Depuis quelques jours, une certaine presse mène une campagne mensongère, haineuse et diffamatoire contre ma personne et contre le Ministère de la Salubrité Urbaine dans le cadre du processus d’adjudication de l’Appel d’Offres pour la gestion intégrée des déchets solides et assimilés dans le District d’Abidjan.
En effet, dans une série d’articles commandités par des mains obscures, cette presse tente de jeter l’opprobre et le discrédit sur le processus d’adjudication de ce marché à l’entreprise SATAREM GREENSOL qui, faut-il le rappeler, a participé à toutes les étapes procédurales exigées par le Code des Marchés Publics.
Dans le choix de cet opérateur, il a été privilégié un élément fondamental : la compétence. Ce qui en l’occurrence, a dérouté ceux qui auraient voulu que, de ma position de Ministre, je leur déroule le tapis rouge.
Je dénonce vigoureusement ces pratiques d’un autre âge et cet acharnement injustifié. Je prends l’opinion nationale et internationale à témoin face aux agissements de ces personnes qui, en désespoir de cause, vont de rédaction en rédaction, pour susciter des articles de presse mensongers.
En tout état de cause, le harcèlement dont sont victimes les agents du Ministère de la Salubrité Urbaine, est la preuve manifeste que le travail entrepris au sein de mon département ministériel dérange les intérêts égoïstes et mesquins de certaines personnes tapies dans la filière. En ma qualité de Ministre de la Salubrité Urbaine, je n’accepterai jamais le clientélisme et le favoritisme.
Aucun changement ne peut se faire sans bouleversement. Je suis consciente que la transparence qui a présidé à l’attribution de ce marché a bouleversé les mauvaises habitudes.
Mais, je reste convaincue que la lutte contre la fraude et la corruption passe par là. Elle passe par des décisions courageuses, respectueuses des lois.
Je félicite les journalistes qui, dans le cadre de ce dossier, ont fait preuve de professionnalisme en se rapprochant de mes services pour équilibrer ces rumeurs tendancieuses.
J’invite les autres, les mercenaires de la plume, à se ressaisir et à respecter le Code de l’Ethique et de la Déontologie du métier de journaliste. Le temps de la presse sale est révolu.
Anne Désirée OULOTO
En effet, dans une série d’articles commandités par des mains obscures, cette presse tente de jeter l’opprobre et le discrédit sur le processus d’adjudication de ce marché à l’entreprise SATAREM GREENSOL qui, faut-il le rappeler, a participé à toutes les étapes procédurales exigées par le Code des Marchés Publics.
Dans le choix de cet opérateur, il a été privilégié un élément fondamental : la compétence. Ce qui en l’occurrence, a dérouté ceux qui auraient voulu que, de ma position de Ministre, je leur déroule le tapis rouge.
Je dénonce vigoureusement ces pratiques d’un autre âge et cet acharnement injustifié. Je prends l’opinion nationale et internationale à témoin face aux agissements de ces personnes qui, en désespoir de cause, vont de rédaction en rédaction, pour susciter des articles de presse mensongers.
En tout état de cause, le harcèlement dont sont victimes les agents du Ministère de la Salubrité Urbaine, est la preuve manifeste que le travail entrepris au sein de mon département ministériel dérange les intérêts égoïstes et mesquins de certaines personnes tapies dans la filière. En ma qualité de Ministre de la Salubrité Urbaine, je n’accepterai jamais le clientélisme et le favoritisme.
Aucun changement ne peut se faire sans bouleversement. Je suis consciente que la transparence qui a présidé à l’attribution de ce marché a bouleversé les mauvaises habitudes.
Mais, je reste convaincue que la lutte contre la fraude et la corruption passe par là. Elle passe par des décisions courageuses, respectueuses des lois.
Je félicite les journalistes qui, dans le cadre de ce dossier, ont fait preuve de professionnalisme en se rapprochant de mes services pour équilibrer ces rumeurs tendancieuses.
J’invite les autres, les mercenaires de la plume, à se ressaisir et à respecter le Code de l’Ethique et de la Déontologie du métier de journaliste. Le temps de la presse sale est révolu.
Anne Désirée OULOTO