Les Eléphants attaquent le Nzalang nacional en quarts de finale de la CAN Orange 2012, ce samedi 4 février, à l’Estadio de Malabo. A trois jours de cette rencontre capitale, l’entraîneur ivoirien, Perreira dévoile la façon d’évoluer des Equato- Guinéens et indique par ricochet à François Zahoui comment contrer l’adversaire. « Il faut commencer avec beaucoup d’engagement ce match et éviter de mettre les adversaires en confiance en première mi-temps. Quelquefois, ils marquent très tôt et le but reste. Ils ont l’habitude de marquer à la dernière minute. Leur force, c’est d’abord la motivation. Les autorités vont leur promettre beaucoup d’argent. On peut promettre par exemple 50 millions à chaque joueur en cas de qualification.
L’autre source de motivation, c’est que c’est la première fois qu’ils participent à cette importante qu’est la CAN. Ils se voient tout près de la demi-finale. Cela les motive beaucoup.
Sur le plan du jeu, leur faiblesse se situe au milieu de terrain et sur les côtés. Ils jouent à trois derrière, un en pointe, un 10 qui flotte et un milieu de terrain formé en V. L’attaque est soutenue par ces joueurs aussi bien à droite qu’à gauche.
Mais dans cette bataille, ils craignent beaucoup les Ivoiriens parce qu’ils connaissent leur parcours. Les joueurs de Zahoui devraient logiquement pouvoir en profiter. Ils doivent jouer sans surtout tenir compte de l’arbitrage ».
Ces propos ne devraient pas être tombés dans les oreilles de sourd. Bien au contraire car un conseil n’est jamais de trop lorsque l’on doit gagner.
E.T à Malabo
L’autre source de motivation, c’est que c’est la première fois qu’ils participent à cette importante qu’est la CAN. Ils se voient tout près de la demi-finale. Cela les motive beaucoup.
Sur le plan du jeu, leur faiblesse se situe au milieu de terrain et sur les côtés. Ils jouent à trois derrière, un en pointe, un 10 qui flotte et un milieu de terrain formé en V. L’attaque est soutenue par ces joueurs aussi bien à droite qu’à gauche.
Mais dans cette bataille, ils craignent beaucoup les Ivoiriens parce qu’ils connaissent leur parcours. Les joueurs de Zahoui devraient logiquement pouvoir en profiter. Ils doivent jouer sans surtout tenir compte de l’arbitrage ».
Ces propos ne devraient pas être tombés dans les oreilles de sourd. Bien au contraire car un conseil n’est jamais de trop lorsque l’on doit gagner.
E.T à Malabo