BATA (Guinée équatoriale), L`équipe de Zambie peut
"écrire un nouveau chapitre de l`histoire du football zambien" si elle bat le
Soudan samedi et se qualifie ainsi pour les demi-finales de la CAN-2012 pour
la première fois depuis 16 ans, a estimé son capitaine Chris Katongo.
"Tout le monde veut écrire un nouveau chapitre de l`histoire du football
zambien, cela fait longtemps qu`on n`est pas allé en demi-finale d`une CAN,
depuis 1996", a souligné l`attaquant en conférence de presse.
Katongo a aussi eu une pensée pour l`équipe de Zambie qui avait péri dans
un accident d`avion au large du Gabon en 1993. "Ce serait magnifique de jouer
la finale au Gabon, a-t-il estimé. On a perdu toute l`équipe nationale en
1993. Leurs âmes sont quelque part là-bas... Mais il ne faut pas se relâcher.
Si on veut aller à ce niveau, il faut rester réveillés".
Cela lui accroît-il la pression sur les Chipolopolos ? "Oui, mais la vie
est faite de pression, a-t-il répondu. Même entre mari et femme à la maison,
il y a de la pression ! Les gens en Zambie pensent au crash de 1993, ils
disent que comme ça se joue au Gabon, ce sera notre coupe. C`est à nous, sur
le terrain, de leur donner de la joie".
ybl/jgu
"écrire un nouveau chapitre de l`histoire du football zambien" si elle bat le
Soudan samedi et se qualifie ainsi pour les demi-finales de la CAN-2012 pour
la première fois depuis 16 ans, a estimé son capitaine Chris Katongo.
"Tout le monde veut écrire un nouveau chapitre de l`histoire du football
zambien, cela fait longtemps qu`on n`est pas allé en demi-finale d`une CAN,
depuis 1996", a souligné l`attaquant en conférence de presse.
Katongo a aussi eu une pensée pour l`équipe de Zambie qui avait péri dans
un accident d`avion au large du Gabon en 1993. "Ce serait magnifique de jouer
la finale au Gabon, a-t-il estimé. On a perdu toute l`équipe nationale en
1993. Leurs âmes sont quelque part là-bas... Mais il ne faut pas se relâcher.
Si on veut aller à ce niveau, il faut rester réveillés".
Cela lui accroît-il la pression sur les Chipolopolos ? "Oui, mais la vie
est faite de pression, a-t-il répondu. Même entre mari et femme à la maison,
il y a de la pression ! Les gens en Zambie pensent au crash de 1993, ils
disent que comme ça se joue au Gabon, ce sera notre coupe. C`est à nous, sur
le terrain, de leur donner de la joie".
ybl/jgu