L’on croyait le débat sur la présidence de l’Assemblée nationale clos avec la dernière intervention du président de la république sur la question lors de la visite d’Etat qu’il y a effectué récemment en France. Mais le lobbying fait en ce moment par le secrétaire général du Pdci, aux fins d’occuper ce poste relance les hostilités.
Le secrétaire général du Pdci-Rda, le professeur Alphonse Djédjé Mady ne démord pas dans son ambition de briguer le perchoir de l’Assemblée nationale. Alors que l’on croyait clos le débat sur le sujet après la réponse clair du président de la république lors de sa récente visite d’Etat en France, le président du directoire du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix, Rhdp, lui, continue son lobbying auprès des manitous de la politique ivoirienne en vue de se positionner pour ce fauteuil. Selon une source digne de foi, le candidat (encore officieux) à la présidence de l’Assemblée nationale a rencontré un ancien et fidèle compagnon d’Houphouët Boigny pour solliciter son soutien. Pourtant, le chef de l’Etat s’est déjà prononcé clairement sur le sujet. « Le Rdr a la majorité des députés. La présidence de l’Assemblée nationale lui reviendra », a –t-il dit en substance, lors d’une interview qu’il a accordée à nos confrères de France 24 et Rfi. Et le chef de l’Etat est plus que logique dans sa réponse car son parti détient la majorité des sièges au futur parlement avec 127 députés sur 254. Si ce n’est dans le cadre d’un accord qui le contraint à céder ce fauteuil, le Rdr n’éprouverait aucune peine à l’occuper. Or le seul accord qui le lie au Pdci, dont Djédjé mady est le secrétaire général porte sur la primature. Là encore, le président de la République avoue que c’est le Pdci qui ne montre pas des signes d’impatience qui le pousse à traduire sa promesse en acte. Mais alors, pourquoi, le professeur Mady s’entête-t-il à briguer le perchoir de l’Assemblée nationale tout en sachant que ses chances de succès sont insignifiantes ? De source proche de la direction du Pdci, l’on soutient que la réaction du secrétaire général est la manifestation d’un dépit, une forme de protestation contre la mauvaise passe faite au parti par leur allié dans la gestion du pouvoir acquis ensemble. Des cadres qui ont requis l’anonymat ont promis de pousser Djédjé Mady à définir clairement sa position lors de la réunion du Secrétariat général qui se tient ce soir.
U.M
Le secrétaire général du Pdci-Rda, le professeur Alphonse Djédjé Mady ne démord pas dans son ambition de briguer le perchoir de l’Assemblée nationale. Alors que l’on croyait clos le débat sur le sujet après la réponse clair du président de la république lors de sa récente visite d’Etat en France, le président du directoire du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix, Rhdp, lui, continue son lobbying auprès des manitous de la politique ivoirienne en vue de se positionner pour ce fauteuil. Selon une source digne de foi, le candidat (encore officieux) à la présidence de l’Assemblée nationale a rencontré un ancien et fidèle compagnon d’Houphouët Boigny pour solliciter son soutien. Pourtant, le chef de l’Etat s’est déjà prononcé clairement sur le sujet. « Le Rdr a la majorité des députés. La présidence de l’Assemblée nationale lui reviendra », a –t-il dit en substance, lors d’une interview qu’il a accordée à nos confrères de France 24 et Rfi. Et le chef de l’Etat est plus que logique dans sa réponse car son parti détient la majorité des sièges au futur parlement avec 127 députés sur 254. Si ce n’est dans le cadre d’un accord qui le contraint à céder ce fauteuil, le Rdr n’éprouverait aucune peine à l’occuper. Or le seul accord qui le lie au Pdci, dont Djédjé mady est le secrétaire général porte sur la primature. Là encore, le président de la République avoue que c’est le Pdci qui ne montre pas des signes d’impatience qui le pousse à traduire sa promesse en acte. Mais alors, pourquoi, le professeur Mady s’entête-t-il à briguer le perchoir de l’Assemblée nationale tout en sachant que ses chances de succès sont insignifiantes ? De source proche de la direction du Pdci, l’on soutient que la réaction du secrétaire général est la manifestation d’un dépit, une forme de protestation contre la mauvaise passe faite au parti par leur allié dans la gestion du pouvoir acquis ensemble. Des cadres qui ont requis l’anonymat ont promis de pousser Djédjé Mady à définir clairement sa position lors de la réunion du Secrétariat général qui se tient ce soir.
U.M