L’atelier de trois jours sur "l’harmonisation des cyberlégislations en Afrique de l’ouest" a été officiellement clos mercredi à Abidjan par le directeur de cabinet du ministre de la Poste et des TIC, André Apeté qui a affirmé la disponibilité de la Côte d’Ivoire à accueillir les futurs travaux visant à accélérer le développement numérique sur le continent.
Le représentant du ministre Bruno Nabagné Koné s’est réjoui du choix de la Côte d’Ivoire pour abriter cet important atelier. Il a félicité la centaine de participants issus des 15 pays membres de la CEDEAO ayant « travaillé à définir une vision commune des normes et règles devant régir (…) les flux de données et contenus, leur sécurisation pour les personnes physiques et morales et les Etats », ainsi que la sécurisation des biens et réseaux de télécommunications et les échanges à caractère économique.
A l’issue de l’atelier, les experts de la CEDEAO ont recommandé aux Etats membres d’appliquer les actes additionnels en matière de transactions électroniques et de données à caractère personnel et de transposer la directive sur la lutte contre la cybercriminalité.
Ils demandent en outre à la Commission de la CEDEAO, en partenariat avec la Commission de l’Union africaine (UA), la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA) et autres partenaires intéressés, de développer des programmes de renforcement des capacités sur la cybersécurité et de sensibiliser les Etats membres sur les thématiques de l’avant-projet de convention.
L’atelier d’Abidjan recommande également à la Commission de l’UA et à la CEA de poursuivre les consultations nécessaires pour proposer des alternatives en matière d’instrument juridique du cadre harmonisé proposé.
Aux Etats membres, il est demandé de faire parvenir au plus tard le 07 mars, leurs observations sur cet avant-projet de Convention de l’UA sur les transactions électroniques, les données à caractère personnel et la lutte contre la cybercriminalité aux Commissions de la CEDEAO, de l’UA et la CEA.
Les experts ouest africains demandent à la Commission de la CEDEAO d’intégrer la cybersécurité au cadre juridique régional existant, en référence à l’avant-projet de l’UA.
(AIP)
cmas
Le représentant du ministre Bruno Nabagné Koné s’est réjoui du choix de la Côte d’Ivoire pour abriter cet important atelier. Il a félicité la centaine de participants issus des 15 pays membres de la CEDEAO ayant « travaillé à définir une vision commune des normes et règles devant régir (…) les flux de données et contenus, leur sécurisation pour les personnes physiques et morales et les Etats », ainsi que la sécurisation des biens et réseaux de télécommunications et les échanges à caractère économique.
A l’issue de l’atelier, les experts de la CEDEAO ont recommandé aux Etats membres d’appliquer les actes additionnels en matière de transactions électroniques et de données à caractère personnel et de transposer la directive sur la lutte contre la cybercriminalité.
Ils demandent en outre à la Commission de la CEDEAO, en partenariat avec la Commission de l’Union africaine (UA), la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA) et autres partenaires intéressés, de développer des programmes de renforcement des capacités sur la cybersécurité et de sensibiliser les Etats membres sur les thématiques de l’avant-projet de convention.
L’atelier d’Abidjan recommande également à la Commission de l’UA et à la CEA de poursuivre les consultations nécessaires pour proposer des alternatives en matière d’instrument juridique du cadre harmonisé proposé.
Aux Etats membres, il est demandé de faire parvenir au plus tard le 07 mars, leurs observations sur cet avant-projet de Convention de l’UA sur les transactions électroniques, les données à caractère personnel et la lutte contre la cybercriminalité aux Commissions de la CEDEAO, de l’UA et la CEA.
Les experts ouest africains demandent à la Commission de la CEDEAO d’intégrer la cybersécurité au cadre juridique régional existant, en référence à l’avant-projet de l’UA.
(AIP)
cmas