L’attaquant équato-guinéen, d’origine camerounaise et ancien buteur de l’Union de Douala, se dit prêt avant le rendez-vous de samedi contre les Eléphants.
Accéder en quarts de finale de la CAN… N’est-ce pas une grosse satisfaction pour le NZalang Nacional?
Au départ, nous n’étions pas attendus. Aujourd’hui, nous nous retrouvons à ce stade de la compétition. C’est une grande satisfaction pour notre peuple et pour nous-mêmes.
Qu’est-ce qui fait la force de votre groupe ?
On ne nous attendait pas… Et notre chance est de jouer à domicile. Nous nous servons donc de tout cela pour réaliser de bons résultats.
Les promesses d’argent du fils du président n’ont-elles pas dopé votre moral ?
Heu… Pas à 100°/° mais j’avoue que cela a un effet positif sur nous. En plus de cela, notre groupe qui restait dans l’ombre a soif de reconnaissance et veut prouver. C’était notre première motivation. Il ne faut pas oublier aussi que la Guinée Equatoriale dispute la première CAN de son histoire. Nous sommes donc dans l’histoire du pays.
Samedi, vous affrontez la Côte d’Ivoire en quart de finale…. Craignez-vous les Eléphants ?
Ce sera dur… Les Eléphants sont favoris. Nous rentrerons sur le terrain avec humilité. Nous donnerons tout pour sortir la tête haute quel que soit le résultat final.
Votre cohabitation avec les Eléphants à Sipopo a fait jaser…
Au niveau des joueurs, nous n’avons pas eu de problèmes. Nous sommes tous des professionnels et beaucoup d’entre nous sommes des amis. Il y a eu des murmures autour de cela mais depuis mercredi, nous sommes au Sofitel Président. Le problème est donc réglé. Le plus important est de rester focalisés sur le match de samedi.
Entretien réalisé par
Guy-Florentin Yaméogo
Accéder en quarts de finale de la CAN… N’est-ce pas une grosse satisfaction pour le NZalang Nacional?
Au départ, nous n’étions pas attendus. Aujourd’hui, nous nous retrouvons à ce stade de la compétition. C’est une grande satisfaction pour notre peuple et pour nous-mêmes.
Qu’est-ce qui fait la force de votre groupe ?
On ne nous attendait pas… Et notre chance est de jouer à domicile. Nous nous servons donc de tout cela pour réaliser de bons résultats.
Les promesses d’argent du fils du président n’ont-elles pas dopé votre moral ?
Heu… Pas à 100°/° mais j’avoue que cela a un effet positif sur nous. En plus de cela, notre groupe qui restait dans l’ombre a soif de reconnaissance et veut prouver. C’était notre première motivation. Il ne faut pas oublier aussi que la Guinée Equatoriale dispute la première CAN de son histoire. Nous sommes donc dans l’histoire du pays.
Samedi, vous affrontez la Côte d’Ivoire en quart de finale…. Craignez-vous les Eléphants ?
Ce sera dur… Les Eléphants sont favoris. Nous rentrerons sur le terrain avec humilité. Nous donnerons tout pour sortir la tête haute quel que soit le résultat final.
Votre cohabitation avec les Eléphants à Sipopo a fait jaser…
Au niveau des joueurs, nous n’avons pas eu de problèmes. Nous sommes tous des professionnels et beaucoup d’entre nous sommes des amis. Il y a eu des murmures autour de cela mais depuis mercredi, nous sommes au Sofitel Président. Le problème est donc réglé. Le plus important est de rester focalisés sur le match de samedi.
Entretien réalisé par
Guy-Florentin Yaméogo