«Chers Camarades Militants et sympathisants du Rdr: Sos; «la Case brûle’’. Depuis l’accession de notre mentor Alassane Ouattara, à la magistrature suprême de la Côte d’Ivoire, nous faisons le constat suivant: nombre de camarades d’hier, aujourd’hui dans les arcanes du pouvoir, rament à contre courant de la politique visionnaire de notre Président de la République, homme de paix, humble et tolérant», indique d’emblée un communiqué en date de dimanche 10 février 2013,signé de Soumahoro Alfa Yaya, un membre, dit-on influent du parti-Etat de Côte d’Ivoire. Une sortie qui annonce la fissure dans le mur du Rdr, après seulement une vingtaine mois de présence à la tête de l’Etat.
Une conséquence directe de la mauvaise gouvernance et de la politique de rattrapage de leur mentor. Ainsi désormais, souligne le communiqué, l’on doit s’habituer au Rdr-Humilité, un courant politique dans l’arène nationale. «On constate avec amertume, l’hégémonie des ’’des coupeurs de routes et des braqueurs du Rdr (…). Les camarades d’hier, dont le souci majeur est de se lancer dans une course impitoyable vers l’enrichissement, souvent aux antipodes de la bonne gouvernance, sont devenus si amnésiques, si arrogants et si méprisants à l’endroit des militants encore meurtris par les stigmates de «ce long combat», qui a occasionné de milliers de morts et de disparus», déplore, le cœur meurtri, Soumahoro Yaya. «Cet affront, n’est pas acceptable. Ces profiteurs si égoïstes, n’ont en réalité rien compris au combat (…)», martèle le signataire du communiqué. Estimant que face au péril, il convient de prendre ses responsabilités.
Toussaint N’Gotta
Une conséquence directe de la mauvaise gouvernance et de la politique de rattrapage de leur mentor. Ainsi désormais, souligne le communiqué, l’on doit s’habituer au Rdr-Humilité, un courant politique dans l’arène nationale. «On constate avec amertume, l’hégémonie des ’’des coupeurs de routes et des braqueurs du Rdr (…). Les camarades d’hier, dont le souci majeur est de se lancer dans une course impitoyable vers l’enrichissement, souvent aux antipodes de la bonne gouvernance, sont devenus si amnésiques, si arrogants et si méprisants à l’endroit des militants encore meurtris par les stigmates de «ce long combat», qui a occasionné de milliers de morts et de disparus», déplore, le cœur meurtri, Soumahoro Yaya. «Cet affront, n’est pas acceptable. Ces profiteurs si égoïstes, n’ont en réalité rien compris au combat (…)», martèle le signataire du communiqué. Estimant que face au péril, il convient de prendre ses responsabilités.
Toussaint N’Gotta