Fête totale ! L’amour et le glamour le disputaient à l’élan de générosité des convives qui ont fait parler leur cœur en faisant des dons en argent, vivres et non vivres pour la prise en charge des enfants orphelins victimes du VIH/Sida de l’Organisation Non Gouvernementale (ONG) "Chigata" de Yopougon. « En venant en aide à cette ONG, par cet élan de cœur, c’est une façon pour nous de semer l’espoir pour ces enfants », a dit Isabelle Anoh.
Côté festif, Isabelle Anoh, Directrice de l’agence "Avant- Garde Production", structure de pilotage de l’événement, a mis les petits plats dans les grands pour offrir, aux amoureux, l’occasion de se retrouver dans un cadre féérique. Des lambris dorés au copieux banquet, tout était réuni pour une célébration inoubliable du 14 février en couple. Et "les valentins" présents n’ont pas boudé leur plaisir. Lorsque Bailly Spinto passe en revue son indémodable répertoire, les espaces libres de salle se transforment en piste de danse. Sur les airs langoureux de "Taxi Sougnon", "Anoumé", des titres cultes, des tourtereaux étroitement enlacés dansent à des pas comptés. Quand vient la partie humoristique, "Le Magnific", avec ses sketchs hilarants, fait tordre de rire le public. Certains, pour les plus résistants, ne tiennent plus sur leur siège, quand d’autres, coulant des larmes, épongent les commissures des yeux avec des mouchoirs. Lorsque le comédien titille les Eléphants « favoris sur papier» au début de la dernière CAN et « tocards sur le terrain à la fin », la salle esclaffe. « Déjà, on dit en 2013, la CAN c’est pour nous. Toujours, c’est pour nous, mais on ne la remporte jamais », poursuit- il sous un tonnerre d’applaudissement.
Amour et solidarité
Instant aussi attendu, la prestation de Pierrette Adams, l’artiste vedette de la soirée. Pour un retour sur scène en Côte d’Ivoire après près d’une décennie, c’est une "Mama Zalumett" sublime qui apparaît sur le podium, flanquée de quatre "Katerpillars" (ses danseuses) aussi agiles que des roseaux sous le coup du vent. Coup sur coup, elle enchaîne "Journal intime" ; "Coma profond" ; "Anesthésie" et bien d’autres titres à succès. Le public heureux de la retrouver danse et acclame l’artiste.
L’un des moments forts du Cabaret 2012, c’est le moment des dons. La main sur le cœur, les Ivoiriens offrent argent, vivres et non vivres pour la prise en charge des enfants de "Chigata". Au nombre des donateurs, les organisateurs n’ont pas manqué d’en savoir gré à la société de téléphonie mobile Moov, sponsor du Cabaret de la Saint-Valentin 2012. L’entreprise « dans son affirmation citoyenne » a offert, entre autres, vivres et non vivres à l’ONG "Chigata". Bien d’autres âmes généreuses ont fait don d’argent, savon, produits d’entretien etc. La soirée a également été agrémentée par un défilé de stylistes ivoiriens qui ont tallé des modèles dans le pagne "Dans un Carré" d’Uniwax.
Cette année, le volet social du Cabaret a été fort bien apprécié par les Ivoiriens. A sa juste valeur.
Jean- Antoine Doudou
"Espace plein air" du Palais de la Culture
Un espace multifonctionnel pour le bonheur des usagers
Une pension complète. C’est ce que le Palais de la culture d’Abidjan (PCA) offre désormais à toute personne qui s’y rend pour suivre soit un concert, soit tout autre activité récréative. En effet, depuis le 14 février, jour de la Saint-Valentin, le PCA a ouvert en son sein "l’Espace plein air". Un endroit convivial où les usagers ont la possibilité de déguster des mets typiquement ivoiriens: "poisson braisé", "du riz sauce", "foutou" etc., accompagnés de toutes sortes de boissons. Pour un apéritif, pendant ou entre deux concerts, les usagers du PCA peuvent boire un coup au "café des arts", dans le hall du bâtiment principal du PCA. Konan Privat dit Famien, le gérant de l’espace, par ailleurs chef de l’Orchestre "Famien Groov" qui assure l’animation des lieux, rassure que sa formation est rompue au live. « Nous organisons des soirées à thèmes les vendredis et samedis… », précise t-il.
