Venu apporter la compassion de son parti, le Pdci au Rdr à l’issue de la mort du député Diomandé Mamadou, Alphonse Djédjé Mady, secrétaire général du vieux parti est, revenu sur l’agression dont a été victime Kouadio Konan Bertin. Il condamne vivement cet acte et le juge de comportement imbécile perpétré par des idiots.
A la fin de cette cérémonie funèbre au cours de laquelle vous avez apporté la compassion de votre parti au Rdr et à la famille du défunt, avez-vous un message à livrer ?
Ce sont des sentiments de compassion. C’est la douleur qui m’étreint de voir ce jeune médecin qui venait d’être élu député à l’Assemblée nationale, disparaître aussi précipitamment.
Etant tous croyants, on ne peut que dire que c’est la volonté de Dieu. On vient donc consoler la famille d’une part et d’autre part la population d’Issia qui venait de porter son choix sur lui. On ne peut que les soutenir, les encourager et leur dire que conformément aux dispositions légales, le moment venu, ils trouveront un remplaçant à leur député qui n’a pas pu siéger à l’Assemblée nationale.
En campagne, le président de la jeunesse de votre parti a été agressé le vendredi 24 février dernier à Bonon. Comment réagissez-vous face à cette attaque ?
C’est un comportement imbécile. La démocratie est aux antipodes de la violence. Chacun est libre de dire ce qu’il veut. Le peuple est plus mûr que le candidat. Il appartient au peuple d’apprécier et d’accorder son vote à qui il veut. Et les gens qui veulent de la démocratie ne peuvent pas faire de brigandage. Ce sont des idiots. On ne peut pas dire autre chose.
Quand on n’a pas d’arguments, alors on a recours aux arguments du biceps. On doit bannir cela en Côte d’Ivoire, en tout cas dans le monde politique. Je crois que l’expérience que nous avons vécue ne nous a pas servis. La démocratie suppose la liberté d’expression et la liberté des candidatures.
Comment se porte KKB en ce moment ?
Je ne l’ai pas encore vu. C’est vous qui êtes chargés de nous informer, de nous situer sur son été actuel.
N’avez-vous pas échangé avec lui au téléphone depuis l’incident ?
On a échangé. Mais je ne l’ai pas encore vu. Ce que je sais, c’est qu’il est en vie.
Bayo Fatim, envoyé spécial à Issia
A la fin de cette cérémonie funèbre au cours de laquelle vous avez apporté la compassion de votre parti au Rdr et à la famille du défunt, avez-vous un message à livrer ?
Ce sont des sentiments de compassion. C’est la douleur qui m’étreint de voir ce jeune médecin qui venait d’être élu député à l’Assemblée nationale, disparaître aussi précipitamment.
Etant tous croyants, on ne peut que dire que c’est la volonté de Dieu. On vient donc consoler la famille d’une part et d’autre part la population d’Issia qui venait de porter son choix sur lui. On ne peut que les soutenir, les encourager et leur dire que conformément aux dispositions légales, le moment venu, ils trouveront un remplaçant à leur député qui n’a pas pu siéger à l’Assemblée nationale.
En campagne, le président de la jeunesse de votre parti a été agressé le vendredi 24 février dernier à Bonon. Comment réagissez-vous face à cette attaque ?
C’est un comportement imbécile. La démocratie est aux antipodes de la violence. Chacun est libre de dire ce qu’il veut. Le peuple est plus mûr que le candidat. Il appartient au peuple d’apprécier et d’accorder son vote à qui il veut. Et les gens qui veulent de la démocratie ne peuvent pas faire de brigandage. Ce sont des idiots. On ne peut pas dire autre chose.
Quand on n’a pas d’arguments, alors on a recours aux arguments du biceps. On doit bannir cela en Côte d’Ivoire, en tout cas dans le monde politique. Je crois que l’expérience que nous avons vécue ne nous a pas servis. La démocratie suppose la liberté d’expression et la liberté des candidatures.
Comment se porte KKB en ce moment ?
Je ne l’ai pas encore vu. C’est vous qui êtes chargés de nous informer, de nous situer sur son été actuel.
N’avez-vous pas échangé avec lui au téléphone depuis l’incident ?
On a échangé. Mais je ne l’ai pas encore vu. Ce que je sais, c’est qu’il est en vie.
Bayo Fatim, envoyé spécial à Issia