Les prochaines évaluations s’annoncent délicates pour trois ministres déjà en sursis.
Ils jouent désormais serré ! Au moindre faux pas, le président Ouattara pourrait bien leur montrer la porte de sortie du gouvernement. 24 heures après le premier conseil des ministres de l’ère Ahoussou, on en sait davantage sur la sévère mise en garde adressée à ses collaborateurs par Alassane Ouattara. Si le chef de l’Etat s’est montré globalement satisfait de l’action gouvernementale, au moment de reconduire tous les sortants, le cas de trois ministres a failli tout chambouler. C’est que M. Ouattara n’est pas du tout content de la façon dont ces trois membres du gouvernement (dont nous taisons volontairement les noms) ont géré leurs portefeuilles. C’est à peine si le chef de l’exécutif n’est pas déçu d’eux. Outre le fait qu’ils ont semblé avoir mis de côté la charte d’éthique, c’est dans un cafouillage total qu’ils ont conduit les chantiers relevant de leurs départements sur fond de prévarication et de conflit d’intérêts. « Une situation qui a totalement irrité le président quand on sait combien il est attaché aux principes de bonne gouvernance », rapporte une bonne source bien introduite au palais présidentiel d’Abidjan. Une confidence de première oreille que notre source tient d’un échange que M. Ouattara a eu avec certains membres de son cabinet au sujet des trois ministres en question. Assurément, c’est essentiellement pour des considérations politiques que le président Ouattara a choisi la voie de la clémence en reconduisant ces ministres dans le premier gouvernement de Jeannot Ahoussou Kouadio. Une reconduction encadrée par une mise en garde bien claire : « je voudrais rappeler que vous avez tous signé une charte d’éthique. Vous vous êtes engagés devant la Nation à respecter des règles, des valeurs morales et des principes déontologiques qui devront guider votre action. Je tiens au respect scrupuleux de cette charte et je n’hésiterais pas à mettre fin aux fonctions des ministres qui en violeraient les règles ou pour qui des preuves seraient avérées ». Mieux, le numéro Un ivoirien a rappelé à ses ministres qui l’auraient oublié, les actions qu’il attend d’eux, conformément à la matrice d’actions du gouvernement.
Ils jouent désormais serré ! Au moindre faux pas, le président Ouattara pourrait bien leur montrer la porte de sortie du gouvernement. 24 heures après le premier conseil des ministres de l’ère Ahoussou, on en sait davantage sur la sévère mise en garde adressée à ses collaborateurs par Alassane Ouattara. Si le chef de l’Etat s’est montré globalement satisfait de l’action gouvernementale, au moment de reconduire tous les sortants, le cas de trois ministres a failli tout chambouler. C’est que M. Ouattara n’est pas du tout content de la façon dont ces trois membres du gouvernement (dont nous taisons volontairement les noms) ont géré leurs portefeuilles. C’est à peine si le chef de l’exécutif n’est pas déçu d’eux. Outre le fait qu’ils ont semblé avoir mis de côté la charte d’éthique, c’est dans un cafouillage total qu’ils ont conduit les chantiers relevant de leurs départements sur fond de prévarication et de conflit d’intérêts. « Une situation qui a totalement irrité le président quand on sait combien il est attaché aux principes de bonne gouvernance », rapporte une bonne source bien introduite au palais présidentiel d’Abidjan. Une confidence de première oreille que notre source tient d’un échange que M. Ouattara a eu avec certains membres de son cabinet au sujet des trois ministres en question. Assurément, c’est essentiellement pour des considérations politiques que le président Ouattara a choisi la voie de la clémence en reconduisant ces ministres dans le premier gouvernement de Jeannot Ahoussou Kouadio. Une reconduction encadrée par une mise en garde bien claire : « je voudrais rappeler que vous avez tous signé une charte d’éthique. Vous vous êtes engagés devant la Nation à respecter des règles, des valeurs morales et des principes déontologiques qui devront guider votre action. Je tiens au respect scrupuleux de cette charte et je n’hésiterais pas à mettre fin aux fonctions des ministres qui en violeraient les règles ou pour qui des preuves seraient avérées ». Mieux, le numéro Un ivoirien a rappelé à ses ministres qui l’auraient oublié, les actions qu’il attend d’eux, conformément à la matrice d’actions du gouvernement.