Après la mise en service des salles "Anoumabo", "Kodjo Ebouclé", "Christian Lattier", pour ne citer qu’elles, Koné Dodo, DG du PCA et son équipe accroissent les fonctionnalités du temple de la Culture où l’usager peut passer un temps agréable en toute quiétude.
JAD
Côté festif, Isabelle Anoh, Directrice de l’agence "Avant- Garde Production", structure de pilotage de l’événement, a mis les petits plats dans les grands pour offrir, aux amoureux, l’occasion de se retrouver dans un cadre féérique. Des lambris dorés au copieux banquet, tout était réuni pour une célébration inoubliable du 14 février en couple. Et "les valentins" présents n’ont pas boudé leur plaisir. Lorsque Bailly Spinto passe en revue son indémodable répertoire, les espaces libres de salle se transforment en piste de danse. Sur les airs langoureux de "Taxi Sougnon", "Anoumé", des titres cultes, des tourtereaux étroitement enlacés dansent à des pas comptés. Quand vient la partie humoristique, "Le Magnific", avec ses sketchs hilarants, fait tordre de rire le public. Certains, pour les plus résistants, ne tiennent plus sur leur siège, quand d’autres, coulant des larmes, épongent les commissures des yeux avec des mouchoirs. Lorsque le comédien titille les Eléphants « favoris sur papier» au début de la dernière CAN et « tocards sur le terrain à la fin », la salle esclaffe. « Déjà, on dit en 2013, la CAN c’est pour nous. Toujours, c’est pour nous, mais on ne la remporte jamais », poursuit- il sous un tonnerre d’applaudissement.
Amour et solidarité
Instant aussi attendu, la prestation de Pierrette Adams, l’artiste vedette de la soirée. Pour un retour sur scène en Côte d’Ivoire après près d’une décennie, c’est une "Mama Zalumett" sublime qui apparaît sur le podium, flanquée de quatre "Katerpillars" (ses danseuses) aussi agiles que des roseaux sous le coup du vent. Coup sur coup, elle enchaîne "Journal intime" ; "Coma profond" ; "Anesthésie" et bien d’autres titres à succès. Le public heureux de la retrouver danse et acclame l’artiste.
L’un des moments forts du Cabaret 2012, c’est le moment des dons. La main sur le cœur, les Ivoiriens offrent argent, vivres et non vivres pour la prise en charge des enfants de "Chigata". Au nombre des donateurs, les organisateurs n’ont pas manqué d’en savoir gré à la société de téléphonie mobile Moov, sponsor du Cabaret de la Saint-Valentin 2012. L’entreprise « dans son affirmation citoyenne » a offert, entre autres, vivres et non vivres à l’ONG "Chigata". Bien d’autres âmes généreuses ont fait don d’argent, savon, produits d’entretien etc. La soirée a également été agrémentée par un défilé de stylistes ivoiriens qui ont tallé des modèles dans le pagne "Dans un Carré" d’Uniwax.
Cette année, le volet social du Cabaret a été fort bien apprécié par les Ivoiriens. A sa juste valeur.
Jean- Antoine Doudou
"Espace plein air" du Palais de la Culture
Un espace multifonctionnel pour le bonheur des usagers
Une pension complète. C’est ce que le Palais de la culture d’Abidjan (PCA) offre désormais à toute personne qui s’y rend pour suivre soit un concert, soit tout autre activité récréative. En effet, depuis le 14 février, jour de la Saint-Valentin, le PCA a ouvert en son sein "l’Espace plein air". Un endroit convivial où les usagers ont la possibilité de déguster des mets typiquement ivoiriens: "poisson braisé", "du riz sauce", "foutou" etc., accompagnés de toutes sortes de boissons. Pour un apéritif, pendant ou entre deux concerts, les usagers du PCA peuvent boire un coup au "café des arts", dans le hall du bâtiment principal du PCA. Konan Privat dit Famien, le gérant de l’espace, par ailleurs chef de l’Orchestre "Famien Groov" qui assure l’animation des lieux, rassure que sa formation est rompue au live. « Nous organisons des soirées à thèmes les vendredis et samedis… », précise t-il.
Après la mise en service des salles "Anoumabo", "Kodjo Ebouclé", "Christian Lattier", pour ne citer qu’elles, Koné Dodo, DG du PCA et son équipe accroissent les fonctionnalités du temple de la Culture où l’usager peut passer un temps agréable en toute quiétude.
JAD
