Les opérateurs ne cessent de se plaindre. C’est un désordre total constaté dans les différentes structures chargées de livrer les véhicules d’occasion(Vo). Pour ce faire, le ministre des Transports, Gaoussou Touré, a effectué une visite, hier, au Guichet unique automobile, sis à Vridi pour s’imprégner de la situation. Il a souhaité que chacun prenne ses responsabilités afin de mettre fin à l’engorgement constaté à tous les niveaux. «C’est un échec total dans la convention de concession. Il faut que la célérité soit de mise», a-t-il indiqué. Pour lui, c’est illégal de voir les trottoirs occupés par ces Vo. C’est pourquoi, il a prévenu que « L’Etat va prendre des mesures dès la semaine prochaine afin que les opérateurs aient gain de cause », a-t-il promis. Selon Daouda Sidibé, directeur général du Guichet unique automobile, sa structure ressort de nombreux problèmes d’ordre structurel depuis sa création en 1998, notamment l’évolution des textes réglementaires, les conditions des travailleurs, le désordre organisé par Côte d’Ivoire logistique, l’enlèvement des véhicules au port… A l’en croire, selon les normes, ce sont 50 véhicules qui doivent être réceptionnés par jour, et 200 voitures immatriculées également par jour. Mais dans l’état actuel des choses, ce sont 4000 voitures qui sont encore non immatriculées et parquées au port.
«Nous demandons une relecture de la convention de concession », a-t-il souhaité. Et d’ajouter que tous les moyens juridiques doivent être réunis pour faire fonctionner correctement le travail. Henri Konan, représentant des importateurs de Vo a engagé la responsabilité de Côte d’Ivoire logistique et de la Sicta, toutes deux structures qui interviennent dans le processus d’importation. « C’est toujours les problèmes d’identification.
Les coûts qu’on nous impute doivent être revus », a-t-il indiqué. Pour sa part, le président du syndicat des transitaires, Noël Konan, a suggéré un arrêté du ministère de tutelle à chaque transitaire, en vue d’accélérer le dédouanement des véhicules et de réduire les coûts et frais de procédures. Le directeur général de Côte d’Ivoire logistique, Marius Kouakou N’Dri, a dénoncé les problèmes organisationnels. «Il y a un problème organisationnel. Ce qui nous empêche de rendre l’opération plus fluide au Guichet automatique», a-t-il soutenu.
F.S. (stagiaire)
«Nous demandons une relecture de la convention de concession », a-t-il souhaité. Et d’ajouter que tous les moyens juridiques doivent être réunis pour faire fonctionner correctement le travail. Henri Konan, représentant des importateurs de Vo a engagé la responsabilité de Côte d’Ivoire logistique et de la Sicta, toutes deux structures qui interviennent dans le processus d’importation. « C’est toujours les problèmes d’identification.
Les coûts qu’on nous impute doivent être revus », a-t-il indiqué. Pour sa part, le président du syndicat des transitaires, Noël Konan, a suggéré un arrêté du ministère de tutelle à chaque transitaire, en vue d’accélérer le dédouanement des véhicules et de réduire les coûts et frais de procédures. Le directeur général de Côte d’Ivoire logistique, Marius Kouakou N’Dri, a dénoncé les problèmes organisationnels. «Il y a un problème organisationnel. Ce qui nous empêche de rendre l’opération plus fluide au Guichet automatique», a-t-il soutenu.
F.S. (stagiaire)