La société téléphonie mobile Mtn a reçu, hier jeudi 22 mars 2012, le ministre des Ntic et de la poste, Bruno Koné. Et cela dans le cadre de la présentation de ses différents services. Selon son directeur général, Win Vanheluputte, sa structure est le leader des sociétés téléphonies mobile en Côte d’Ivoire. Et d’indiquer que son entreprise revendique plus de 6,3 millions d’abonnés au niveau de la téléphonie mobile et 100.000 au niveau de l’internet. Mtn touche plus de 93% de la population et couvre 73% du territoire national. Il a saisi cette aubaine pour s’exprimer sur l’opération d’identification des clients initiée par le gouvernement. Il invite les abonnés à se faire identifier le plus rapidement. En effet à partir d’octobre prochain, les non identifiés ne pourront plus effectuer des appels.
Et en décembre leur ligne sera supprimée. Le ministre Koné Bruno ne dit pas le contraire. Selon lui, l’opération d’identification s’inscrit dans le cadre de la sécurité du pays, des biens et des personnes. Ainsi que de la bonne gouvernance. «Nous voulons redorer l’image de notre pays qui est ternie par la cybercriminalité. Nous ne pouvons plus l’accepter», fait-il remarquer. Avant d’ajouter que sa présence aux côtés des responsables Mtn n’est pas fortuite. Puisque le gouvernement entend mettre les opérateurs téléphonies dans des meilleures conditions. Et cela n’est possible qu’à travers des échanges. «Nous devons chercher ensemble les solutions pour aplanir les difficultés que rencontre le secteur», soutient-il.
Y. Gbané
Et en décembre leur ligne sera supprimée. Le ministre Koné Bruno ne dit pas le contraire. Selon lui, l’opération d’identification s’inscrit dans le cadre de la sécurité du pays, des biens et des personnes. Ainsi que de la bonne gouvernance. «Nous voulons redorer l’image de notre pays qui est ternie par la cybercriminalité. Nous ne pouvons plus l’accepter», fait-il remarquer. Avant d’ajouter que sa présence aux côtés des responsables Mtn n’est pas fortuite. Puisque le gouvernement entend mettre les opérateurs téléphonies dans des meilleures conditions. Et cela n’est possible qu’à travers des échanges. «Nous devons chercher ensemble les solutions pour aplanir les difficultés que rencontre le secteur», soutient-il.
Y. Gbané
