A l’instar de certaines régions de la Côte d’Ivoire, celle du Gbèkê est marquée par l’insécurité grandissante. Depuis quelques mois, il ne se passe plus de jour sans que des cas d’agressions sur les routes ne fassent l’objet de commentaires au sein des populations et des autorités des forces de l’ordre dans la ville.
Les coupeurs de route règnent sur les voies Bouaké-Abidjan et celles en direction en direction du nord. C’est en moyenne trois à quatre braquages sur ces routes qui sont constatés par semaine. Le plus récent remonte au lundi 27 février dernier, sur l’axe Bouaké Katiola aux environs de 20H, à quelques kilomètres du centre de recherche Africa Rice, où un car reliant Abidjan à Boundiali a été l’objet d’une attaque meurtrière de coupeurs de route. Leur opération s’est soldée par trois morts et plusieurs blessés graves. Cette situation, plus que préoccupante suscite le courroux des transporteurs et des commerçants de la ville. Ils l’ont exprimé dans le mois de janvier en observant une marche pour décrier, à la fois ce fléau et l’apathie des forces de l’ordre quant à assurer la libre circulation des personnes et des biens sur ces voies. Cela a fait suite à une attaque de camions-remorques, sur l’axe Bouaké Djébonoua, entrainant la mort de trois commerçants. Ce phénomène d’insécurité ne se limite pas seulement aux attaques sur les routes. A l’intérieur de la ville de Bouaké les populations ne sont pas non plus à l’abri. De jour comme de nuit, elles sont confrontées au vol d’engins dans la quasi-totalité des quartiers. Les cas les plus récents remontent à la mi-février. Deux enseignants ont péri dans ces agressions et leurs engins ont été emportés par leurs ravisseurs. A cela s’ajoute l’assassinat du fils du griot du quartier Ahougnasou, devant sa porte, et le vol de sa moto par les agresseurs. Les gangsters ne dédaignent pas les structures financières et même les services administratifs de Bouaké.
Les coupeurs de route règnent sur les voies Bouaké-Abidjan et celles en direction en direction du nord. C’est en moyenne trois à quatre braquages sur ces routes qui sont constatés par semaine. Le plus récent remonte au lundi 27 février dernier, sur l’axe Bouaké Katiola aux environs de 20H, à quelques kilomètres du centre de recherche Africa Rice, où un car reliant Abidjan à Boundiali a été l’objet d’une attaque meurtrière de coupeurs de route. Leur opération s’est soldée par trois morts et plusieurs blessés graves. Cette situation, plus que préoccupante suscite le courroux des transporteurs et des commerçants de la ville. Ils l’ont exprimé dans le mois de janvier en observant une marche pour décrier, à la fois ce fléau et l’apathie des forces de l’ordre quant à assurer la libre circulation des personnes et des biens sur ces voies. Cela a fait suite à une attaque de camions-remorques, sur l’axe Bouaké Djébonoua, entrainant la mort de trois commerçants. Ce phénomène d’insécurité ne se limite pas seulement aux attaques sur les routes. A l’intérieur de la ville de Bouaké les populations ne sont pas non plus à l’abri. De jour comme de nuit, elles sont confrontées au vol d’engins dans la quasi-totalité des quartiers. Les cas les plus récents remontent à la mi-février. Deux enseignants ont péri dans ces agressions et leurs engins ont été emportés par leurs ravisseurs. A cela s’ajoute l’assassinat du fils du griot du quartier Ahougnasou, devant sa porte, et le vol de sa moto par les agresseurs. Les gangsters ne dédaignent pas les structures financières et même les services administratifs de Bouaké.