Pour le lancement officiel du Compendium aux Etats-Unis d’Amérique, Mme Jeanne Peuhmond, Conseillère spéciale du Président de la République, chargée du Genre et des Affaires Sociales était dans la capitale fédérale américaine, Washington DC. Nous l’avons rencontrée.
Quel est l’objectif visé à travers le lancement du Compendium des Compétences Féminines?
Les objectifs de ce Compendium des Compétences Féminines sont de divers ordres. D’abord il s’agit de renforcer la visibilité, la participation, le leadership des femmes dans la gestion des affaires publiques et privées, de fournir des informations essentielles et en temps opportun au Président de la République, qui est l’initiateur du projet quand il en a besoin pour certaines décisions stratégiques. Il s'agit aussi d’identifier les secteurs où les femmes sont sous-représentées afin de prendre des mesures correctives, de même que de mettre en place un réseau pour l’épanouissement professionnel de la femme Ivoirienne quel que soit son lieu de résidence.
Pour ce qui est des objectifs de notre visite ici à Washington, D.C. ils se résument en trois points : expliquer le projet à nos sœurs de la diaspora, les identifier et aussi les convaincre d’y adhérer. Les Ivoiriennes sont un peu partout, aux Etats-Unis, en France, au Kenya, en Croatie et en Russie, pour ne citer que ces pays. Si les femmes se font enregistrer, il devient alors facile de reconnaitre celles qui sont en dehors de la Côte d’Ivoire, de les retrouver et de les associer au développement de notre pays en fonction de leurs compétences et des opportunités qui pourraient s’offrir même dans leur pays de résidence.
Cette initiative s’inscrit-elle dans le projet de société du Président ?
Oui, ce projet se trouve dans le paragraphe 12 du programme du Président Ouattara. Au niveau du Genre, nous l’avons résumé comme suit : rehaussons le rôle des femmes et des familles. Le Président Alassane Ouattara l’a dit: «chaque fois que des femmes arrivent à des postes de responsabilités dans les entreprises, la fonction publique, la politique, les décisions sont prises avec une plus grande conscience. Elles sont mieux expliquées, mieux acceptées et leur mise en œuvre devient plus facile, les conflits s’apaisent». Pour vous dire que le Président accorde une grande importance aux femmes et aux familles dans son programme.
Nous avons simplement mis en place la stratégie pouvant nous permettre d’identifier les compétences Ivoirienne afin qu’il puisse atteindre ses objectifs.
Quel est le bilan de votre séjour aux Etats Unis ?
Nous avons rencontré la majorité des partenaires au développement. Je veux parler de l’ONU-FEMMES où nous avons aussi rencontré les responsables du Fonds pour l’Egalité, le PNUD et FNUAP (Fonds des Nations Unis pour la Population) pour leur exposer notre projet qui a été très apprécié par ces organes qui se proposent d’aider la Côte d’Ivoire dans ce domaine. Nous pouvons exprimer notre satisfaction en ce qui concerne la présentation de notre projet avec ces organes de l’ONU. Deuxième satisfaction, toutes les femmes reçues à l’Ambassade de Côte d’Ivoire et même celles présentes lors de la vidéoconférence que nous avons réalisée, le jour même de notre arrivée, sont des Ivoiriennes, expertes dans différents domaines qui se proposent d’aider leurs sœurs restées au pays.
Nous avons été reçues par des partenaires au développement. La Côte d’Ivoire faisant partie de processus Millenium Challenges Corporation, nous avons rencontré deux structures importantes du Millenium Challenges Corporation d’abord ceux même qui ont le projet pour qu’ils nous donnent leur vision en matière du genre.
Interview réalisée par Séry Pouamon à Washington, DC(Source Lebanco)
Quel est l’objectif visé à travers le lancement du Compendium des Compétences Féminines?
Les objectifs de ce Compendium des Compétences Féminines sont de divers ordres. D’abord il s’agit de renforcer la visibilité, la participation, le leadership des femmes dans la gestion des affaires publiques et privées, de fournir des informations essentielles et en temps opportun au Président de la République, qui est l’initiateur du projet quand il en a besoin pour certaines décisions stratégiques. Il s'agit aussi d’identifier les secteurs où les femmes sont sous-représentées afin de prendre des mesures correctives, de même que de mettre en place un réseau pour l’épanouissement professionnel de la femme Ivoirienne quel que soit son lieu de résidence.
Pour ce qui est des objectifs de notre visite ici à Washington, D.C. ils se résument en trois points : expliquer le projet à nos sœurs de la diaspora, les identifier et aussi les convaincre d’y adhérer. Les Ivoiriennes sont un peu partout, aux Etats-Unis, en France, au Kenya, en Croatie et en Russie, pour ne citer que ces pays. Si les femmes se font enregistrer, il devient alors facile de reconnaitre celles qui sont en dehors de la Côte d’Ivoire, de les retrouver et de les associer au développement de notre pays en fonction de leurs compétences et des opportunités qui pourraient s’offrir même dans leur pays de résidence.
Cette initiative s’inscrit-elle dans le projet de société du Président ?
Oui, ce projet se trouve dans le paragraphe 12 du programme du Président Ouattara. Au niveau du Genre, nous l’avons résumé comme suit : rehaussons le rôle des femmes et des familles. Le Président Alassane Ouattara l’a dit: «chaque fois que des femmes arrivent à des postes de responsabilités dans les entreprises, la fonction publique, la politique, les décisions sont prises avec une plus grande conscience. Elles sont mieux expliquées, mieux acceptées et leur mise en œuvre devient plus facile, les conflits s’apaisent». Pour vous dire que le Président accorde une grande importance aux femmes et aux familles dans son programme.
Nous avons simplement mis en place la stratégie pouvant nous permettre d’identifier les compétences Ivoirienne afin qu’il puisse atteindre ses objectifs.
Quel est le bilan de votre séjour aux Etats Unis ?
Nous avons rencontré la majorité des partenaires au développement. Je veux parler de l’ONU-FEMMES où nous avons aussi rencontré les responsables du Fonds pour l’Egalité, le PNUD et FNUAP (Fonds des Nations Unis pour la Population) pour leur exposer notre projet qui a été très apprécié par ces organes qui se proposent d’aider la Côte d’Ivoire dans ce domaine. Nous pouvons exprimer notre satisfaction en ce qui concerne la présentation de notre projet avec ces organes de l’ONU. Deuxième satisfaction, toutes les femmes reçues à l’Ambassade de Côte d’Ivoire et même celles présentes lors de la vidéoconférence que nous avons réalisée, le jour même de notre arrivée, sont des Ivoiriennes, expertes dans différents domaines qui se proposent d’aider leurs sœurs restées au pays.
Nous avons été reçues par des partenaires au développement. La Côte d’Ivoire faisant partie de processus Millenium Challenges Corporation, nous avons rencontré deux structures importantes du Millenium Challenges Corporation d’abord ceux même qui ont le projet pour qu’ils nous donnent leur vision en matière du genre.
Interview réalisée par Séry Pouamon à Washington, DC(Source Lebanco)