Notre Voie : La Guinée équatoriale va disputer les quarts de finale contre la Côte d’Ivoire, votre pays d’origine. Avez- vous des appréhensions ?
Konaté Mamadou : C’est un match comme tous les autres. Mais il va être difficile aussi bien pour nous que pour les Eléphants. Il va falloir mettre du sérieux dans la préparation pour jouer ce match. La Côte d’Ivoire a d’énormes potentialités. Nous mettrons tous les atouts de notre côté pour bien gérer cette rencontre.
N.V : Comment avez-vous accueilli la nouvelle de votre rencontre de quarts de finale contre la Côte d’Ivoire ?
K.M : Honnêtement, on voulait éviter la Côte d’Ivoire qui est la favorite de cette compétition. Mais comme le sort a voulu qu’on joue contre elle, on se dit qu’on n’a plus le choix. Nous allons jouer à fond notre qualification pour les demi-finales.
N.V : Ce match, un dilemme pour vous, Ivoirien d’origine et Equato-guinéen d’adoption ?
K.M : Je n’ai pas de problème à ce niveau. Je ne suis pas le premier joueur à être dans cette position. Beaucoup de joueurs l’ont été et ont fait correctement leur boulot. Je me prends comme un professionnel. La Guinée équatoriale m’a donné l’opportunité d’évoluer sur le plan international. C’est cela qui me permet de vivre. Je n’ai pas de raison de me dérober. Je dois jouer sans état d’âme. J’aurai peut-être un petit pincement au cœur, mais je fais mon boulot.
N.V : Comment entendez-vous donc aborder ce match?
K.M : Ce n’est plus une affaire technique ou tactique. Maintenant, tout va se jouer sur le plan mental. A ce niveau de la compétition, il n’y a plus de petite équipe. Nous allons aborder ce match sans trembler. Avec l’élimination des grands pays que nous connaissons, personne n’est à l’abri de quoi que ce soit, y compris bien sûr la Côte d’Ivoire. Je veux dire que nous avons des chances de réaliser une surprise. Ce n’est pas un championnat. Nous allons jouer à fond. Que la Côte d’Ivoire fasse donc très attention.
N.V : Vous vouliez battre la Zambie pour éviter la Côte d’Ivoire, mais les choses ont coincé. Qu’est-ce qui n’a pas marché ce jour là ?
B.M : Il y a des jours sans. On s’est vainement battu pour obtenir une victoire. Le résultat nous a déçus, mais on avait déjà réalisé l’essentiel, la qualification.
N.V : Malheureusement pour vous, la Côte d’Ivoire se dresse sur votre chemin. Croyez-vous sincèrement en votre qualification pour les demi-finales?
B.M : Je vous ai dit tantôt que c’est une CAN de surprises. Il faut attendre samedi soir pour se prononcer.
N.V : Y a-t-il des joueurs que la Guinée équatoriale craint particulièrement au sein de la sélection ivoirienne?
B.M : Le monde entier connaît la valeur des joueurs de la Côte d’Ivoire. On ne peut pas dire qu’on craint tel ou tel autre. A ce niveau de la compétition, toutes les équipes se valent. Nous avons notre mot à dire. C’est la détermination qui fera la différence. Ce n’est pas parce qu’on s’appelle Drogba ou Yaya que c’est acquis d’avance.
N.V : Les autorités équato- guinéennes ont-elles mis des moyens à disposition pour une motivation spéciale des joueurs ?
B.M : Pour l’heure, il n’y a pas de moyens particuliers mis en place par nos dirigeants pour motiver les joueurs. Pour nous, le fait de jouer contre la Côte d’Ivoire est déjà une source de motivation. Se qualifier en demi-finale pour une première participation à la CAN serait vraiment énorme pour nous. L’argent ou toute autre façon de motiver vient après.
Entretien réalisé par
Konaté Mamadou : C’est un match comme tous les autres. Mais il va être difficile aussi bien pour nous que pour les Eléphants. Il va falloir mettre du sérieux dans la préparation pour jouer ce match. La Côte d’Ivoire a d’énormes potentialités. Nous mettrons tous les atouts de notre côté pour bien gérer cette rencontre.
N.V : Comment avez-vous accueilli la nouvelle de votre rencontre de quarts de finale contre la Côte d’Ivoire ?
K.M : Honnêtement, on voulait éviter la Côte d’Ivoire qui est la favorite de cette compétition. Mais comme le sort a voulu qu’on joue contre elle, on se dit qu’on n’a plus le choix. Nous allons jouer à fond notre qualification pour les demi-finales.
N.V : Ce match, un dilemme pour vous, Ivoirien d’origine et Equato-guinéen d’adoption ?
K.M : Je n’ai pas de problème à ce niveau. Je ne suis pas le premier joueur à être dans cette position. Beaucoup de joueurs l’ont été et ont fait correctement leur boulot. Je me prends comme un professionnel. La Guinée équatoriale m’a donné l’opportunité d’évoluer sur le plan international. C’est cela qui me permet de vivre. Je n’ai pas de raison de me dérober. Je dois jouer sans état d’âme. J’aurai peut-être un petit pincement au cœur, mais je fais mon boulot.
N.V : Comment entendez-vous donc aborder ce match?
K.M : Ce n’est plus une affaire technique ou tactique. Maintenant, tout va se jouer sur le plan mental. A ce niveau de la compétition, il n’y a plus de petite équipe. Nous allons aborder ce match sans trembler. Avec l’élimination des grands pays que nous connaissons, personne n’est à l’abri de quoi que ce soit, y compris bien sûr la Côte d’Ivoire. Je veux dire que nous avons des chances de réaliser une surprise. Ce n’est pas un championnat. Nous allons jouer à fond. Que la Côte d’Ivoire fasse donc très attention.
N.V : Vous vouliez battre la Zambie pour éviter la Côte d’Ivoire, mais les choses ont coincé. Qu’est-ce qui n’a pas marché ce jour là ?
B.M : Il y a des jours sans. On s’est vainement battu pour obtenir une victoire. Le résultat nous a déçus, mais on avait déjà réalisé l’essentiel, la qualification.
N.V : Malheureusement pour vous, la Côte d’Ivoire se dresse sur votre chemin. Croyez-vous sincèrement en votre qualification pour les demi-finales?
B.M : Je vous ai dit tantôt que c’est une CAN de surprises. Il faut attendre samedi soir pour se prononcer.
N.V : Y a-t-il des joueurs que la Guinée équatoriale craint particulièrement au sein de la sélection ivoirienne?
B.M : Le monde entier connaît la valeur des joueurs de la Côte d’Ivoire. On ne peut pas dire qu’on craint tel ou tel autre. A ce niveau de la compétition, toutes les équipes se valent. Nous avons notre mot à dire. C’est la détermination qui fera la différence. Ce n’est pas parce qu’on s’appelle Drogba ou Yaya que c’est acquis d’avance.
N.V : Les autorités équato- guinéennes ont-elles mis des moyens à disposition pour une motivation spéciale des joueurs ?
B.M : Pour l’heure, il n’y a pas de moyens particuliers mis en place par nos dirigeants pour motiver les joueurs. Pour nous, le fait de jouer contre la Côte d’Ivoire est déjà une source de motivation. Se qualifier en demi-finale pour une première participation à la CAN serait vraiment énorme pour nous. L’argent ou toute autre façon de motiver vient après.
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