il faut rester concentré. On a un dernier match contre l’Angola, il faut le gagner pour garder la tête de la poule et aborder les quarts de finale avec sérénité. Certes, ce ne sera pas de tout repos pour la suite. Mais, je suis déjà très content de pouvoir apporter quelque chose à l’équipe.
C’est quand même un retour en force, vu qu’à un moment donné vous étiez barré en sélection par Yeboah Daniel…
Le coach a fait son choix, il faut le respecter. Il y a des éléments qui sont appelés pour défendre les couleurs du pays. Il faut mériter une place. Moi, je continue à travailler. Une place de numéro un n’est jamais acquise définitivement. Si tel ou tel peut apporter à la Côte d’I voire, il est normal que le coach lui accorde sa confiance. Dans tous les cas, c’est l’intérêt de la nation d’abord.
Vous parlez beaucoup à vos défenseurs. Est-ce à dire qu’il y a des failles au niveau de ce dernier rideau ?
C’est ce que le coach à demandé. On essaie donc de communiquer au maximum pour prévenir certaines erreurs. On ne peut pas être parfaits, c’est sûr. Mais, le plus important, c’est de ne pas prendre de buts. Cela fait deux matches que nous sommes souverains derrière. C’est de bonne guerre. Il faut maintenir cette dynamique.
Réalisée à Malabo par
MARTIAL GALE