Recevant les vœux de ses collaborateurs, hier, à la salle Christian Lattier du Palais de la culture de Treichville, le ministre de la Culture et de la Francophonie les a exhortés à s’unir pour relever tous les défis.
C’était la fête, hier, à la salle Christian Lattier du Palais de la culture de Treichville. Tout le personnel du secteur de la culture s’est donné rendez-vous en ce lieu pour présenter ses vœux de nouvel an au premier responsable du secteur, Maurice Kouakou Bandaman. Il a profité de cette rencontre pour faire un bilan de l’année écoulée et pour exhorter ses collaborateurs à retrousser les manches en vue de relever les défis futurs. Pour ce qui concerne les actions déjà posées, dans le sens de la relance du secteur de la culture au sortir de la crise, Bandaman Maurice dira que «l’accent a été mis sur les actions permettant la mise en œuvre des activités susceptibles de réguler le fonctionnement normal de l’administration culturelle, de favoriser la réconciliation nationale et de doter l’institution d’outils nécessaires à l’anticipation de la problématique du secteur». C’est dans ce cadre, notera le ministre de la Culture que «des plateformes ont été réalisées». Il citera entre autres le «Colloque sur la renaissance africaine et les leçons à tirer de la crise ivoirienne», «Le salon international des arts plastiques d’Abidjan», «La caravane nationale de la réconciliation»,…Tout en saluant ses collaborateurs pour «le chemin parcouru», il les a exhortés à «rester vigilants quant aux impératifs liés à la visibilité et à la traçabilité à donner à la création et aux créateurs, à l’éducation / formation, à la coopération culturelle, à la réglementation du secteur de la culture, à l’appui aux industries culturelles et à la gestion de l’action culturelle dont nous sommes tous comptables». Le locataire du 22ème étage de la Tour E, au Plateau, a levé un coin du voile sur ses ambitions à la tête de ce département.
«En relation avec d’autres ministères, nous travaillerons à ouvrir des champs nouveaux prometteurs pour les professionnels de l’action culturelle», a-t-il indiqué. Et de faire cette exhortation à ses collaborateurs : «Nous avons des défis à relever ensemble, dans la discipline, l’abnégation et le partage de l’idéal commun». Le ministre-écrivain a également informé qu’il initiera «bientôt un discours d’orientation pour l’année 2012, ainsi que des lettres de mission qui seront du reste largement diffusés». Des outils qui, à l’en croire, auront l’avantage de «baliser le parcours et de canaliser les énergies dans l’optique de la synergie, de l’efficience et de la performance». Avant l’intervention du ministre, la porte-parole du personnel du ministère l’a assuré de leur solidarité «malgré les difficultés». Elle a été rejointe dans ses propos par le porte-parole des artistes et celui du secteur du livre qui ont tous réitéré leur volonté de faire de grandes choses pour la culture en compagnie de Bandaman Maurice.
M’Bah Aboubakar
C’était la fête, hier, à la salle Christian Lattier du Palais de la culture de Treichville. Tout le personnel du secteur de la culture s’est donné rendez-vous en ce lieu pour présenter ses vœux de nouvel an au premier responsable du secteur, Maurice Kouakou Bandaman. Il a profité de cette rencontre pour faire un bilan de l’année écoulée et pour exhorter ses collaborateurs à retrousser les manches en vue de relever les défis futurs. Pour ce qui concerne les actions déjà posées, dans le sens de la relance du secteur de la culture au sortir de la crise, Bandaman Maurice dira que «l’accent a été mis sur les actions permettant la mise en œuvre des activités susceptibles de réguler le fonctionnement normal de l’administration culturelle, de favoriser la réconciliation nationale et de doter l’institution d’outils nécessaires à l’anticipation de la problématique du secteur». C’est dans ce cadre, notera le ministre de la Culture que «des plateformes ont été réalisées». Il citera entre autres le «Colloque sur la renaissance africaine et les leçons à tirer de la crise ivoirienne», «Le salon international des arts plastiques d’Abidjan», «La caravane nationale de la réconciliation»,…Tout en saluant ses collaborateurs pour «le chemin parcouru», il les a exhortés à «rester vigilants quant aux impératifs liés à la visibilité et à la traçabilité à donner à la création et aux créateurs, à l’éducation / formation, à la coopération culturelle, à la réglementation du secteur de la culture, à l’appui aux industries culturelles et à la gestion de l’action culturelle dont nous sommes tous comptables». Le locataire du 22ème étage de la Tour E, au Plateau, a levé un coin du voile sur ses ambitions à la tête de ce département.
«En relation avec d’autres ministères, nous travaillerons à ouvrir des champs nouveaux prometteurs pour les professionnels de l’action culturelle», a-t-il indiqué. Et de faire cette exhortation à ses collaborateurs : «Nous avons des défis à relever ensemble, dans la discipline, l’abnégation et le partage de l’idéal commun». Le ministre-écrivain a également informé qu’il initiera «bientôt un discours d’orientation pour l’année 2012, ainsi que des lettres de mission qui seront du reste largement diffusés». Des outils qui, à l’en croire, auront l’avantage de «baliser le parcours et de canaliser les énergies dans l’optique de la synergie, de l’efficience et de la performance». Avant l’intervention du ministre, la porte-parole du personnel du ministère l’a assuré de leur solidarité «malgré les difficultés». Elle a été rejointe dans ses propos par le porte-parole des artistes et celui du secteur du livre qui ont tous réitéré leur volonté de faire de grandes choses pour la culture en compagnie de Bandaman Maurice.
M’Bah Aboubakar