L’artiste Serges Kassy, ex-membre du conseil d’administration du Burida, a voulu recadrer les choses suite à un article d’Antoinette Allany paru dans les colonnes d’un confrère sur la rencontre du 25 février. «Le samedi 25 février dernier, au Métro Guy Mocquet de Paris dans le 17ème arrondissement à la 27 rue Lantihiez 75017, de 14 h à 18h et en présence de plusieurs artistes ivoiriens, nos pairs ont invité Gadji Celi, Antoinette Allany et Baroan Michel (l’ex-directeur du Burida) et moi, en vue de les éclairer sur l’avenir des droits d’auteur et sur la situation du Burida.
C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés pour en débattre. Il n’a jamais été question d’une rencontre convoquée par Antoinette Allany en vue du retour au pays de Gadji Céli et moi», a argué Serges Kassy. Aussi confiera-t-il que le prolongement de son exil du Ghana aux bords de la Seine est dû à des atteintes à son intégrité physique. «Je voudrais donc rappeler que c’est suite aux tentatives d’assassinat contre ma personne et aux pillages et destructions de mes biens que je me suis vu dans l’obligation de m’exiler. Ce n’est donc pas Antoinette Allany ou qui que ce soit qui me fera revenir au pays. Je suis le seul à juger de l’opportunité et de toutes les garanties sécuritaires pour mon retour d’exil. Alors de grâce, laissez-moi vivre mon exil dans l’honneur et la tranquillité», a-t-il lancé à l’endroit des «oiseaux de mauvais augure qui souhaiteraient le sacrifier sur l’autel de leurs intérêts».
Patrick Krou
C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés pour en débattre. Il n’a jamais été question d’une rencontre convoquée par Antoinette Allany en vue du retour au pays de Gadji Céli et moi», a argué Serges Kassy. Aussi confiera-t-il que le prolongement de son exil du Ghana aux bords de la Seine est dû à des atteintes à son intégrité physique. «Je voudrais donc rappeler que c’est suite aux tentatives d’assassinat contre ma personne et aux pillages et destructions de mes biens que je me suis vu dans l’obligation de m’exiler. Ce n’est donc pas Antoinette Allany ou qui que ce soit qui me fera revenir au pays. Je suis le seul à juger de l’opportunité et de toutes les garanties sécuritaires pour mon retour d’exil. Alors de grâce, laissez-moi vivre mon exil dans l’honneur et la tranquillité», a-t-il lancé à l’endroit des «oiseaux de mauvais augure qui souhaiteraient le sacrifier sur l’autel de leurs intérêts».
Patrick Krou