Le jeudi 09 février 2012, a eu lieu à Saioua, en présence du Directeur de Cabinet du Ministre de la Promotion de la Jeunesse et du Service Civique, le lancement du projet « YOCO RIZ » portant sur la production et la transformation de riz. Un projet dont le coût est estimé à environ 20 millions Fcfa qui va permettre la création de 4500 emplois. Ci-dessous, l’intégralité de M. DOGOH Franck Madou, Directeur Général du FNS.
Monsieur le Directeur de Cabinet, Représentant Monsieur le Ministre de la Promotion de la Jeunesse et du Service Civique,
Monsieur le Président du Conseil Général d’Issia,
Monsieur le Sous-Préfet de Saioua
Monsieur le Maire de Saioua,
Monsieur le Coordonnateur du Programme du Service Civique National (PSCN),
Monsieur le Représentant de la Banque pour le Financement de l’Agriculture (BFA)
Honorables invités en vos rangs, qualités et grades respectifs,
Honorables Chefs traditionnels,
Chers jeunes promoteurs,
C’est avec un grand plaisir que je prends la parole à la faveur de cette cérémonie officielle de lancement du projet « YOCO RIZ », dans cette chaleureuse localité de Korébouo.
Monsieur le Directeur de Cabinet,
Je voudrais avant tout propos vous saluer et vous remercier pour votre présence distinguée à cette cérémonie.
Qu’il me soit permis, à travers votre personne, d’adresser mes sincères remerciements à notre Ministre de tutelle, le Ministre de la Promotion de la Jeunesse et du Service Civique, pour l’appui constant qu’il ne cesse d’apporter au Fonds National de Solidarité pour la promotion d’emplois jeunes (FNS) qui sous son impulsion, relance résolument ses activités de financement de projets de création d’emplois en faveur des jeunes.
Enfin, un grand merci à l’ensemble des autorités administratives et coutumières pour leur mobilisation ainsi qu’à toutes les parties prenantes à l’important projet qui nous réunit ce jour, notamment la Banque pour le Financement de l’Agriculture (BFA), qui assure le cofinancement de cette activité avec le FNS, mais aussi les différents partenaires techniques concernés : le PSCN, l’ANADER (Agence National d’Appui au Développement Rural) et l’ADCVI (Association pour le Développement des Cultures Vivrières Intensives) et le Collectif des Centres de Gestion Agréés (CGA).
Mesdames et Messieurs,
Le FNS, faut-il le rappeler, a pour mission essentielle de favoriser, en partenariat avec le système financier et bancaire, l’accès au financement pour les jeunes promoteurs et les entreprises créatrices d’emplois jeunes et de contribuer ainsi à faire émerger de jeunes entrepreneurs capables de se prendre en charge à travers la conduite d’activités génératrices de revenus, comme c’est le cas avec le projet « YOCO Riz » qui nous réunit ce jour.
Cet important projet s’inscrit dans le cadre des nouvelles orientations du FNS telles que définies par le Ministère de la Promotion de la Jeunesse et du Service Civique, en l’occurrence la promotion et le financement de projets collectifs dans des filières économiques porteuses et offrant de réelles opportunités d’emplois pour les jeunes. C’est le cas notamment de la filière rizicole.
Dans notre pays, le riz est assurément la denrée alimentaire la plus consommée, aussi bien en milieu rural qu’en milieu urbain. Cependant, la production nationale ne permet de satisfaire qu’à peine la moitié des besoins de la consommation intérieure. C’est précisément pour apporter sa contribution à la résorption de ce déficit et partant à l’atteinte de l’auto-suffisance en production de riz que la société Agro-industrielle du Haut Sassandra (SAHS) a décidé d’initier le programme « yoco riz », qui aura pour principale activité la production, la transformation et la commercialisation de riz blanchi. La production se fera sur un périmètre de 60 ha de bas-fonds, qui seront progressivement aménagés.
Mesdames et Messieurs,
Le projet « yoco riz » a un coût total estimé à 21 millions FCFA, dont 9 millions FCFA d’immobilisations et 12 millions FCFA de besoins en fonds de roulement.
Le FNS, en partenariat avec la BFA, apporte un financement à hauteur de 15 millions FCFA, notamment pour l’acquisition de matériels et semences nécessaires au démarrage des activités.
