Le ton du quart de finale entre la Côte d'Ivoire et la Guinée-Equatoriale de samedi 4 février prochain au stade de Malabo, est donné. Face à la presse, hier à l'hôtel Sofitel Sipopo Le Golf, quartier général de la sélection ivoirienne, Zahoui François a révélé l'état d'esprit de son groupe à 48 h de cette rencontre décisive et qualificative pour les demi-finales. Avant de sonner la révolte contre un adversaire qui n'a rien à perdre et qui a, par contre, tout à gagner et où «on n'a plus droit à l'erreur», il a qualifié cette opposition d'un match difficile au cours duquel «on sait qu'on va souffrir.» « L'environnement sera hostile. Il y aura des faits de jeu. L'équipe sera poussée par son public», a confié le sélectionneur des Eléphants. Mais, pour Zahoui, ces obstacles ne devraient pas inhiber les ambitions des Eléphants, déterminés à ramener à Abidjan le précieux sésame.
Et il semble avoir la solution face à un adversaire aussi enthousiaste que la Guinée-Equatoriale. «On a de l'expérience. On doit garder notre sérénité et notre solidarité. Faire preuve d'humilité et de prudence. Une CAN se gagne avec 23 joueurs», a-t-il indiqué. Pour Kolo Touré, le Nzalang Nacional est «une équipe euphorique». Mais, a avancé le défenseur central des Eléphants, «on va essayer au maximum de jouer concentrés. Le plus important, c'est de rester sereins». Selon lui, il n'est pas question d'avoir des «regrets» au sortir de cette confrontation avec le pays co-organisateur. Son coéquipier, Copa Barry, a, lui, plus appelé au soutien du peuple ivoirien pour franchir l'obstacle équato-guinéen et pour la suite de la compétition. Non sans interpeller ses coéquipiers sur l'indispensable devoir de préserver la cohésion et la solidarité qui caractérisent le groupe depuis la préparation. «On doit être concentrés jusqu'au bout. Une CAN se gagne avec un collectif et on doit faire preuve de solidarité», a lancé le dernier rempart des Eléphants.
OUATTARA Gaoussou à Malabo
Et il semble avoir la solution face à un adversaire aussi enthousiaste que la Guinée-Equatoriale. «On a de l'expérience. On doit garder notre sérénité et notre solidarité. Faire preuve d'humilité et de prudence. Une CAN se gagne avec 23 joueurs», a-t-il indiqué. Pour Kolo Touré, le Nzalang Nacional est «une équipe euphorique». Mais, a avancé le défenseur central des Eléphants, «on va essayer au maximum de jouer concentrés. Le plus important, c'est de rester sereins». Selon lui, il n'est pas question d'avoir des «regrets» au sortir de cette confrontation avec le pays co-organisateur. Son coéquipier, Copa Barry, a, lui, plus appelé au soutien du peuple ivoirien pour franchir l'obstacle équato-guinéen et pour la suite de la compétition. Non sans interpeller ses coéquipiers sur l'indispensable devoir de préserver la cohésion et la solidarité qui caractérisent le groupe depuis la préparation. «On doit être concentrés jusqu'au bout. Une CAN se gagne avec un collectif et on doit faire preuve de solidarité», a lancé le dernier rempart des Eléphants.
OUATTARA Gaoussou à Malabo