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Politique Publié le samedi 18 février 2012 | Le Patriote

Motus : Fermeté

Ils n’ont aucune souvenance de leur gouvernance passée. Comme des hommes sans visage, les frontistes avancent dans le paysage national, comme de pauvres hères sans cesse en errance. Ils n’ont pas tiré les leçons du passé, tellement ils paraissent dépassés par leurs nouvelles conditions d’existence. Ils croyaient détenir un pouvoir éternel alors ils laissent libre cours à de sempiternelles rodomontades. Ils chicanent pendant que les Ivoiriens rient et même ricanent pour avoir échappé à un mort programmée. Alors qu’ils devraient avoir le profil bas, pour avoir voulu conduire le pays dans les profondeurs abyssales, ils voient se profiler à l’horizon une nouvelle occasion de remettre le feu aux poudres. La poutre qui crève leurs yeux les empêche certainement de voir la réalité des choses. Les temps ont changé et les chances de ce beau pays que certains espéraient conspuer et consumer, sont restées intactes. Ceux que les refondateurs présentaient comme des héros et des hérauts d’une certaine « résistance » sans contenance, se sont révélé des zéro sur la place publique et à la face du monde. Même leur petit monde a fini par réaliser la vacuité et la vanité des thèses et discours sibyllins. A présent que la paix revient, ces individus entendent demeurer dans les mesquineries et le clair-obscur. Chaque jour, un peu plus, on tire à boulets rouges sur tout ce qui bouge. On pousse les militants à affronter l’armée régulière pour espérer créer des troubles et crier au loup. Comment peut-on imaginer un seul instant qu’on puisse manipuler des populations contre l’armée nationale ? Il ne faut pas se méprendre et prendre des vessies pour des lanternes. Il faut comprendre à sa juste valeur les évènements de Vavoua, Sikensi et d’Arrah, qui ne sont rien d’autres que la veillée d’armes, pour jauger de la réaction des forces nationales, avant l’organisation de troubles, pour salir l’image du pouvoir. C’est vrai que les FRCI « ne materont pas sans réfléchir », comme Laurent Gbagbo le demandait à ses soldats, cependant il ne faut pas laisser prospérer de telles situations. Le pays est gouverné et les autorités ne doivent pas laisser de petites gens se comporter comme des hors la loi. Il faut maintenir le ton de la fermeté
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