Le 11 avril prochain, cela fera exactement un an jour pour jour qu’Alassane Ouattara a pris les rênes du pouvoir d’Etat. Mettant ainsi fin à dix années de règne de la refondation. Cette accession a suscité autant d’espoir qu’elle ouvrait une nouvelle ère pour la Côte d’Ivoire.
L’espoir suscité au lendemain de l’accession du Président Alassane Ouattara à la tête de l’Etat, n’est pas entièrement satisfait. Pour le moins, ce qui concerne la corruption qui ne semble pas avoir encore trouvé une solution définitive. Ressentie au niveau de tous les secteurs d’activité, la corruption est très décriée au niveau de l’administration publique. Notamment au niveau des régies financières où régulièrement les fournisseurs de l’Etat dénoncent l’agissement de certains agents dans les trésoreries de l’intérieur du pays. A maintes occasions, ils ont mis au grand jour l’agissement de ces agents du Trésor public. Les dénonciations répétées du Syndicat national des fournisseurs de l’Etat de Côte d’Ivoire (Synafeci) qui revendique environ 90% des fournisseurs ivoiriens ont fini par attirer l’attention du ministre de l’Economie et des finances Charles Koffi Diby qui a saisi l’occasion de la rentrée budgétaire du 23 février dernier pour lancer un avertissement à ces agents. Pour ce faire, une brigade anti corruption a été mise sur pied pour traquer tout contrevenant. Mieux, l'argentier a menacé de radiation le premier qui se ferait prendre par cette brigade.
Une alternative a été trouvée
En vue de mettre un terme à la corruption avérée dans le processus du paiement des factures, un dialogue direct avec la direction générale du Trésor et de la comptabilité a été initié par le Syndicat national des fournisseurs de l’Etat de Côte d’Ivoire. Toute chose qui aboutirait à la mise à la disposition de fonds nécessaires au syndicat, afin qu’il procède directement au paiement des factures de leurs membres. Sans que la manne ne transite par les caisses des trésoreries de l’intérieur. A coup sûr, cela permettrait d’éviter la grogne régulière du Synafeci.
Idrissa Konaté
L’espoir suscité au lendemain de l’accession du Président Alassane Ouattara à la tête de l’Etat, n’est pas entièrement satisfait. Pour le moins, ce qui concerne la corruption qui ne semble pas avoir encore trouvé une solution définitive. Ressentie au niveau de tous les secteurs d’activité, la corruption est très décriée au niveau de l’administration publique. Notamment au niveau des régies financières où régulièrement les fournisseurs de l’Etat dénoncent l’agissement de certains agents dans les trésoreries de l’intérieur du pays. A maintes occasions, ils ont mis au grand jour l’agissement de ces agents du Trésor public. Les dénonciations répétées du Syndicat national des fournisseurs de l’Etat de Côte d’Ivoire (Synafeci) qui revendique environ 90% des fournisseurs ivoiriens ont fini par attirer l’attention du ministre de l’Economie et des finances Charles Koffi Diby qui a saisi l’occasion de la rentrée budgétaire du 23 février dernier pour lancer un avertissement à ces agents. Pour ce faire, une brigade anti corruption a été mise sur pied pour traquer tout contrevenant. Mieux, l'argentier a menacé de radiation le premier qui se ferait prendre par cette brigade.
Une alternative a été trouvée
En vue de mettre un terme à la corruption avérée dans le processus du paiement des factures, un dialogue direct avec la direction générale du Trésor et de la comptabilité a été initié par le Syndicat national des fournisseurs de l’Etat de Côte d’Ivoire. Toute chose qui aboutirait à la mise à la disposition de fonds nécessaires au syndicat, afin qu’il procède directement au paiement des factures de leurs membres. Sans que la manne ne transite par les caisses des trésoreries de l’intérieur. A coup sûr, cela permettrait d’éviter la grogne régulière du Synafeci.
Idrissa Konaté