Max Gradel, « Le plus jeune », comme le surnomment ses coéquipiers, n’est pas le plus capé de la sélection ivoirienne. Mais il est déterminé, comme l’ensemble du groupe, à disputer les demi-finales de la Can 2012 en sortant la Guinée Equatoriale au stade des quarts.
Vous brillez en sélection en ce moment !
Briller, c’est trop dire. Je me sens bien tout simplement. C’est important de faire les choses simplement pour que la confiance soit au rendez-vous. C’est ce que j’essaie de faire.
Qu’est-ce qui explique votre pleine forme ?
C’est la solidarité qu’on a au sein de ce groupe. L’entraîneur, le staff technique, les dirigeants et les joueurs me mettent dans les meilleures conditions pour que je puisse m’exprimer.
Vous avez été très apprécié après votre prestation face à l’Angola !
J’ai mis tous les atouts de mon côté pour faire un bon match. Si cela a retenu l’attention des gens, j’en suis fier et je dois continuer sur cette lancée.
Vous avez joué les trois matchs de poule. Lequel des rôles assignés par l’entraîneur avez-vous préféré ?
Je suis un joueur porté vers l’offensive. Mon notre objectif à la Can 2012, c’est de gagner six matchs et remporter le trophée. Donc ma préférence importe peu. C’est l’objectif du groupe qui est le plus important. Que ce soit pour 10 minutes ou pour 90 minutes, je dois apporter ce que je sais faire pour le bien du groupe. Quelle que soit la tâche qui me sera attribuée, je serais prêt.
Cinq jours se sont écoulés entre le dernier match de poule et le match des quarts de finale contre la Guinée Equatoriale. Cela n’a pas altéré la cohésion du groupe ?
Non, bien au contraire. Nous sommes tous des professionnels et nous savons gérer de telles situations. Le plus important, c’est de rester concentrés. Surtout pour nous les plus jeunes. Nous mettons du sérieux aux entraînements et nous attendons avec sérénité les prochains matchs.
Ce sera la Guinée Equatoriale, ce soir!
C’est une bonne équipe qui mérite sa place à ce stade de la compétition. Ça va être un match difficile puisque c’est le pays organisateur qui va jouer devant son public. Mais nous, on fera ce qu’on sait faire. Nous avons nos qualités et nous avons confiance en cela. Nous allons tout mettre en œuvre pour passer ce cap et arriver en demi-finales.
Vous constituez une énigme pour les observateurs qui s’interrogent sur votre intégration réussie chez les Eléphants alors que vous êtes parmi les derniers à avoir été appelé en sélection. Quel est votre secret ?
Il n’y a pas de secret. Sur le terrain, j’essaie de jouer le plus simplement possible et de faire plaisir à nos supporters. Et puis, je suis animé par une envie de donner tout pour mon pays. Je suis croyant, je prie beaucoup. E t quand tu as la volonté, les portes s’ouvrent pour toi.
fif-ci
Vous brillez en sélection en ce moment !
Briller, c’est trop dire. Je me sens bien tout simplement. C’est important de faire les choses simplement pour que la confiance soit au rendez-vous. C’est ce que j’essaie de faire.
Qu’est-ce qui explique votre pleine forme ?
C’est la solidarité qu’on a au sein de ce groupe. L’entraîneur, le staff technique, les dirigeants et les joueurs me mettent dans les meilleures conditions pour que je puisse m’exprimer.
Vous avez été très apprécié après votre prestation face à l’Angola !
J’ai mis tous les atouts de mon côté pour faire un bon match. Si cela a retenu l’attention des gens, j’en suis fier et je dois continuer sur cette lancée.
Vous avez joué les trois matchs de poule. Lequel des rôles assignés par l’entraîneur avez-vous préféré ?
Je suis un joueur porté vers l’offensive. Mon notre objectif à la Can 2012, c’est de gagner six matchs et remporter le trophée. Donc ma préférence importe peu. C’est l’objectif du groupe qui est le plus important. Que ce soit pour 10 minutes ou pour 90 minutes, je dois apporter ce que je sais faire pour le bien du groupe. Quelle que soit la tâche qui me sera attribuée, je serais prêt.
Cinq jours se sont écoulés entre le dernier match de poule et le match des quarts de finale contre la Guinée Equatoriale. Cela n’a pas altéré la cohésion du groupe ?
Non, bien au contraire. Nous sommes tous des professionnels et nous savons gérer de telles situations. Le plus important, c’est de rester concentrés. Surtout pour nous les plus jeunes. Nous mettons du sérieux aux entraînements et nous attendons avec sérénité les prochains matchs.
Ce sera la Guinée Equatoriale, ce soir!
C’est une bonne équipe qui mérite sa place à ce stade de la compétition. Ça va être un match difficile puisque c’est le pays organisateur qui va jouer devant son public. Mais nous, on fera ce qu’on sait faire. Nous avons nos qualités et nous avons confiance en cela. Nous allons tout mettre en œuvre pour passer ce cap et arriver en demi-finales.
Vous constituez une énigme pour les observateurs qui s’interrogent sur votre intégration réussie chez les Eléphants alors que vous êtes parmi les derniers à avoir été appelé en sélection. Quel est votre secret ?
Il n’y a pas de secret. Sur le terrain, j’essaie de jouer le plus simplement possible et de faire plaisir à nos supporters. Et puis, je suis animé par une envie de donner tout pour mon pays. Je suis croyant, je prie beaucoup. E t quand tu as la volonté, les portes s’ouvrent pour toi.
fif-ci
