Avant l’entrée en lice des Eléphants, j’avais eu à poster une lettre. Lettre dans laquelle, j’avais tracé la voie qui mène au sacre des Eléphants le 12 février : «Débuter à Malabo et finir à Libreville». Je suis à moitié satisfait. Parce que le début que j’ai souhaité, est formidable. Les joueurs ivoiriens ont fait le boulot comme il se doit à Malabo. Bravo à vous, mais il reste la fin. Quatre victoires à Malabo, je ne vous demande que deux autres à Libreville, pour le sprint final. Eléphants, si vous voulez, encaissez des buts mais je veux mes deux victoires. Vous savez, chers compatriotes footballeurs, il y a des journalistes et des lecteurs qui me disent que je vous soutiens parce que j’ai déjà émis une doléance de maison au Chef de l’Etat Alassane Ouattara.
Pour tous les journalistes ivoiriens présents à Malabo. «Le Président Alassane Ouattara est bon, gagnons seulement et vous verrez !», m’a dit le ministre des Sports et Loisirs, Philippe Légré à Malabo, avant le quart de finale. Et j’ai souri. Eléphants, gagnez le graal continental et puis nous allons voir ce qui adviendra. En même temps, je vous préviens, je ne veux plus retourner à Malabo pour suivre un match de cette CAN. Alors là, non ! Libreville doit ressembler à Malabo. Rien que des victoires. D’ailleurs à Libreville, en terre gabonaise, je ne demande que deux victoires les 8 et 12 février. A Malabo, j’avais tablé sur quatre. Cette fois-ci, je réduis considérablement le nombre.
Je suis gentil, vous voyez ! Je vous permets même d’encaisser des buts si vous voulez, mais mes deux victoires sont indiscutables. Pas à marchander surtout ! Revenir à Malabo, serait une honte pour moi, le 11 février, parce que les Équato-guinéens diraient : «c’est pour échouer aux portes de la finale que vous nous avez éliminés». Pas de match de classement, cette année. Heureusement que vous êtes plus conscients de la tâche que moi. Je me tais, en vous souhaitant bon vent pour mes deux matches à Libreville. Sportivement. A demain pour ma lettre de Libreville !
Par Annoncia Séhoué
Pour tous les journalistes ivoiriens présents à Malabo. «Le Président Alassane Ouattara est bon, gagnons seulement et vous verrez !», m’a dit le ministre des Sports et Loisirs, Philippe Légré à Malabo, avant le quart de finale. Et j’ai souri. Eléphants, gagnez le graal continental et puis nous allons voir ce qui adviendra. En même temps, je vous préviens, je ne veux plus retourner à Malabo pour suivre un match de cette CAN. Alors là, non ! Libreville doit ressembler à Malabo. Rien que des victoires. D’ailleurs à Libreville, en terre gabonaise, je ne demande que deux victoires les 8 et 12 février. A Malabo, j’avais tablé sur quatre. Cette fois-ci, je réduis considérablement le nombre.
Je suis gentil, vous voyez ! Je vous permets même d’encaisser des buts si vous voulez, mais mes deux victoires sont indiscutables. Pas à marchander surtout ! Revenir à Malabo, serait une honte pour moi, le 11 février, parce que les Équato-guinéens diraient : «c’est pour échouer aux portes de la finale que vous nous avez éliminés». Pas de match de classement, cette année. Heureusement que vous êtes plus conscients de la tâche que moi. Je me tais, en vous souhaitant bon vent pour mes deux matches à Libreville. Sportivement. A demain pour ma lettre de Libreville !
Par Annoncia Séhoué