Abidjan- Le prix bord champ du kilogramme de la noix de cajou pour la campagne 2012 est fixé à 310 FCFA, a annoncé le président de la coopérative des producteurs d’anacarde de Korhogo (SCOPAGH), Sogodogo Fousseni, mardi, lors d’une conférence de presse organisée au siège de l`Autorité de régulation du coton et de l`anacarde (ARECA) sis aux Deux-Plateaux Vallon (Abidjan).
Ce prix est en hausse de 10 francs par rapport à celui de la campagne précédente. Le président du conseil d’administration de l’ARECA, Bamba Mamadou a profité de l’occasion pour exhorter les acteurs de la filière à pratiquer ce prix indicatif homologué.
« Ce prix consensuel a été obtenu après une série de concertations entre les acteurs de la filière. Chacun des trois collèges qui composent notre filière a fait ses propositions en tenant compte des charges exposées pour la réalisation de son activité », a précisé M. Bamba.
Le PCA de l’ARECA a toutefois fait observer que certains opérateurs ont commencé à acheter la noix de cajou dans les zones de production alors que le prix n`est pas encore officiellement fixé. « Si nous ne nous entendons pas maintenant pour décider d`un prix, nous encouragerons ces pratiques à prospérer et c`est au détriment de toute la filière », a-t-il prévenu, félicitant tous les acteurs pour s’être accordé sur ce prix consensuel.
La Côte d`Ivoire est le premier producteur africain d`anacarde, avec une production annuelle de l`ordre de 300.000 tonnes de noix de cajou.
Ce prix est en hausse de 10 francs par rapport à celui de la campagne précédente. Le président du conseil d’administration de l’ARECA, Bamba Mamadou a profité de l’occasion pour exhorter les acteurs de la filière à pratiquer ce prix indicatif homologué.
« Ce prix consensuel a été obtenu après une série de concertations entre les acteurs de la filière. Chacun des trois collèges qui composent notre filière a fait ses propositions en tenant compte des charges exposées pour la réalisation de son activité », a précisé M. Bamba.
Le PCA de l’ARECA a toutefois fait observer que certains opérateurs ont commencé à acheter la noix de cajou dans les zones de production alors que le prix n`est pas encore officiellement fixé. « Si nous ne nous entendons pas maintenant pour décider d`un prix, nous encouragerons ces pratiques à prospérer et c`est au détriment de toute la filière », a-t-il prévenu, félicitant tous les acteurs pour s’être accordé sur ce prix consensuel.
La Côte d`Ivoire est le premier producteur africain d`anacarde, avec une production annuelle de l`ordre de 300.000 tonnes de noix de cajou.