Le sélectionneur des Eléphants regrette la défaite de ses joueurs, dimanche en finale de la CAN devant la Zambie, mais invite tout le monde à se remettre au travail car «l’échéance arrive».
Quels sont vos sentiments après votre défaite devant la Zambie ?
Ça fait mal… On a eu l’opportunité de marquer les premiers mais on ne l’a pas fait. Ensuite, l’adversaire a pris conscience. Voilà !
Avez-vous été surpris par les Zambiens ?
Non ! Nous étions prévenus. Nous savions que cette finale serait difficile. Les Zambiens voulaient aussi la Coupe et il y avait de l’émotionnel des deux côtés. Nous avons la possibilité de «tuer» le match, on ne l’a pas fait et devant un tel adversaire qui en voulait, notre victoire est devenue difficile. En première période, nous n’avions pas su développer le jeu. Nous avons été pris par le rythme de la partie. C’est en seconde période que nous avons équilibré les choses mais cela n’a pas suffi.
Etes-vous déçus ?
Un peu. Nous avons atteint la finale en montant en régime. Dimanche, en finale, nous avons été battus aux tirs au but. Il faut être indulgent car les tirs au but, c’est du 50-50. Les Zambiens, il faut simplement les féliciter car ils ont bien joué.
N’avez-vous pas minimisé l’adversaire ?
Depuis le début de la compétition, nous savions que les choses seraient difficiles. Nous savons que la Zambie est une bonne équipe. On est très déçus mais nous n’enterrons pas tout car les joueurs ont mouillé le maillot. Ils sont allés au bout d’eux-mêmes au cours de cette finale qui était indécise.
Comment entrevoyez-vous votre avenir immédiat ?
Il faut prendre les choses avec beaucoup de sagesse. Il faut prendre son temps pour bien réfléchir. Il y a une Coupe d’Afrique qui arrive dans un an en Afrique du Sud. Il faut beaucoup de calme et travailler assidûment en vue des prochaines échéances.
Quelles leçons tirez-vous de cette CAN ?
J’ai vu des joueurs aller au-delà d’eux-mêmes qui sont allés aux tirs au but et qui n’ont pas pris de but en six rencontres. Les souvenirs, il y en a de très bons mais le meilleur souvenir aurait été de ramener le trophée à Abidjan.
Les Ivoiriens sont très déçus après cette déconvenue…
Je suis triste aussi. Mais souvent, acceptons la volonté de Dieu car nous voulions vraiment remporter ce trophée. Nous sommes les premiers à être malheureux… c’est notre équipe nationale à tous. Soutenons-la toujours.
Entretien réalisé par Guy-Florentin
Yaméogo, envoyé spécial à Libreville
Quels sont vos sentiments après votre défaite devant la Zambie ?
Ça fait mal… On a eu l’opportunité de marquer les premiers mais on ne l’a pas fait. Ensuite, l’adversaire a pris conscience. Voilà !
Avez-vous été surpris par les Zambiens ?
Non ! Nous étions prévenus. Nous savions que cette finale serait difficile. Les Zambiens voulaient aussi la Coupe et il y avait de l’émotionnel des deux côtés. Nous avons la possibilité de «tuer» le match, on ne l’a pas fait et devant un tel adversaire qui en voulait, notre victoire est devenue difficile. En première période, nous n’avions pas su développer le jeu. Nous avons été pris par le rythme de la partie. C’est en seconde période que nous avons équilibré les choses mais cela n’a pas suffi.
Etes-vous déçus ?
Un peu. Nous avons atteint la finale en montant en régime. Dimanche, en finale, nous avons été battus aux tirs au but. Il faut être indulgent car les tirs au but, c’est du 50-50. Les Zambiens, il faut simplement les féliciter car ils ont bien joué.
N’avez-vous pas minimisé l’adversaire ?
Depuis le début de la compétition, nous savions que les choses seraient difficiles. Nous savons que la Zambie est une bonne équipe. On est très déçus mais nous n’enterrons pas tout car les joueurs ont mouillé le maillot. Ils sont allés au bout d’eux-mêmes au cours de cette finale qui était indécise.
Comment entrevoyez-vous votre avenir immédiat ?
Il faut prendre les choses avec beaucoup de sagesse. Il faut prendre son temps pour bien réfléchir. Il y a une Coupe d’Afrique qui arrive dans un an en Afrique du Sud. Il faut beaucoup de calme et travailler assidûment en vue des prochaines échéances.
Quelles leçons tirez-vous de cette CAN ?
J’ai vu des joueurs aller au-delà d’eux-mêmes qui sont allés aux tirs au but et qui n’ont pas pris de but en six rencontres. Les souvenirs, il y en a de très bons mais le meilleur souvenir aurait été de ramener le trophée à Abidjan.
Les Ivoiriens sont très déçus après cette déconvenue…
Je suis triste aussi. Mais souvent, acceptons la volonté de Dieu car nous voulions vraiment remporter ce trophée. Nous sommes les premiers à être malheureux… c’est notre équipe nationale à tous. Soutenons-la toujours.
Entretien réalisé par Guy-Florentin
Yaméogo, envoyé spécial à Libreville