Messieurs les présidents d’institutions,
Messieurs les ministres d’Etat,
Messieurs les ministres,
officiers généraux,
officiers supérieurs,
Monsieur le président de la Fif,
Chers Drogba, Zahoui,
Chers jeunes frères de notre grande équipe nationale, je voudrais vous dire toute ma fierté. J’ai eu l’occasion de vous le dire, hier (dimanche) soir, puisque nous étions ensemble, quasiment jusqu’à 2 heures du matin. Pour dire que nos compatriotes sont fiers de vous. Bravo à vous ! Bravo !
Vous avez eu un parcours sans faute. Je le disais à Paris : la seule équipe qui n’a pas encaissé un seul but pendant cette compétition de la CAN. Bravo ! Bravo ! Nous en avons marqué neuf, je le disais ce matin (hier matin) à Ouagadougou, puisque je suis allé participer à une conférence sur l’Education. En réalité, il est vrai que vous ne nous avez pas ramené la coupe, mais vous n’avez pas perdu de match. Les tirs au but ont fait que nous n’avons pas eu de chance et que la coupe nous a échappé. Mais ce n’est que partie remise, je suis sûr de vous ; j’ai confiance. Et je sais que l’année prochaine, en 2013, vous nous ramènerez la coupe.
Je voudrais vous dire aussi que cette épreuve n’a pas été facile pour vous. Parce que je l’ai senti quand je suis allé vous voir, samedi soir, que vous aviez une très grande détermination. Vous saviez que tous les Ivoiriens vous attendaient et vous avez rendu hommage à notre chère partie. Je vous félicite. Bien entendu, le sport est ce qu’il est : il y a des jours de chance et d’autres où on a moins de chance. Hier (dimanche) a été une nuit où nous avons eu moins de chance. Car, au vu de ce qui s’est passé, nous savions que nous aurions dû avoir un score de 3 à 0. Et c’est le score que je retiens. Cela montre la qualité de notre équipe, des joueurs, de nos fils et nos frères. Et nous sommes certains qu’avec une équipe qui a tant de talents, de détermination et d’amour pour la patrie que ce n’est que partie remise.
Je voudrais vous le répéter, notre devise dit que découragement n’est pas Ivoirien. Alors, il faut qu’en revenant au pays, vous puissiez vous ressourcer. Et vous dire que l’année prochaine, en Afrique du Sud, nous allons recommencer avec la même foi, la même détermination et que ce sera l’année de la coupe pour notre chère Côte d’Ivoire. Bravo à tous ! Bravo…`
Propos recueillis par B.I
Messieurs les ministres d’Etat,
Messieurs les ministres,
officiers généraux,
officiers supérieurs,
Monsieur le président de la Fif,
Chers Drogba, Zahoui,
Chers jeunes frères de notre grande équipe nationale, je voudrais vous dire toute ma fierté. J’ai eu l’occasion de vous le dire, hier (dimanche) soir, puisque nous étions ensemble, quasiment jusqu’à 2 heures du matin. Pour dire que nos compatriotes sont fiers de vous. Bravo à vous ! Bravo !
Vous avez eu un parcours sans faute. Je le disais à Paris : la seule équipe qui n’a pas encaissé un seul but pendant cette compétition de la CAN. Bravo ! Bravo ! Nous en avons marqué neuf, je le disais ce matin (hier matin) à Ouagadougou, puisque je suis allé participer à une conférence sur l’Education. En réalité, il est vrai que vous ne nous avez pas ramené la coupe, mais vous n’avez pas perdu de match. Les tirs au but ont fait que nous n’avons pas eu de chance et que la coupe nous a échappé. Mais ce n’est que partie remise, je suis sûr de vous ; j’ai confiance. Et je sais que l’année prochaine, en 2013, vous nous ramènerez la coupe.
Je voudrais vous dire aussi que cette épreuve n’a pas été facile pour vous. Parce que je l’ai senti quand je suis allé vous voir, samedi soir, que vous aviez une très grande détermination. Vous saviez que tous les Ivoiriens vous attendaient et vous avez rendu hommage à notre chère partie. Je vous félicite. Bien entendu, le sport est ce qu’il est : il y a des jours de chance et d’autres où on a moins de chance. Hier (dimanche) a été une nuit où nous avons eu moins de chance. Car, au vu de ce qui s’est passé, nous savions que nous aurions dû avoir un score de 3 à 0. Et c’est le score que je retiens. Cela montre la qualité de notre équipe, des joueurs, de nos fils et nos frères. Et nous sommes certains qu’avec une équipe qui a tant de talents, de détermination et d’amour pour la patrie que ce n’est que partie remise.
Je voudrais vous le répéter, notre devise dit que découragement n’est pas Ivoirien. Alors, il faut qu’en revenant au pays, vous puissiez vous ressourcer. Et vous dire que l’année prochaine, en Afrique du Sud, nous allons recommencer avec la même foi, la même détermination et que ce sera l’année de la coupe pour notre chère Côte d’Ivoire. Bravo à tous ! Bravo…`
Propos recueillis par B.I