A mi-parcours de la mission de réhabilitation et de construction d’infrastructures urbaines, le Projet d’urgence d’infrastructures urbaines (Puiur) a marqué une pause, le vendredi 27 janvier dernier, pour présenter officiellement les chantiers déjà entamés. C’était au cours d’une conférence de presse animée par Pierre Dimba, son Coordonnateur national.
Présentant officiellement les réalisations effectuées dans le cadre du Projet d’urgence d’infrastructures urbaines, Pierre Dimba a jugé «très satisfaisant l’exécution du projet» dont il est le coordonnateur national. Selon lui en effet, 36 milliards Fcfa ont été dégagés pour le succès de cette opération qui consiste à réhabiliter et à construire des infrastructures économiques pour résorber le déficit constaté en la matière. Selon lui, 120 marchés et contrats ont été conclus sur les 123 identifiés. Indiquant que 112 de ces marchés ont été achevés tandis que 3 n’ont pas encore démarrés. « La plupart des emprises sont occupées par les commerçants et les habitants », a regretté le coordonnateur du Puiur pour lever un coin de voile sur les difficultés rencontrées dans l’exécution de ce projet révolutionnaire. Au nombre de celles-ci, Pierre Dimba est revenu sur l’indiscipline constatée chez les populations. Toute chose qui, selon lui, constitue un frein à l’avancement des travaux. Pour cette année, il a annoncé que l’accent sera mis sur la sensibilisation et la communication en vue d’amener les populations à s’impliquer davantage dans le succès du projet d’urgence d’infrastructures urbaines. Pour ce qui concerne l’échangeur de la Riviera II, Pierre Dimba a indiqué que les travaux de réalisation de cette infrastructure n’entraineront pas la fermeture de cette voie fortement empruntée. Mais bien au contraire, elle sera réduite. Il est bon de noter que le Projet d’urgence d’infrastructures urbaines a été initié en 2008 par le gouvernement, en partenariat avec la Banque mondiale. Avec pour mission principale d’intervenir dans les secteurs sensibles de l’eau potable, l’assainissement urbain, les déchets solides, la voirie urbaine et les collectivités locales.
Idrissa Konaté
Présentant officiellement les réalisations effectuées dans le cadre du Projet d’urgence d’infrastructures urbaines, Pierre Dimba a jugé «très satisfaisant l’exécution du projet» dont il est le coordonnateur national. Selon lui en effet, 36 milliards Fcfa ont été dégagés pour le succès de cette opération qui consiste à réhabiliter et à construire des infrastructures économiques pour résorber le déficit constaté en la matière. Selon lui, 120 marchés et contrats ont été conclus sur les 123 identifiés. Indiquant que 112 de ces marchés ont été achevés tandis que 3 n’ont pas encore démarrés. « La plupart des emprises sont occupées par les commerçants et les habitants », a regretté le coordonnateur du Puiur pour lever un coin de voile sur les difficultés rencontrées dans l’exécution de ce projet révolutionnaire. Au nombre de celles-ci, Pierre Dimba est revenu sur l’indiscipline constatée chez les populations. Toute chose qui, selon lui, constitue un frein à l’avancement des travaux. Pour cette année, il a annoncé que l’accent sera mis sur la sensibilisation et la communication en vue d’amener les populations à s’impliquer davantage dans le succès du projet d’urgence d’infrastructures urbaines. Pour ce qui concerne l’échangeur de la Riviera II, Pierre Dimba a indiqué que les travaux de réalisation de cette infrastructure n’entraineront pas la fermeture de cette voie fortement empruntée. Mais bien au contraire, elle sera réduite. Il est bon de noter que le Projet d’urgence d’infrastructures urbaines a été initié en 2008 par le gouvernement, en partenariat avec la Banque mondiale. Avec pour mission principale d’intervenir dans les secteurs sensibles de l’eau potable, l’assainissement urbain, les déchets solides, la voirie urbaine et les collectivités locales.
Idrissa Konaté