Le projet qui nous réunit ce matin crée 11 emplois permanents et 4500 emplois non permanents.
Il contribue au développement local et à la lutte contre l’insécurité alimentaire et s’inscrit parfaitement en droite ligne de l’objectif du Gouvernement de créer 200 000 emplois par an. Objectif somme toute réalisable, à condition d’œuvrer à une synergie et à une complémentarité d’actions entre les différentes structures en charge des questions de développement économique, de promotion des jeunes et de création d’emplois dans notre pays.
Pour sa part, le FNS, qui entend se positionner comme un instrument moderne et efficace au service des jeunes, se fera fort de financer désormais des projets viables et porteurs, pour lesquels les risques, à défaut d’être entièrement couverts, sont largement mitigés par un encadrement efficace et de qualité.
En effet, il convient d’indiquer que le FNS, dans le cadre de son dispositif opérationnel aujourd’hui renforcé, assurera le suivi des activités du projet ainsi que l’encadrement des promoteurs, en liaison avec son partenaire financier, la BFA et le Collectif des Centres de Gestion agréés et le PSCN. Cet encadrement se fera sous forme d’assistance dans la gestion, la comptabilité, la commercialisation et la formation, jusqu’à la consolidation des activités, tant sur le plan organisationnel que financier et jusqu’au remboursement par les promoteurs du financement qui leur a été octroyé.
Monsieur le Directeur de Cabinet, Mesdames et Messieurs,
Nous voudrions pour finir prendre l’engagement d’œuvrer à une bonne mise en œuvre et à une consolidation de nos différents partenariats tant avec des structures privées que publiques, en vue d’accroître les possibilités d’accès des jeunes au financement et stimuler ainsi la création d’emplois et de richesses dans notre pays.
Je ne saurais terminer mon propos sans adresser mes sincères félicitations aux heureux promoteurs de ce matin et les encourager à gérer au mieux les ressources financières qui seront mises à leur disposition, pour que le plus grand nombre de jeunes puissent bénéficier de financement.
Je suis persuadé qu’avec l’expérience et la qualification des promoteurs pour l’activité de riziculture, le projet « Yoco riz » sera bien conduit et tiendra toutes ses promesses.
C’est sur cette note d’engagement et d’optimisme que je voudrais conclure mon propos, en vous remerciant pour votre aimable attention.
Monsieur le Directeur de Cabinet, Représentant Monsieur le Ministre de la Promotion de la Jeunesse et du Service Civique,
Monsieur le Président du Conseil Général d’Issia,
Monsieur le Sous-Préfet de Saioua
Monsieur le Maire de Saioua,
Monsieur le Coordonnateur du Programme du Service Civique National (PSCN),
Monsieur le Représentant de la Banque pour le Financement de l’Agriculture (BFA)
Honorables invités en vos rangs, qualités et grades respectifs,
Honorables Chefs traditionnels,
Chers jeunes promoteurs,
C’est avec un grand plaisir que je prends la parole à la faveur de cette cérémonie officielle de lancement du projet « YOCO RIZ », dans cette chaleureuse localité de Korébouo.
Monsieur le Directeur de Cabinet,
Je voudrais avant tout propos vous saluer et vous remercier pour votre présence distinguée à cette cérémonie.
Qu’il me soit permis, à travers votre personne, d’adresser mes sincères remerciements à notre Ministre de tutelle, le Ministre de la Promotion de la Jeunesse et du Service Civique, pour l’appui constant qu’il ne cesse d’apporter au Fonds National de Solidarité pour la promotion d’emplois jeunes (FNS) qui sous son impulsion, relance résolument ses activités de financement de projets de création d’emplois en faveur des jeunes.
Enfin, un grand merci à l’ensemble des autorités administratives et coutumières pour leur mobilisation ainsi qu’à toutes les parties prenantes à l’important projet qui nous réunit ce jour, notamment la Banque pour le Financement de l’Agriculture (BFA), qui assure le cofinancement de cette activité avec le FNS, mais aussi les différents partenaires techniques concernés : le PSCN, l’ANADER (Agence National d’Appui au Développement Rural) et l’ADCVI (Association pour le Développement des Cultures Vivrières Intensives) et le Collectif des Centres de Gestion Agréés (CGA).
