Le ministre ivoirien de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Bruno Nabagné Koné a procédé lundi à l’hôtel Novotel du Plateau (Abidjan), à l’ouverture officielle d’un atelier sur l’harmonisation des cyberlégislations en Afrique de l’Ouest.
Organisé par ledit ministère et la CEDEAO, en partenariat avec l’Agence des télécommunications de Côte d’Ivoire (ATCI), la Commission économique africaine (CEA) et l’Union africaine (UA), l’atelier de trois jours vise, selon Bruno Koné, pour les Etats de la sous-région à faire face aux nouveaux enjeux auxquels ils sont confrontés, en particulier ceux de leur "cyber développement".
Le premier responsable des TIC en Côte d’Ivoire a donc exhorté la centaine d’experts issus des 15 pays membres de la CEDEAO de plancher sur les normes qui correspondent mieux aux valeurs desdits Etats, en se posant, en aval, la question sur « quel l’encadrement juridique pour les réseaux numériques, notamment pour l’Internet, service en plein développement et en perpétuelle mutation ? »
Le ministre a profité de l’opportunité pour rappeler des initiatives prises ou en vue en Côte d’Ivoire, pour lutter contre la cybercriminalité. Il a cité les projets ‘Back bone national’, e-gouvernance, la délivrance de licences de 3ème génération (3G), ainsi que les projets de vulgarisation de l’équipement des usages, de la réforme du cadre juridique des télécommunications et de transposition au niveau national des textes juridiques de la CEDEAO relatifs aux transactions électroniques, à la protection des données personnelles et à la lutte contre la cybercriminalité.
Auparavant, Dr Raphaël Koffi, MM. Makane Faye et Auguste Yankey, s’adressant respectivement pour le compte de la CEDEAO, de la CEA (Nations Unies) et de la Commission de l’UA, ont tour à tour insisté sur l’importance capitale de doter l’Afrique de textes forts visant la mise en place d’un cyberespace sécurisé, en vue d’accompagner l’usage et la vulgarisation des TIC.
L’atelier d’Abidjan (région ouest africaine) qui a pour but l’examen et la validation de l’avant-projet de l’UA sur la cybercriminalité en vue de l’adoption de la convention africaine sur ce phénomène, succède à celui de l’Afrique centrale organisé en décembre à Libreville (Gabon). Suivront les rencontres des régions Nord à Rabat (Maroc) et Est à Addis Abeba (Ethiopie), en mars.
(AIP)
cmas
Organisé par ledit ministère et la CEDEAO, en partenariat avec l’Agence des télécommunications de Côte d’Ivoire (ATCI), la Commission économique africaine (CEA) et l’Union africaine (UA), l’atelier de trois jours vise, selon Bruno Koné, pour les Etats de la sous-région à faire face aux nouveaux enjeux auxquels ils sont confrontés, en particulier ceux de leur "cyber développement".
Le premier responsable des TIC en Côte d’Ivoire a donc exhorté la centaine d’experts issus des 15 pays membres de la CEDEAO de plancher sur les normes qui correspondent mieux aux valeurs desdits Etats, en se posant, en aval, la question sur « quel l’encadrement juridique pour les réseaux numériques, notamment pour l’Internet, service en plein développement et en perpétuelle mutation ? »
Le ministre a profité de l’opportunité pour rappeler des initiatives prises ou en vue en Côte d’Ivoire, pour lutter contre la cybercriminalité. Il a cité les projets ‘Back bone national’, e-gouvernance, la délivrance de licences de 3ème génération (3G), ainsi que les projets de vulgarisation de l’équipement des usages, de la réforme du cadre juridique des télécommunications et de transposition au niveau national des textes juridiques de la CEDEAO relatifs aux transactions électroniques, à la protection des données personnelles et à la lutte contre la cybercriminalité.
Auparavant, Dr Raphaël Koffi, MM. Makane Faye et Auguste Yankey, s’adressant respectivement pour le compte de la CEDEAO, de la CEA (Nations Unies) et de la Commission de l’UA, ont tour à tour insisté sur l’importance capitale de doter l’Afrique de textes forts visant la mise en place d’un cyberespace sécurisé, en vue d’accompagner l’usage et la vulgarisation des TIC.
L’atelier d’Abidjan (région ouest africaine) qui a pour but l’examen et la validation de l’avant-projet de l’UA sur la cybercriminalité en vue de l’adoption de la convention africaine sur ce phénomène, succède à celui de l’Afrique centrale organisé en décembre à Libreville (Gabon). Suivront les rencontres des régions Nord à Rabat (Maroc) et Est à Addis Abeba (Ethiopie), en mars.
(AIP)
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