Le président de la Cei, Youssouf Bakayoko, s’est rendu hier dans l’Agnéby, pour suivre le déroulement des législatives partielles.
Dans le cadre des législatives partielles du dimanche 26 février dans 12 circonscriptions électorales, Youssouf Bakayoko s’est rendu hier dans l’Agnéby. Le président de la Cei y était pour constater le déroulement du scrutin. Sur la question sécuritaire, Youssouf Bakayoko, faisant le point de la tournée qu’il a effectuée dans trois (3) localités de la sous-préfecture d’Agboville, s’est félicité du calme et la sérénité qui ont prévalu dans les lieux et bureaux de vote. A la mi-journée, lorsqu’il faisait le tour de Grand Morié, Grand Yapo et Petit Yapo, l’affluence n’était pas celle des grands jours. Le patron de l’institution électorale a trouvé une explication aux 20 % de taux de participation à la mi-journée. « Nous sommes dans une région où la pratique du culte religieux est importante. Ce qui influence la participation pour cette matinée. Nous espérons que dans l’après-midi, les choses iront en s’améliorant », a-t-il justifié. Mais pour Bakayoko, contrairement au 11 décembre où le taux de participation était un élément important parce que le pays sortait de crise, l’élection d’hier n’avait pas le même enjeu. « Pour cette élection partielle, ce qui est important, c’est le score de chaque formation politique, puisqu’il s’agit de compléter une Assemblée qui est quasiment constituée », a déclaré Youssouf Bakayoko. A Agboville sous-préfecture, 11 candidats s’affrontaient, pour 52 lieux de vote, 119 bureaux de vote, et 36 213 électeurs.
Ouattara Abdoul Karim
Dans le cadre des législatives partielles du dimanche 26 février dans 12 circonscriptions électorales, Youssouf Bakayoko s’est rendu hier dans l’Agnéby. Le président de la Cei y était pour constater le déroulement du scrutin. Sur la question sécuritaire, Youssouf Bakayoko, faisant le point de la tournée qu’il a effectuée dans trois (3) localités de la sous-préfecture d’Agboville, s’est félicité du calme et la sérénité qui ont prévalu dans les lieux et bureaux de vote. A la mi-journée, lorsqu’il faisait le tour de Grand Morié, Grand Yapo et Petit Yapo, l’affluence n’était pas celle des grands jours. Le patron de l’institution électorale a trouvé une explication aux 20 % de taux de participation à la mi-journée. « Nous sommes dans une région où la pratique du culte religieux est importante. Ce qui influence la participation pour cette matinée. Nous espérons que dans l’après-midi, les choses iront en s’améliorant », a-t-il justifié. Mais pour Bakayoko, contrairement au 11 décembre où le taux de participation était un élément important parce que le pays sortait de crise, l’élection d’hier n’avait pas le même enjeu. « Pour cette élection partielle, ce qui est important, c’est le score de chaque formation politique, puisqu’il s’agit de compléter une Assemblée qui est quasiment constituée », a déclaré Youssouf Bakayoko. A Agboville sous-préfecture, 11 candidats s’affrontaient, pour 52 lieux de vote, 119 bureaux de vote, et 36 213 électeurs.
Ouattara Abdoul Karim