Mesdames et Messieurs,
Le FNS, faut-il le rappeler, a pour mission essentielle de favoriser, en partenariat avec le système financier et bancaire, l’accès au financement pour les jeunes promoteurs et les entreprises créatrices d’emplois jeunes et de contribuer ainsi à faire émerger de jeunes entrepreneurs capables de se prendre en charge à travers la conduite d’activités génératrices de revenus, comme c’est le cas avec le projet « YOCO Riz » qui nous réunit ce jour.
Cet important projet s’inscrit dans le cadre des nouvelles orientations du FNS telles que définies par le Ministère de la Promotion de la Jeunesse et du Service Civique, en l’occurrence la promotion et le financement de projets collectifs dans des filières économiques porteuses et offrant de réelles opportunités d’emplois pour les jeunes. C’est le cas notamment de la filière rizicole.
Dans notre pays, le riz est assurément la denrée alimentaire la plus consommée, aussi bien en milieu rural qu’en milieu urbain. Cependant, la production nationale ne permet de satisfaire qu’à peine la moitié des besoins de la consommation intérieure. C’est précisément pour apporter sa contribution à la résorption de ce déficit et partant à l’atteinte de l’auto-suffisance en production de riz que la société Agro-industrielle du Haut Sassandra (SAHS) a décidé d’initier le programme « yoco riz », qui aura pour principale activité la production, la transformation et la commercialisation de riz blanchi. La production se fera sur un périmètre de 60 ha de bas-fonds, qui seront progressivement aménagés.
Mesdames et Messieurs,
Le projet « yoco riz » a un coût total estimé à 21 millions FCFA, dont 9 millions FCFA d’immobilisations et 12 millions FCFA de besoins en fonds de roulement.
Le FNS, en partenariat avec la BFA, apporte un financement à hauteur de 15 millions FCFA, notamment pour l’acquisition de matériels et semences nécessaires au démarrage des activités.
Le projet qui nous réunit ce matin crée 11 emplois permanents et 4500 emplois non permanents.
Il contribue au développement local et à la lutte contre l’insécurité alimentaire et s’inscrit parfaitement en droite ligne de l’objectif du Gouvernement de créer 200 000 emplois par an. Objectif somme toute réalisable, à condition d’œuvrer à une synergie et à une complémentarité d’actions entre les différentes structures en charge des questions de développement économique, de promotion des jeunes et de création d’emplois dans notre pays.
Pour sa part, le FNS, qui entend se positionner comme un instrument moderne et efficace au service des jeunes, se fera fort de financer désormais des projets viables et porteurs, pour lesquels les risques, à défaut d’être entièrement couverts, sont largement mitigés par un encadrement efficace et de qualité.
En effet, il convient d’indiquer que le FNS, dans le cadre de son dispositif opérationnel aujourd’hui renforcé, assurera le suivi des activités du projet ainsi que l’encadrement des promoteurs, en liaison avec son partenaire financier, la BFA et le Collectif des Centres de Gestion agréés et le PSCN. Cet encadrement se fera sous forme d’assistance dans la gestion, la comptabilité, la commercialisation et la formation, jusqu’à la consolidation des activités, tant sur le plan organisationnel que financier et jusqu’au remboursement par les promoteurs du financement qui leur a été octroyé.
Monsieur le Directeur de Cabinet, Mesdames et Messieurs,
Nous voudrions pour finir prendre l’engagement d’œuvrer à une bonne mise en œuvre et à une consolidation de nos différents partenariats tant avec des structures privées que publiques, en vue d’accroître les possibilités d’accès des jeunes au financement et stimuler ainsi la création d’emplois et de richesses dans notre pays.
Je ne saurais terminer mon propos sans adresser mes sincères félicitations aux heureux promoteurs de ce matin et les encourager à gérer au mieux les ressources financières qui seront mises à leur disposition, pour que le plus grand nombre de jeunes puissent bénéficier de financement.
Je suis persuadé qu’avec l’expérience et la qualification des promoteurs pour l’activité de riziculture, le projet « Yoco riz » sera bien conduit et tiendra toutes ses promesses.
C’est sur cette note d’engagement et d’optimisme que je voudrais conclure mon propos, en vous remerciant pour votre aimable attention.
