LIBREVILLE - Il a passé quatre ans à la construire, il doit maintenant tenter de la détruire: Alain Giresse, sélectionneur du Gabon de 2006 à 2010, affronte avec le Mali son ancienne équipe, dimanche en quart de finale à Libreville.
"Je ne suis pas parti (de mon fait), il ne faut pas l`oublier", souligne "Gigi", dont le contrat à la tête des Panthères n`avait pas été renouvelé malgré des résultats plus qu`honorables.
"Mais, je suis un professionnel et mon but sera de gagner. Je vais jouer contre une équipe et un pays que j`apprécie mais je vais tout faire pour l`emporter", précise Giresse.
Le coach, qui avait "placé" certains d`entre eux en Europe grâce à ses relations, est toujours en contact avec de nombreux joueurs de l`effectif gabonais. Et il souligne: "c`est sûr que je n`aurais pas à étudier les joueurs. Je les connais".
"Il connaît mieux les Gabonais que moi je connais les Maliens. C`est un avantage", estime Gernot Rohr le sélectionneur du Gabon.
Toutefois, si avant la compétition, le Mali avait plutôt les faveurs des pronostics, la situation est toute autre à la veille du quart de finale.
Les Maliens se sont qualifiés poussivement en prenant la 2e place de leur groupe alors que le Gabon, soutenu par des supporteurs ultra-présents, a signé un bilan parfait en poules avec un football offensif.
L`ambiance promet d`être surchauffée dimanche dans le stade de l`Amitié où les 40.000 spectateurs espèrent voir les Panthères se qualifier pour la première demi-finale de leur histoire.
Avec six buts en trois rencontres et une prestation épique contre le Maroc, le Gabon d`Aubameyang a les cartes en main. "Il ne faut pas avoir peur de jouer dans cette ambiance. C`est le théâtre des grandes compétitions", souligne Giresse.
"Ca ajoute de l`intérêt. Sur le papier, le Gabon est peut être favori et cette étiquette est difficile à porter depuis le début de cette CAN mais ça reste des analyses d`avant-match. Après, c`est le terrain qui parle".
pgf/xbs/stt/gf
"Je ne suis pas parti (de mon fait), il ne faut pas l`oublier", souligne "Gigi", dont le contrat à la tête des Panthères n`avait pas été renouvelé malgré des résultats plus qu`honorables.
"Mais, je suis un professionnel et mon but sera de gagner. Je vais jouer contre une équipe et un pays que j`apprécie mais je vais tout faire pour l`emporter", précise Giresse.
Le coach, qui avait "placé" certains d`entre eux en Europe grâce à ses relations, est toujours en contact avec de nombreux joueurs de l`effectif gabonais. Et il souligne: "c`est sûr que je n`aurais pas à étudier les joueurs. Je les connais".
"Il connaît mieux les Gabonais que moi je connais les Maliens. C`est un avantage", estime Gernot Rohr le sélectionneur du Gabon.
Toutefois, si avant la compétition, le Mali avait plutôt les faveurs des pronostics, la situation est toute autre à la veille du quart de finale.
Les Maliens se sont qualifiés poussivement en prenant la 2e place de leur groupe alors que le Gabon, soutenu par des supporteurs ultra-présents, a signé un bilan parfait en poules avec un football offensif.
L`ambiance promet d`être surchauffée dimanche dans le stade de l`Amitié où les 40.000 spectateurs espèrent voir les Panthères se qualifier pour la première demi-finale de leur histoire.
Avec six buts en trois rencontres et une prestation épique contre le Maroc, le Gabon d`Aubameyang a les cartes en main. "Il ne faut pas avoir peur de jouer dans cette ambiance. C`est le théâtre des grandes compétitions", souligne Giresse.
"Ca ajoute de l`intérêt. Sur le papier, le Gabon est peut être favori et cette étiquette est difficile à porter depuis le début de cette CAN mais ça reste des analyses d`avant-match. Après, c`est le terrain qui parle".
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