S’il y a un lieu où, pendante toute la durée de la Can, les Abidjanais se donnaient rendez-vous pour suivre les matchs de cette compétition, c’est bien le village Can offert par la Cie et le district d’Abidjan. Et, dimanche dernier, l’ambiance était à son comble pour la finale qui opposait la Zambie à la Côte d’Ivoire.
Bien avant 16 h, cet espace était déjà bondé de monde. Vêtus t-shirts aux couleurs nationales, les chants se succèdent aux cris de joie. Des artistes, tels que le Magnifique et bien d’autres moins connus, entretiennent l’ambiance jusqu’à ce que le coup d’envoi soit donné à 19 h 30. Bien que concentrés, les spectateurs continuent la fête. Qui se transformera en cauchemar lorsque les Zambiens prennent le dessus sur leurs adversaires. Pleurs, manifestations de colère prennent la place. Certains ont du mal à quitter le village Can. D’autres, plus fair-play, encourage les plus touchés par la défaite. «Gardez votre calme. Ce qu’il faut retenir, c’est que les Ivoiriens nous ont offert d’intenses moments de joie. Et, c’est ce qui est important», lance un jeune homme qui contient difficilement sa déception.
Au finish, même si les Ivoiriens ont perdu cette finale, l’on n’oubliera pas de si tôt ce cadeau offert par la Cie et le district d’Abidjan.
Koné Modeste
Bien avant 16 h, cet espace était déjà bondé de monde. Vêtus t-shirts aux couleurs nationales, les chants se succèdent aux cris de joie. Des artistes, tels que le Magnifique et bien d’autres moins connus, entretiennent l’ambiance jusqu’à ce que le coup d’envoi soit donné à 19 h 30. Bien que concentrés, les spectateurs continuent la fête. Qui se transformera en cauchemar lorsque les Zambiens prennent le dessus sur leurs adversaires. Pleurs, manifestations de colère prennent la place. Certains ont du mal à quitter le village Can. D’autres, plus fair-play, encourage les plus touchés par la défaite. «Gardez votre calme. Ce qu’il faut retenir, c’est que les Ivoiriens nous ont offert d’intenses moments de joie. Et, c’est ce qui est important», lance un jeune homme qui contient difficilement sa déception.
Au finish, même si les Ivoiriens ont perdu cette finale, l’on n’oubliera pas de si tôt ce cadeau offert par la Cie et le district d’Abidjan.
Koné Modeste