Ça passe ou ça casse, ce soir (19h), pour les Eléphants face au Nzalang en quart de finale de la Coupe d’Afrique des Nations 2012.
Lorsqu’on demande à Kolo Touré, le scénario idéal du Côte d’Ivoire- Guinée Equatoriale de ce soir, le défenseur de Manchester City répond ceci : «la joie après le coup de sifflet final». «Il est difficile de donner un scénario idéal », ajoute-t-il. «Ce sera notre 4e finale. Nous en avons déjà remporté trois. En débarquant à cette CAN, nous nous sommes mis en tête qu’on a 6 finales à disputer», fait remarquer le frère-aîné de Yaya Touré. En tout cas, ce soir (19h), les Eléphants sont très attendus face au Nzalang Nacional en quart de finale de la Coupe d’Afrique des Nations 2012 à l’Estadio de Malabo. «Ce sera un match très disputé. Car, nous serons face à une équipe euphorique», prévient l’ancien défenseur de l’Asec Mimosas. Hier soir, à l’Estadio de la Paz, lui et ses coéquipiers se sont entraînés pour la dernière fois avant le rendez-vous de tout à l’heure. La séance a été ouverte à la presse pendant 15 minutes. Une chose est aussi certaine, le coach Zahoui pourrait revoir son 11 de départ. On parlait hier d’une possible titularisation de Yah Konan Didier comme milieu de terrain. Le dernier match contre l’Angola a donné des idées au sélectionneur ivoirien. Dans ce genre de rencontre, le meilleur scénario serait de le plier dans les 25 premières minutes. Comme aimait à le dire Henri Michel, l’ancien sélectionneur des Eléphants à la Coupe d’Afrique des Nations, il faut savoir rendre ce genre de match facile. On se souvient qu’en 1998, lors de la CAN au Burkina Faso, les Pharaons d’Egypte avaient massacré les Etalons en 25 minutes 2-0. C’était en demi-finale. En 2002, au Mali, les Lions Indomptables du Cameroun avaient plié l’affaire en moins de 20 minutes face aux Aigles en demi-finale (3-0) de cette CAN. La Guinée Equatoriale est dans la même position que le Burkina de 1998 et le Mali de 2002. Et lorsqu’on est dans une position de favori, il faut savoir respecter son rang. «Je n’aime pas le mot favori, car les réalités de cette CAN ont prouvé le contraire», commente François Zahoui. Mais lui et ses poulains ne peuvent plus se cacher. Ils font partie des favoris de cette CAN 2012. Et, battre le Nzalang, ce soir, ne serait pas un exploit.
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Malabo
Lorsqu’on demande à Kolo Touré, le scénario idéal du Côte d’Ivoire- Guinée Equatoriale de ce soir, le défenseur de Manchester City répond ceci : «la joie après le coup de sifflet final». «Il est difficile de donner un scénario idéal », ajoute-t-il. «Ce sera notre 4e finale. Nous en avons déjà remporté trois. En débarquant à cette CAN, nous nous sommes mis en tête qu’on a 6 finales à disputer», fait remarquer le frère-aîné de Yaya Touré. En tout cas, ce soir (19h), les Eléphants sont très attendus face au Nzalang Nacional en quart de finale de la Coupe d’Afrique des Nations 2012 à l’Estadio de Malabo. «Ce sera un match très disputé. Car, nous serons face à une équipe euphorique», prévient l’ancien défenseur de l’Asec Mimosas. Hier soir, à l’Estadio de la Paz, lui et ses coéquipiers se sont entraînés pour la dernière fois avant le rendez-vous de tout à l’heure. La séance a été ouverte à la presse pendant 15 minutes. Une chose est aussi certaine, le coach Zahoui pourrait revoir son 11 de départ. On parlait hier d’une possible titularisation de Yah Konan Didier comme milieu de terrain. Le dernier match contre l’Angola a donné des idées au sélectionneur ivoirien. Dans ce genre de rencontre, le meilleur scénario serait de le plier dans les 25 premières minutes. Comme aimait à le dire Henri Michel, l’ancien sélectionneur des Eléphants à la Coupe d’Afrique des Nations, il faut savoir rendre ce genre de match facile. On se souvient qu’en 1998, lors de la CAN au Burkina Faso, les Pharaons d’Egypte avaient massacré les Etalons en 25 minutes 2-0. C’était en demi-finale. En 2002, au Mali, les Lions Indomptables du Cameroun avaient plié l’affaire en moins de 20 minutes face aux Aigles en demi-finale (3-0) de cette CAN. La Guinée Equatoriale est dans la même position que le Burkina de 1998 et le Mali de 2002. Et lorsqu’on est dans une position de favori, il faut savoir respecter son rang. «Je n’aime pas le mot favori, car les réalités de cette CAN ont prouvé le contraire», commente François Zahoui. Mais lui et ses poulains ne peuvent plus se cacher. Ils font partie des favoris de cette CAN 2012. Et, battre le Nzalang, ce soir, ne serait pas un exploit.
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Malabo